AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  

 

 Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyMer 9 Avr - 0:18




Le bordel ne fait que commencer


Aussi loin que j'y pense, mes amis ont toujours été là pour moi. Lorsque j'ai voulu tout plaquer Chuck m'a suivis. Lorsque ça ne va pas, Adam reste le même gars relou qu'à l'habitude et c'est ce qui me remonte le plus le moral. Zendaya me donne des cours de baise, mais où je veux en venir c'est qu'elle m'aide, tout simplement. Quand à Andy, bah... La maison est silencieuse, enfin "maison", j'abuse un peu, disons plutôt appartement à deux étages, mais nous avons quand même la prétention de compter quatre chambres. À Old City les murs sont en cartons et les bâtiments collés les uns sur les autres, c'est tellement intense que lorsque notre voisin à la chiasse, on le sait. L'intimité il y en a très peu, surtout pour nous, en fait nous sommes réputés dans le quartier, puisqu'il y a des fiestas interminables chaque week-end. Je sais que Chuck dort, puisqu'on a le luxe de partager notre chambre et je suppose que les autres aussi, sinon il y aurait déjà la musique à fond, les autres ont appris à être mélomane dans leur genre avec moi comme colocataire. Puisque je suis "seule", j'en profite pour poser mon droit de veto sur la télévision. Serrant un coussin contre ma poitrine, j'ai les pieds posés à plat sur le canapé et mes yeux remplis de larmes sont rivés sur l'écran plasma. Titanic, un dimanche matin? Oubliez-moi durant trois heures ! Parfois, des couinements m'échappent, mon chien, Thunder, couché de tout son long à mes côtés relève alors la tête et la laisse retomber dans un soupire. La voix de Céline Dion se laisse alors entendre et sans est finis pour moi, je meurs. Soudain, le braque de Weimar se redresse sur ses quatre pattes et m'abandonne dans un cliquetis de médailles. Essuyant vite fait mes joues, je me redresse ensuite sur mon coude, afin de regarder derrière moi, mais rien. Bizarre... Haussant les épaules, je retourne mon attention sur le film. Soudain, car oui je vous jure, c'était vraiment soudain, je ressens quelque chose de froid sur mon crâne, la bouche grande ouverte je passe une main dans mes cheveux à présent gluant. DE LA BAVE??? Je n'ose même pas renifler mes doigts, car il y a très peu de choses au monde qui me dégoûte autant que cette substance. Un rire résonne dans la pièce, tandis que quelqu'un s'empresse de se barrer en courant. Je disais donc: Quand à Andy, bah...

- JE VAIS TE TUER !!!

Munis de mon oreiller je saute au-dessus du canapé, je vais vraiment le massacrer. Le suivant au pas de course jusqu'à la cuisine, je balance mon arme mortel tandis que le traître se tient derrière le comptoir, mais l'autre trou du cul de cette maison m'attendait, caché derrière le mur, à peine mes pieds sont-ils mis dans la pièce que je me reçois un sac de farine en pleine gueule. Les mecs me sautent dessus, faisant un mélange maison avec ma tignasse. Je comprend alors que personne ne m'a craché dessus, ce n'était qu'un œuf. Si seulement le beurre n'était pas venu se mêler à la partie... J'hurle. Zendaya arrive alors dans la pièce en mode "j'ai la tête dans le cul, ne faites pas chier". Mon Dieu, qu'est-ce qu'il lui ont fait... Ils s'immobilisent, se regardent et éclatent de rire avant de fuirent à nouveau. La bouche grande ouverte je n'arrive pas à détacher mes yeux du visage de Zen, à l'aide d'un crayon qui je doute partira facilement sous la douche, ils lui ont dessiné des trucs digne de leur maturité. Une fausse moustache, un mono-sourcil et une bite sur la joue droite en prime. Un cris. Chuck. S'en est finis pour eux... Thunder se met à aboyer suite à toute cette agitation soudaine et les murs de la cuisine se mettent soudain à vibrer.

" VOUS ALLEZ LA FERMER VOTRE PUTAIN DE GUEULE??! "

Je regarde Zendaya et craignant le pire nous courons vers les escaliers afin de voir ce qui se passe. Elle est déjà en train de les enjamber deux par deux, que l'animal gris, toujours en train d'aboyer, se fout entre mes jambes. Résultat? Je me viande tête première sur le carrelage dans un nouveau cris. Je rage, le voisin gueule comme un putois enragé, mon chien refuse de se taire et à l'étage le bordel est indéfinissable. Bienvenue à Old City !

