- Pourquoi tu laisses pas les autres voir tes bons côtés ? - Parce que quand les gens voient le bien qui est en toi ils s’attendent à ce que tu fasses le bien, et je ne veux pas avoir à me montrer à la hauteur des espérances de qui que ce soit.

 PSEUDO ALIAS PRÉNOM

ÂGE ▷18 bedo aha. SEXE ▷ Who run the world ? GIRLS. (a') PRÉSENCE ▷ 5/7 NIVEAU RP ▷ dans la moyenne je pense. TYPE DE LIEN FAVORIS ▷ Compliqué, tordu, dramatique, ambiguë, le genre de lien qui te fait faire des pavés en scène tellement t'es inspiré quoi.   Ouais, d'accord, ça m'arrive pas des masses.    OÙ AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ▷ par des amis. COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ▷ Il a l'air pas mal.    SCÉNARIO, POSTE VACANTS OU PERSONNAGE INVENTÉ ▷ (si pv/scénario, mettre le lien menant au scénario) texte texte CÉLÉBRITÉ ▷ Shay Mitchell UN DERNIER MOT ▷ J'espère me plaire ici, big up !     

Code:

<pris>shay mitchell</pris> ◭ tamera a. parker

29 mai 2008 ▷ J’éclatais de rire puis m’étalais dans le jardin avant que mon rire ne redouble d’intensité. Je relevais ma tête toujours entrain de me marrer afin de croiser le regard de ma sœur jumelle qui était à moitié plié sur elle-même, puisqu’elle riait tout autant que moi. Nous avions sacrément bu ce soir. La soirée avait été d’enfer. D’ailleurs nous pouvions encore entendre la musique qui se dégageait fortement de la maison en folie. Il devait être dans les quatre, voire cinq heures du matin. Personnellement je serai bien restée plus longtemps, mais notre père s'était réveillé et avait appelé Lexie en lui ordonnant expressément que l’on rentre. Ma sœur n’en avait pas fait un foin. Pour ma part, cela m’avait royalement fait chier. Je ne voulais pas partir maintenant, je m’amusais beaucoup trop pour cela. Malheureusement je n’eu pas le choix. En plus de cela, c’était moi qui devais conduire. La flemme sérieux. Je m’y résignais, en trainant des pieds, je m’étais donc dirigé vers ma voiture en compagnie de ma frangine. Je conduisais comme je le pouvais. Je devais admettre que prendre le volant dans cet état n’avait pas été une bonne idée. Toutefois, je n’avais pas eu le choix. Ma sœur était tout aussi ivre que moi, de plus, celle-ci avait oublié son permis à la maison. J’arrivais à une intersection, je tournais la tête à gauche, à droite, personne. Je passais, entendais soudainement un bruit strident qui me fit sursauter, puis apercevais une lumière aveuglante qui m’obligeait à détourner mon regard, pour qu’une dernière fois, je croise celui de ma sœur, apeuré.

10 septembre 2008 ▷ Je me réveillais difficilement, mes paupières avaient du mal à se décoller d’entre elles. Je regardais autour de moi cet espace qui m’était inconnu. Les bruits de machines à mes côtés, les aiguilles qui me transperçaient toutes la peau ainsi que l’horrible sensation d’avoir un tuyau dans la gorge m’indiquait que je me trouvais dans une chambre d’hôpital. Ma mère en face de moi, qui criait mon prénom en pleure, en affirmant que je m’étais réveillée allait chercher un docteur. Ce dernier retirait doucement, bien trop doucement à mon goût, le tuyaux qui jusque-là, m’avait aidé à respirer. Une larme perlait le long de ma joue, je regardais incrédule les personnes autour de moi. J’avais du mal à relier les morceaux. Mon père débarquait en même temps que ma mère tandis que le docteur était occupé à m’examiner. Celui-ci me posait quelques questions mais je me contentais seulement de hocher la tête. J’étais bien trop sonnée et surprise pour agir normalement. « Que, qu’est-ce qu’il s'est passé ? Ou... où est Lexie ? » arrivais-je à demander subitement la voix encore enrouée.

02 mars 2009 ▷ Je sniffais la ligne blanche sur la table, alors que je me trouvais à genoux devant celle-ci. Je laissais ensuite basculer ma tête en arrière en soupirant de satisfaction. Je passais ma main sous mon nez afin d’enlever tout résidu indésirable puis tombais à la renverse sur le sol. Je me laissais transporter comme à chaque fois. La grosse junkie de Miami qui s’était ? Bibi bien sur. Depuis que j’étais sortis de mon coma, et que j’avais appris que ma sœur, ma vie, mon pilier avait péri dans l’accident, j’avais sombré dans la drogue espérant avoir moins mal. Cela me permettait d’oublier le temps d’un instant. Ce qui se résumait à toute la journée, et la nuit au final. J’avais quitté la fac, je ne voyais plus mes amis et mes parents avaient perdu toute leur emprise sur ma personne. Je ne vivais pratiquement plus à la maison. Cela me rappelait beaucoup trop Lexie. En effet, je me contentais de trainer par ci et là. De squatte en squatte, de soirée en soirée, être droguée 24 heures sur 24, ma vie se résumait à cela depuis des mois entiers. Rien ni personne n’avait pu y faire quelque chose. La mort de ma jumelle m’avait détruite de l’intérieur. Tout était ma faute. Si je n’avais pas conduit ce soir là, elle serait encore à mes côtés… Je me sentais anormalement mal tout à coup. J’avais l’impression de mourir, de ne plus avoir aucune force dans mon corps. Mon Dieu à l’aide, ma souffrance était atroce. Je ne contrôlais plus mon corps, celui-ci bougeait tout seul. Je perdais connaissance. Mes yeux devinrent blancs, et un liquide bizarre sortait de ma bouche. J’étais en train de faire une overdose.