© charney

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyMar 15 Avr - 21:29

Ouvrant péniblement les paupières, il les referme instantanément. La lumière qui filtre à travers les rideaux lui pique les yeux, et il se remet en boule sous la couette. Il est rentré tard hier soir, enfin disons plutôt ce matin, et il n’a pas franchement envie de quitter son lit aujourd’hui. Seulement son ventre le rappel à l’ordre, dans un grognement sonore. S’étirant, baillant, il sort du lit et enfile le premier tee-shirt qu’il trouve par-dessus son caleçon. Ses pas sont lourds et trainants jusqu’à la cuisine qui est encore vide. A moitié réveillé il se fait un café, et aperçoit Keeran sur le canapé, seule avec Thunder. Ils sont les premiers à être levés ? Un coup d’œil furtif à la pendule qui affiche 10h, et Adam boit sa boisson chaude, la tête encore en vrac. Posant sa tasse, il finit par aller voir si les autres dorment toujours sans alarmer Keeran. Chuck dort encore, tout comme Zen, et de suite des idées en tout genre germent dans l’esprit tordu d’Adam. Mais pour les mener à bien, il lui faut son plus cher camarade ; Andy. Il file dans la chambre du dernier colocataire, et ouvre les rideaux en grand avant de se pencher sur Andy qui grogne de mécontentement.

« Debout Andy Dydy, c’est dimanche matin, l’heure de faire plaisir aux filles qui dorment toujours ! »

La première réaction du concerné c’est de lui envoyer son oreiller dans la figure, qu’il évite tant bien que mal, puis Andy finit par assimiler ses paroles. Adam croise les bras, les sourcils haussés, attendant l’approbation du jeune homme face à lui. Approbation qui ne tarde pas à venir, puisqu’une minute plus tard, ils sortent de la chambre d’Andy afin de se diriger vers de celle de Zendaya qui dort à poings fermés. Le regard d’Adam se pose sur le bureau de la demoiselle, et  aperçoit des feutres. Il chuchote à l’attention d’Andy ;

« Et si on lui faisait une petite beauté ? »

Ni une, ni deux les deux acolytes s’arment des stylos, et commencent à laisser exprimer leur créativité enfantine sur le visage paisible de Zendaya.  De jolies œuvres d’arts ornent désormais le joli minois de la jeune femme ; un mono-sourcil, une bite, et une sublime moustache. Se retenant de rire, ils sortent de la chambre en essayant de faire le moins de bruit possible. Plus que deux ! Entrant dans la chambre de Chuck, elle est toujours endormie. Andy lui fait soudainement signe qu’il a une idée, et il part de ma chambre avant de revenir dix secondes plus tard, armé d’une mousse à raser. Avec application il en met tout autour de Chuck sur la couette, au-dessus de sa tête, sur le dessus de lit, pendant qu’Adam s’amuse à vider les placards de la jeune femme, les envoyant valser dans toute la pièce. Plus qu’une !
Ils se dirigent tous deux vers le salon sur la pointe des pieds où se trouve toujours Keeran qui semble terriblement à fond dans le film qu’elle regarde. Quelques chuchotements, un plan mis en place en quelques secondes, et de suite, Andy prend un œuf, tandis qu’Adam prend un paquet de farine, et se cache derrière le mur de la cuisine. Un rire, suivi d’un cri, et d’exclamation de voix ;

« JE VAIS TE TUER !!! »

C’est le signal. Prêt à bondir, Adam tient fermement la farine, et alors que Keeran débaroule dans la cuisine avec rapidité, elle n’a pas le temps de comprendre ce qu’il lui arrive, qu’une pluie de farine s’abat sur elle. Adam rit à gorge déployée, et les deux garçons viennent faire un joli shampoing à Keeran qui ne parvient pas à s’échapper de leur emprise, malgré ses protestations et ses hurlements. Zendaya ne tarde pas à faire son apparition, certainement réveillée par tous ces cris. Adam la fixe un instant, et il se retient tant bien que mal de ne pas rire face au visage transformé de la jeune femme. Mais il lui suffit d’échanger un regard avec Andy, pour que tous deux éclatent de rire et se trahissent. De suite, ils s’enfuient de la cuisine, laissant derrière eux les deux filles et le chien qui aboie vivement, réveillant leur connard de voisin, qui ne peut s’empêcher de brailler en tapant aux murs ;

« VOUS ALLEZ LA FERMER VOTRE PUTAIN DE GUEULE??! »

Les deux garçons pensaient trouver refuge dans leur chambre, mais c’était sans compter sur leur rencontre avec une Chuck rouge de colère, blanche de mousse à raser. Adam rit de plus belle, et crie ;

« ATTENTION l’HOMME DES NEIGES ! »

La furie blanche se jette sur eux, tandis que Zendaya débaroule dans le couloir de l’autre côté. Adam tente tant bien que mal d’échapper à Chuck, mais se débrouille quand même pour étaler un peu plus la mousse qu’elle a dans les cheveux. Elle hurle, essaie de le repousser, et Adam en profite pour s’enfuir dans la salle de bain talonné par Chuck qui ne semble pas en avoir fini avec lui. Il se jette sur la pomme de douche, qu’il attrape et dégaine devant la jeune femme.

« Fais gaffe à toi, homme des neiges, je suis armé ! »

Mais sa menace ne semble pas effrayer Chuck plus que ça, et elle avance vers lui. Sans attendre une seconde, il tourne le robinet d’eau froide, et un jet puissant atterrit sur la blondinette qui hurle de toutes ses forces. Au contraire d’Adam qui ne peut s’arrêter de rire, continuant de l’asperger d’eau, entendant des cris provenant du couloir.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyMer 16 Avr - 18:03


   
J'pense être la plus intelligente de cette bande. Non, j'rigole on est tous cons.
Le chant des oiseaux, la douceur de la brise du matin, les rayons du soleil chatouillant mes paupières, le silence de plomb. C'est grâce à tout ces éléments que je parviens à me réveiller dans la tranquillité, on pourrait se croire au paradis. Non j'rigole, c'est pas comme ça que ça marche chez nous. Je vous la refait, pour vous permettre de mieux comprendre les gars : des hurlements d'animaux, le voisin qui gueule de bon matin, des bruits de pas de course dans tout l'appart, le chien qui aboie et de la putain de mousse à raser étalée sur moi, sur ma couverture et sur mon lit. Sérieusement, cette gueule de bois ne pouvait pas être pire. J'avais l'impression qu'un stade de dix milles personnes gueulaient et que ça résonnait dans ma petite boîte crânienne ou un truc du genre. Bienvenue chez nous, à Old City où les dimanches matins ne sont pas synonymes de repos et tranquillité mais plutôt de Bagdad et de meurtres. Jamais, ô grand jamais, je pourrais me réveiller grâce à la bonne odeur d'un gâteau au chocolat ou d'un bon petit déjeuner préparé par l'un des colocs.

Comme toute personne plus ou moins civilisée, je me devais de me lever pour aller me chercher de l'aspirine, dans l'infime espoir de faire passer cette gueule de bois mais non, il fallait plutôt que je fasse face à beau bordel dans laquelle ma chambre se trouvait. Mes vêtements, nooooon. Putain, de partout, dans tout les sens. J'aurais presque envie de pleurer, mais la flamme de la vengeance me fait reprendre conscience. La mousse à raser se met à dégouliner par terre. J'ai à peine le temps de faire un pas en avant que je me casse la gueule, m'improvisant patineuse artistique. Je me casse la gueule comme une belle merde et glisse sur au moins trois mètres. Et là, je n'ai qu'une chose en tête : Andy et Adam sont morts. Oui, forcément, il n'y a qu'eux pour faire ça. Je les déteste, j'ai envie de leur chier sur la face. Oui, je suis une femme très gracieuse. Et pour vous le montrer, je suis sûrement en train de muter et de me transformer en Hulk. Je pousse un cri de guerrière en me relevant, et fonce en bas pour prêter mains fortes aux filles. Enfin, ça c'était avant de croiser Adam dans le couloir. Nos regards se croisent tel un western. Zendaya le bloque de l'autre côté, c'est bon, je suis sûre de l'avoir. « Cherche pas, t'es coincé mon gars ! » J'improvise un saut de malade en sa direction alors qu'il se fout royalement de ma gueule. Il esquive, mais je parviens tout de même à lui étaler un minimum de mousse à raser sur ses cheveux. Le combat se poursuit dans la salle de bain. Je pensais l'avoir bloquer une nouvelle fois mais il est maintenant armé. « T'oserais pas. » Je prends l'air le plus sérieux du monde en croisant les bras d'un air de défi. J'aurais sûrement du la fermer, parce que si, il est vraiment capable de tout. J'avais beau prendre ses menaces à la légère, croyez-moi, une douche glacée de bon matin, y'a de quoi pousser des hurlements dignes de films hollywoodiens. Le jet est tellement puissant que je suis propulsée à l'autre bout de la salle de bain, face à un Adam hilare de ses propres conneries. J'en profite alors pour renverser du shampoing vers ses pieds, le faisant alors glisser et lâcher la pomme de bain, il se met ensuite à glisser jusqu'à la baignoire dans laquelle il se gamelle. Inversement de rôles, c'est moi qui me met à rire. Je lance un regard derrière moi, Andy semble occupé par Keeran et Zendaya. « C'est qui le plus fort maintenant ? » Je souris fièrement avant de l'asperger à son tour. Histoire de couvrir mes arrières, je cours hors de la salle de bain en le laissant trempé et fonce rejoindre Keeran dans le salon. Ses cheveux, mon dieu.. J'hésite entre rigoler comme une attardée ou bien être choquée de ce qu'elle a subi. Finalement, je garde mon "sérieux". « Vite, il va nous falloir des munitions ! » Je saute derrière le canapé en regardant Keeran dans les yeux, gloussant à l'entente d'un cri de la part de Zendaya. Merde, c'est sûrement Andy qui la prit en otage. Je chope toutes les pantoufles de la maison pour les garder près de nous.