25 avril 2010 ▷ Les mois passaient et se ressemblaient. Désormais je ne touchais plus à la drogue. J’avais été sauvé de justesse après cette overdose. J’étais passée bien trop près de la mort m’avait affirmé le docteur. Ce dernier était le même docteur qui c’était occupé de ma personne lors de mon coma. Je ne peux pas vous dire à quel point cela m’avait réjouie de l’entendre me dire devant mes parents qu’il ne comprenait pas pourquoi je gâchais la seconde chance que l’on m’avait accordée. Je me souviens du regard que mes parents m’avaient lancé, vous savez le genre... « C’est à cause de toi que ta sœur, notre fille bien-aimée n’est plus de ce monde. C’est toi qui aurais dû partir et pas elle. Tu n’es qu’une ratée. » Bref, cela se résumait à cela, et tous les jours avec eux. Ils n’avaient même plus besoin de parler pour que je comprenne à quoi ils pensaient chaque fois qu’ils m’apercevaient. Quoi qu'il en soit, durant cette période j’avais trouvé l’amour. Du moins, je pensais que c’était la bonne. Oh... Oui, la bonne. J’étais bisexuelle, et cette fois-ci, j’avais trouvé celle qui me correspondait. Cela aurait très bien pu tomber sur un homme. Toutefois, mes parents n’étaient pas au courant. Je peinais à m’imaginer comment ils réagiraient à cette annonce. Il était évident que je n’osais pas leur avouer tout cela. Sauf que je n’eus pas le besoin de le faire puisqu’un soir, alors que j’étais dans les bras de ma copine, je tombais nez à nez avec mon père. Sa réaction ne se fis pas attendre. Il était fou de rage. Après plusieurs tentatives pour me faire rentrer avec lui, nous en arrivions à celle-ci : « si tu ne viens pas tout de suite avec moi ce ne sera même plus la peine de rentrer à la maison. » m’avait-il menacé froidement. Je restais plantée devant lui quelques instants sans un mot. « Au revoir papa. » avais-je dis finalement en le regardant quelques secondes avant de me retourner et de partir loin de lui, loin de cette ville qui n’avait été synonyme que de malheur pour moi.

11 juillet 2014 ▷ Voilà maintenant quatre ans que je vivais en Angleterre. À Bristol plus précisément. Ce nouveau départ, cette nouvelle vie m’avait énormément fait de bien. J’avais grandi mentalement, comme physiquement. Tout le malheur qui s’était abattu dans mon ancienne vie ne m’avait rendu que plus forte. J’avais toujours des rendez-vous avec un psychologue, mais ces derniers venaient à se rendre de plus en plus rare. Je me plaisais ici. Malgré le fait que ma famille, mes parents, ma sœur me manquaient énormément. En quatre années je leur avais rendu visite bien entendu, mais malgré le fait que ce soit les personnes qui m’ont mis au monde, je les voyais peut-être une fois dans l'année, comme leur parlait grand maximum une fois dans un mois. Je pense qu’ils n’arrivaient toujours pas à digérer tout ce qu’il c’était passé avant mon départ. Dans cette ville personne ne me connaissait, ni moi, ni mon passé et c’est bien cela que j’avais recherché en emménageant ici. J’avais fais une formation afin de devenir pompier, je m’étais fait de nouveaux amis, bref, c’était mon nouveau chez moi. Même si parfois, le mal du pays venait me frapper en pleine face, jamais, au plus jamais je ne retournais habiter à Miami. Il y avait bien trop de souvenirs auxquels je ne voulais pas penser. Ma sœur vivra toujours à travers moi, je ne l’oublierai jamais cela va de soi, mais pour ce qui est du reste, je préférais tirer un trait définitivement sur cela.

bienvenue   tout me semble bon

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Bravo ! Tu viens d'être validé(e) et tu vas donc pouvoir profiter pleinement de ta vie à BRISTOL. Si tu ne l'as toujours pas fait, (pas bieeeen), je te conseille d'aller voir tout de suite les sujets importants tels que le bottin, afin de vérifier si la célébrité que tu possèdes est dans celui-ci, ensuite d'aller créer tesscénarios. Bien évidemment, si tu as un problème ou quoi que ce soit, n'hésites pas à nous poser toutes les questions que tu veux ! Si tu souhaites avoir un parrain afin de t'aider à t'intégrer n'hésites pas à aller choisir ton parrain. En tout cas, la team est très heureuse de pouvoir t'accueillir et on espère de tout notre cœur que tu te plairas en notre compagnie ! De plus, n'oublie pas d'aller commencer à t'occuper de ton personnage dans la partie gestion. Tu peux également courir (mais te casse pas la gueule au passage) pour créer ton téléphone, ton instagram, ou encore ton formspring. De plus, si tu as envie de connaître les derniers potins de Bristol, faut se dépêcher d'aller acheter le fameux journal : the wild side. ( TU PEUX AUSSI FLOODEEEEER. ) On t'aime ! Kiss.