mocking jay.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyMer 16 Avr - 20:13


We get crazy when we are together
la colocation
je suis sur ma licorne volante rose barbie, galopant dans des champs de bonbons. elle repasse au pas au moment de traverser un pont, sauf que ce pont s'écroule sous nos pieds et mon rêve se termine brutalement. j'entends déjà des hurlements. ça aura pas duré très longtemps, mais c'est déjà ça. généralement on peut carrément se faire réveiller à cinq heure du matin car le chien de Keeran a envie de faire caca alors il gratte à toutes les portes ou sinon Andy qui veut se mater un porno avant que tout le monde se réveille et qu'il ne puisse plus le faire sur le bel écran plasma qui trône dans notre salon. en gros c'est le dawa, Bagdad dans ton cul mes chers amis. chez nous il y a pas d'heure pour faire la fête, c'est toujours ainsi. et quand c'est pas nous qui gueulons ou qui faisons du bruit, c'est les voisins qui hurlent pour n'importe quelle raison. je soupire donc et me relève doucement. un jour je ferais une crise cardiaque à cause des hurlements de mes colocataires. m'enfin, voyons le côté positif de la chose, il y a toujours de l'ambiance alors impossible de s'ennuyer ici. je me lève et me dirige vers mon miroir pour contempler les dégâts de la gueule de bois que j'ai. la soirée d'hier reste flou dans ma tête et je n'arrive plus à me souvenir de quelque chose. à part de l'alcool bien sur. je me poste devant le miroir de ma chambre et pose mon regard sur mon reflet. non mais quelle horreur ! alors voyons, une bite, surement celle d'Adam vu comment elle est petite, une moustache, celle qu'Andy n'aura jamais et un joli mono-sourcil que les deux zozios risquent d'avoir dans quelques années. oh les connards. en plus mon mal de tête n'arrange pas la situation et les cris de Keeran non plus. ça ça veut dire que je suis pas la seule victime ce matin. j'imagine que Chuck a aussi eu le droit aux infanteries de mes adorés colocataires masculins. je déboule alors dans le salon, Keeran ressemble a un gâteau à je ne sais quoi, Chuck quant à elle ressemble à un bonhomme de neige quelque chose dans le genre. et puis je vois Andy et Adam entrain de se pouffer de rire. j'avance de quelques pas et Chuck se jette sur Adam. malgré que je sois là pour le bloquer, il arrive à esquiver son attaque. tout les partent dans la salle de bain et je me retrouve avec Keeran et Andy. on entend Chuck gueuler et c'est alors que le chien de Keeran commence lui aussi à gueuler. bordel c'est pas finit ce boucan ? et puis parce que deux c'est pas assez, Keeran aussi se met à brailler pour demander le silence. son chien se cache en dessous d'elle et elle tombe à la renverse. je vois Andy se pouffer de rire et j'en profite pour attraper la farine poser à côté. je saute sur lui et lui fous le sac de farine dans la gueule et dans les cheveux. "BANZAI ! Fallait pas s'attaquer aux totally spies ptite vache folle va !" je m'écarte de lui, mais pas assez rapidement. malgré la farine qui doit l'aveugler à moitié, il arrive à m'attraper par les bras et me colle contre lui. deux secondes plus tard, je suis attachée avec sa ceinture, la serviette pour se sécher les mains dans la bouche. quel bel otage je fais. j'essaye de crier mais seul des gémissements sortent de ma bouche. je donne un coup de pied dans les couilles de Andy qui se replie sur lui, mais au mieux de s'écarter, il s'écrase sur moi. génial j'arrive même plus à respirer. "Vite, il va nous falloir des munitions ! " Chuck est de retour. je sais pas si elle a réussi à donner une racler à Adam, mais en tout cas vu les bruits, j'imagine que les filles se sont planquées derrière le canapé. quant à moi, je suis toujours prisonnière derrière le comptoir avec Andy qui m'écrase. j'essaye encore une fois de gueuler et de m'enfuir, mais rien à faire. "va tfajjfiejfe foubefufre" c'est tout ce que j'arrive à dire, mais en traduction ça veut dire va te faire foutre, sauf que je crois pas qu'Andy m'ait comprit vu qu'il me regarde avec de grands yeux et un sourire géant sur la gueule. merde je crains le pire pour moi... et en plus sa putain de ceinture me serre affreusement les mains.
Code by Silver Lungs
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptySam 19 Avr - 14:38

les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  21321852

Dix heures du mat' et vous êtes déjà à fond. T'avais l'impression d'avoir seulement dormi une heure cette nuit, mais en fait, ce n'est pas qu'une impression. Au fur et à mesure qu'Adam fasse du bruit pour te réveiller, tu parvenais à te souvenir de la soirée de la veille. Comme d'habitude : un méchant bordel. La lumière du soleil agresse tes pauvres petits yeux, Adam continue de te secouer et toi, tu lâches des gémissements tel un animal en rûte en lui balançant ton oreiller à la gueule. En fait, tu te demandes pourquoi c'est toujours lui qui se lève en premier, et surtout aussi tôt. Il a sûrement un plan, et quand il s'agit de faire les filles, t'es toujours prêt. Tu oublies soudainement la gueule de bois et sautes sur tes jambes pour te montrer paré, motivé à leur faire la misère. Mission : les emmerder. Premier objectif : Zendaya. Sa chambre se trouve juste en face de la tienne. Il ne vous faut pas plus de temps pour vous infiltrer à l'intérieur et vous mettre à dessiner sur son visage des motifs à la hauteur de votre âge mental. Tu pouffes de rire à cause du mono-sourcil en sortant discrètement de la chambre. Au tour de Chuck. Adam retourne complètement sa chambre, tu piques au passage un de ses soutifs pour l'accrocher au lustre et vous vous chargez ensuite de la transformer en homme des neige : recouverte de mousse à raser. En touche finale, tu en mets sur sa main et chatouille ensuite son nez. Résultat ? Elle essaye de se gratter dans son sommeil et s'en étale elle-même sur le visage. Dernier objectif : Keeran. La seule déjà debout. Tu descends les escaliers sur la pointe des pieds, avec ton fidèle acolyte qui se planque ensuite dans la cuisine. Alors qu'elle semble totalement absorbée par l'histoire la plus gnan-gnan au monde, tu te places derrière elle et lui écrases avec beauté un œuf sur le haut de son crâne. Il ne t'en faut pas plus pour te tordre de rire, t’enfuyant ensuite dans la cuisine comme il était prévu. Le plan fonctionne à merveille, elle hurle, s'énerve, chahute et te cours après. Paf, elle franchit la porte de la cuisine et Adam lui balance la farine sur la tête. Elle se fait persécuter. Vous lui faites un beau shampoing et la troisième guerre mondiale commence enfin.

Avec Adam, vous faites diversion. À l'étage, il fait face à Chuck en furie et croyez-moi ça fait peur. « C'est encore pire que de voir les meufs au matin, sans maquillage ! » Tu la pointes du doigt en te foutant littéralement de sa gueule. Toi, tu te charges de Zendaya qui se réveille à peine. C'en est trop : tu exploses de rire en la voyant mais sans plus attendre, tu l'attrapes en sac à patates sur ton épaule et la jette dans la cuisine. Avec ta ceinture, tu lui attaches les mains. « King Kong a été capturé ! » Et bam, elle te file un énorme coup de pieds dans tes bijoux de famille. Tu te plis en deux en couinant. « Putain, tu sais que c'est un crime contre l'humanité, ça ? » Bah ouais, elle tente un meurtre contre mes boules qui permettront de procréer un gosse plus tard. Tu affiches un air outré en te redressant et en la poussant contre une chaise. Avec une deuxième ceinture, tu lui attaches les pieds à celle-ci. Il manquerait plus que la lampe au dessus de sa tête et une bonne gifle et tu te prendrais pour un inspecteur en plein interrogatoire. Tu laisses tes fantasmes de côté en voyant Chuck revenir au salon, cachées avec Keeran derrière le canapé. Merde, ça va mal pour l'agent Adam. Tu sors de son caleçon un talkiewalkie en plastique, acheté -70% une vraie affaire, et essayes de communiquer avec ton camarade. « J'ai besoin de renfort, mec ! Je répète : j'ai besoin de renfort. King-Kong a été prise en otage. » Tu restes alors planqué dans la cuisine après avoir foutu un torchon sale dans la bouche de Zendaya, comme ça elle parle pas et tu ne te fais pas repérer.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyVen 9 Mai - 19:14




Le bordel ne fait que commencer


C'est tout le temps moi qui m'étale par terre en beauté, je suis sûr que Andy et Adam on dressait le chien pour se foutre dans mes pattes, parce que ma maladresse les fait toujours rire. Cheveux éparpillés sur le plancher, je reste étendu quelques secondes en gémissant bruyamment. Je crois que je saigne du nez ou alors une énorme bosse sur mon front est déjà en train de se former, les deux peut-être. Homme à terre, homme à terre, mayday. Bon, personne en a rien à foutre.

« ATTENTION l’HOMME DES NEIGES ! »

Je fraternise avec l'ennemi, j'en ai conscience, mais en entendant cette connerie je ne peu m'empêcher de glousser, me relevant rapidement je m'apprête à monter afin de venir en aide à Chuck que j'entend crier à l'étage. Qu'est-ce qu'ils ont bien pu lui faire pour trouver un surnom pareil? Ils lui ont teint les cheveux en blanc? Oh mon Dieu, il faut que je vérifie par moi-même ! Pas le temps d'atteindre la zone neutre que l'on me rentre à nouveau dedans et l'impact contre le mur m’assomme à moitié. C'est Andy et Zen qui sont en train de se débattre, le con à plein de farine dans la tronche, mais il a quand même le dessus, bam elle réplique par un coup de pied bien placé et boum il lui fourre le torchon le plus dégueulasse dans la bouche. Il est tend pour soldat Prescott d'intervenir, je m’empare d'une spatule sur le comptoir et saute dans le dos d'Andy en lui donnant des coups sur la tête.

- Lâche-là, lâche-là !!!

Malgré mon poids il réussit à se redresser, son cris est animal et en me sentant glisser le long de son dos je me met à rire en m'accrochant à son cou. Je ne veux pas à nouveau me péter le cul par terre. Je vois le yéti passer en courant et gueuler:

« Vite, il va nous falloir des munitions ! »

Habilement je lâche Andy et me met à courir en lâchant un glapissement, Chuck est déjà derrière le canapé, je vois son front dépasser alors qu'elle se tient aux rebords du canapé, afin d'examiner le champ de bataille. Préférant faire le tour du fauteuil plutôt que sauter par-dessus au risque de me viander à nouveau, j'arrive à ses côtés dans une glissade et j'éclate de rire. D'une part parce que sa gueule mérite un oscar, de l'autre à cause de l'adrénaline.

« J'ai besoin de renfort, mec ! Je répète : j'ai besoin de renfort. King-Kong a été prise en otage. »

Fermant les paupières, je lâche un long soupire, mon regard croise celui de Chuck: il faut agir. C'est une question de vie ou de mort maintenant. Code rouge: le singe est en danger, je répète, le singe est en danger. J'ai un plan. Pour ça, il faut que je monte à l'étage, mais on a un problème: Andy. Si je ne me grouille pas on en aura un autre, mais pour l'instant je l'entend encore se débattre avec les rideaux de douche. Prenant ma meilleure amie par les épaules je la regarde avec sérieux:

- Couvre moi !

Je la sers dans mes bras, au cas où cela soit un au revoir. Prenant une pantoufle à la semelle si dur que l'on croirait des chaussures cap d'acier j'essaye de rouler au sol en mode James Bond, mais j'ai juste l'air d'un gros sac à patates dont la roulade ne fait pas plus de un mètre. J'essaye de ramper à l'aide de mes coudes, mais à cause de la moquette je fais du sur place, c'est ce qu'on appel un double fail. Je me relève et me plaque contre un mur, je lance un regard vite fait dans la cuisine... Oh la conne ! Zendaya m'a vu et j'ai lâché un cris en pensant qu'il s'agissait d'Andy. Je suis grillée.

- BOMBARDEMENT !!!

Chuck ne perd pas de temps, elle lance les grandes (alias chaussons) et je cours dans la pièce en mode ralentis, me mettant à couvert derrière le comptoir. Andy étend distrait par cette attaque soudaine je regagne les marches. Je cours au fond du couloir vers la porte de la salle de bain restée grande ouverte, il n'y a plus personne. Cela veut dire qu'une chose... Lentement, je me retourne, il est en train d'essayer de s'échapper et regagner les escaliers.

- TOI !

En voulant le pointer du doigt j'en oublie que j'ai encore le chausson, qui vole dans les airs et atterris en plein dans la tronche d'Adam. En le voyant basculer en arrière je plaque mes mains sur ma bouche. Merdouille...

© charney

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptySam 10 Mai - 22:30

Chuck est contre le mur de la salle de bain, hurlant de toutes ses forces, le jet d’eau toujours pointé vers elle. Adam est mort de rire, quel merveilleux réveil, il n’aurait rien pu imaginer de mieux ! Pendant qu’il jubile intérieurement, il ne remarque pas le shampoing qu’étale la jeune femme par terre. Pieds nus, il glisse sur le carrelage, lâche la pomme de douche, et part se glander dans la baignoire. Lâchant un juron, il entend Chuck se marrer, visiblement très fier de son petit piège.

« C'est qui le plus fort maintenant ? »

Et sur ces mots, elle l’asperge d’eau. Adam hurle, tente de se protéger, en vain. Il n’a pas le temps de se redresser, ou de répliquer, que Chuck détale de la salle de bain rapidement et file dans le couloir.

« T’as raison fui, tu  vas le regretter, hurle-t-il à l’égard de la jeune femme. »

Le jeune homme finit par se redresser difficilement, trempé de la tête aux pieds. Ah ces filles, ça se croit tout permis, malheureusement pour elles, elles ont affaire à des vrais hommes. La salle de bain est dans un sale état, et en sortant de la baignoire, Adam oublie le shampoing sur le sol, si bien qu’il se ramasse par terre la tête la première. Le visage dans le shampoing, il grogne. Se relevant, faisant attention de ne pas glisser de nouveau, il a l’impression de faire du patin à glace sur le carrelage. Il plaint celles qui vont nettoyer la salle de bain. Sortant de la pièce, il entend soudainement son talkiewalkie cracher du bruit. Il le sort de la poche de son jogging, et entend ;

«J'ai besoin de renfort, mec ! Je répète : j'ai besoin de renfort. King-Kong a été prise en otage. »

Appuyant sur le bouton, il répond ;

« Bien reçu chef. »

Un otage ! Parfait tout ça ! Il ne reste plus que deux demoiselles en liberté vu que Zendaya est soigneusement retenu par Andy. Alors qu’il arrive à l’autre bout du couloir sur la pointe des pieds, il aperçoit Keeran en mode Totally Spies en bas des escaliers. Merde, elle monte. Vite, il se réfugie dans la première chambre à droite, celle de Chuck. Se cachant derrière la porte, il l’entend passer. Ouf, elle ne l’a pas repéré. Il entrouvre la porte en faisant le moins de bruit possible, et se dirige vers les marches en silence.

« TOI »

Merde. Il est repéré. Il se retourne, et fait face à Keeran en levant les mains en signe de paix. Mais il n’a pas le temps de dire quoi que ce soit pour sa défense, qu’il reçoit un ovni en plein de la tronche. Le choc est tellement puissant, que ça le fait reculer de quelques pas. Malheureusement, les escaliers se trouvaient juste derrière lui, et il les dévale sur le dos en hurlant. Arrivé en bas, il gémit de douleur. Il s’est pété le dos, c’est sûr. Il reste par terre, immobile tel un mort. Keeran dévale les escaliers, et s’approche de lui, se mettant à sa hauteur. Il ouvre les yeux, la fixe, et se met à hurler ;

« T’AS VOULU ME TUER ! MEURTRIERE ! AU BUCHER ! »

Il tente de se redresser, mais une douleur le lance en bas du dos. D'une manière dramatique, il met une main sur son front, grimace, et gémit de douleur ;

« Je souuuuuuuffre, je vais mourir. Dîtes à ma femme et mes enfants que je les aime. »

D’une main, il attrape son talkiewalkie dans sa poche, appuie sur le bouton, et lance ;

« Soldat Adam à terre. Je répète, soldat Adam à terre. Keeran alias Hulk a tenté de me tuer dans les escaliers. Il faut la condamner. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyDim 1 Juin - 16:45


   
J'pense être la plus intelligente de cette bande. Non, j'rigole on est tous cons.
La seule question qui me vient à l'esprit quand je débarque dans le salon pour me planquer derrière le canapé, c'est : qui va nettoyer ce beau bordel ? Qui sera désigné pour faire le ménage cette semaine ? J'observe discrètement Andy en train de fourrer le torchon le plus crade de la cuisine dans la bouche de Zendaya, ligotée à une chaise par deux ceintures en cuir. J'ai l'impression d'être plongée dans un film. Honnêtement, est-ce que vous avez déjà vu des gens aussi timbrés que nous ? Mon regard glisse ensuite sur le haut des escaliers, là où Adam continue de se débattre avec le rideaux de douche. Et je me mets à penser à ma chambre sans dessus-dessous que je vais devoir ranger. Je suis sur le point de bader rien qu'à cette pensée, mais je me ressaisis vite. On allait pas perdre la bataille, et encore moins la guerre. On était peut-être moins fortes physiquement qu'eux mais on avait plus d'un tour dans notre sac. Pour ma propre gouverne, j'ai sans doute l'air d'une pauvre bimbo mais il ne faut pas se fier aux apparences, je suis un vrai garçon manqué. D'ailleurs, j'aurais presque envie de roter à la figure d'Andy. C'est en croisant le regard de Keeran, qui m'a rejoint derrière le canapé, qu'on réalise qu'il faut agir. J'ai récupéré toutes les pantoufles les plus dures de l'appart. Une dernière accolade avec ma meilleure amie, signe qu'on allait peut-être pas survivre à cette offensive. « Si je meurs, je te lègue toutes mes paires de chaussures. Tu pourras aussi dire à mon patron qu'il était ingrat de me faire couper des rondelles de citron toute la journée ? » Bon, j'étais pas très habile de mes mains, un peu maladroite. D'accord, je suis une véritable tornade en cuisine, je renverse tout les plats que je suis ramenée en salle, je suis la pire serveuse au monde mais quand même.. Après ces adieux assez émouvants, je décide de prendre ma mission très au sérieux, enfin ça c'était avant de mater Keeran qui essayait de ramper sur la moquette, elle avançait pas d'un millimètre. J'essaye de me faire discrète au cas ou Andy pourrait la repérer et rentrer dans le rôle d'une des Totally Spies.

Au signal de Keeran, je saute sur mes pieds pour me mettre debout et bombarde Andy de toutes les pantoufles que j'ai en réserve, visant bien la tête et les bijoux de famille, espérant qu'il allait rapidement s'écrouler au sol. « C'est qui le patron, maintenant ? » Je parle sans doute trop vite parce qu'il se met à me courir après et la seule solution qui je trouve c'est de courir en rond autour de la table du salon, persuadée qu'il ne pourrait pas m'attraper. Au moins, j'occupe Andy le temps que Keeran monte à l'étage pour mettre son plan en application. J'ai la tête qui tourne à force de courir en rond autour de la table mais ça semble amuser Andy parce qu'il continue de rigoler comme un con. J'attrape alors un verre rempli d'un liquide inconnu déposé sur la table et le jette aux pieds d'Andy qui s'étale comme une merde. Yes, c'est mon dernier recours ! Je cavale et saute par dessus la table pour rejoindre la cuisine, dans l'espoir de sauver Zendy. Je me jette sur les genoux, sans doute trop brutalement parce que sa chaise tombe à la renverse. Oui, j'ai officiellement deux mains gauches. Plus maladroite, tu meurs. « Oups ! » Je grimace à moitié en détachant les ceintures qui la gardent prisonnière. Je me remets ensuite sur mes pieds, soudainement, quand j'entends un gros boom qui provient des escaliers. Ah, c'est juste Adam qui les dévale sur le dos. Sa tête se secoue pendant sa chute, on dirait un exorciste. Je regarde toute la scène, émerveillée et trop fière de Keeran qui se tient en haut des escaliers. Je lève mon pouce en sautant de joie. « Alors là, respect ! » S'en suit alors une scène mélodramatique, digne d'un film hollywoodien. Par contre, faut surtout pas se fier au jeu de comédie de ces deux-là, je sais déjà qu'ils imaginent à ce moment même la prochaine crasse qu'ils vont nous faire. Sans perdre de temps, je cours jusqu'au frigo et attrape le premier yaourt qui passe par là puis je continue ma course jusqu'à Adam pour lui sauter dessus, lâchant un rugissement telle une tigresse pour finalement ouvrir et écraser le pot de yaourt que j'ai en main qui s'étale bien comme il faut sur son visage.

mocking jay.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyLun 16 Juin - 2:14

[Ici Keeran. Puisque Zendaya ne répondra plus, qu'est-ce qu'on fait? les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  791686945 On en recommence un??]
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyLun 16 Juin - 11:40

Est-ce qu'on en recommence un lorsque la future coloc est ok ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  EmptyLun 16 Juin - 13:02

Autant pour moi je n'avais pas vu le MP d'Andy les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  924642617
Bah moi je suis d'avis que ouais? les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  288687308
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty
MessageSujet: Re: Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)    les colocs - Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Ne vous méprenez pas avec des termes si crus: le bordel ne fait que commencer ! (les colocs)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» ZYA ✤ Vis comme bob l'éponge, ris pour un rien et fait chier les gens avec ton bonheur. (terminée)
» Shade | Avec moi, faite attention de ne pas vous brûler les ailes !
» (zeus) la vraie honte, c'est quand vous jetez une banane dans mario kart et que vous finissez par glisser dessus.
» Ne joue pas avec le coeur des filles, elles n'en n'ont qu'un seul mais joue avec leurs seins au moins, il y en a deux !
» La baraque ft les colocs

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Come and Play :: première version :: rps terminés-
Sauter vers: