lukà - i want to do bad things with you

 k-a

ÂGE ▷22 ans SEXE ▷ fille PRÉSENCE ▷ 2-3/7 NIVEAU RP ▷ médium tout dépend de l'inspiration TYPE DE LIEN FAVORIS ▷ plus c'est compliqué mieux s'est ! OÙ AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ▷ partenaria COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ▷ bien ! SCÉNARIO, POSTE VACANTS OU PERSONNAGE INVENTÉ ▷ inventé CÉLÉBRITÉ ▷ ian somerhalder UN DERNIER MOT ▷

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<pris>ian somerhalder</pris> ◭ lukà r. silverwood

je suis née dans une famille reconstitué. mon père et ma mère avait chacun eu trois enfants d'un autre mariage avant de se rencontrer. six enfants, c'était amplement suffisant, mais ils en voulaient un qui serait à eux. ils s'aimaient terriblement, et c'était ce qu'ils voulaient. pourtant, leur choix ne fut pas vraiment le meilleur, puisque maman n'a pas survécu à l'accouchement, mais moi oui. je n'avais que quelques secondes de vie que déjà, j'étais le mal aimé de la famille. papa fut détruit par la mort de maman. on disait de lui que c'était un homme toujours très souriant qui aimait la vie. mais il était tout sauf ça. je crois ne l'avoir jamais vu sourire. depuis la mort de maman, il boit, et c'est tout ce qu'il sait faire. mes demis-frères et mes demis-soeurs ont du retourner chez leur père et leur mère respectifs, parce que notre père était un ingrat, mais moi je n'avais personne d'autre, alors c'est lui qui m'éleva et élever fut un grand mot. il me détestait et ne se gênait pas de me le montrer. non, il ne m'a jamais frapper, mais il me brassait quand même, me rappelant chaque jour de mon existence que j'étais un moins que rien. bref, rien de très étonnant que j'ai finis par mal tournée. dès mon entré au primaire, j'étais un vrai petit bagareur. je me battais pour des niaiseries, mais c'était plus fort que moi. c'était ma seule manière d'évacuer toute cette colère qui avait en moi. je n'avais pas beaucoup d'ami. j'étais plutôt renfermer sur moi-même et je repoussais tous ceux qui essayait de percer ma petite bulle. le lycée fut un peu autrement par contre. j'étais toujours aussi agressive, mais curieusement, ça plaisait au femmes. bah oui, vous savez bien comment elles sont. elle cours après les mauvais garçons qui ne les aime pas. elles sont idiotes quoi !

je devais avoir 16 ans lorsque je l'a rencontra pour la première fois. une jeune femme qui aurait forcément un très belle avenir, il n'y avait pas de doute. très belle oui, mais également très sage, qui n'a probablement jamais rien fait de mal dans sa vie. il ne m'avais suffit qu'un regard vers elle pour comprendre ce qu'elle était. une petite fille de riche qui n'a rien le droit de faire. c'était elle qui était venu vers moi. c'était elle qui était venu s'asseoir à côté de moi pendant ce fichu cours de mathématique. « salut ! » en cet instant précis, j'étais complètement gelé, comme d'habitude en fait, et elle était beaucoup trop joyeuse et enjoué à mon goût. mon regard se détourna tranquillement vers elle. elle avait le sourire fendu jusqu'aux oreilles. qu'est-ce qu'elle me voulait ? honnêtement, j'en avais rien à foutre, c'est pourquoi j'ai décider de l'ignorer en espérant qu'elle comprenne le message. « je suis myah et tu es.. ? » « pas intéresser » je l'a vis qui resta surprise. non, mais à quoi elle s'attendait ? je veux bien croire qu'elle est nouvelle, mais tout l'école sait comment je suis et elle a pas choisi la bonne personne avec qui devenir copain ou je sais pas quoi. au moins elle ne m'adressa plus la parole du reste du cours. je croyais bien m'en être débarrasser, mais non cette myah était très bien entêté. j'ignorais ce qu'elle cherchais auprès de moi, mais elle était complètement obstiner à me connaitre, et moi je ne cessais de la repousser et plus je la repoussais, plus elle m'intriguait. je crois qu'elle me voulait tant parce qu'elle n'était pas habituer de se faire dire non et ça m'amusait.

ça lui pris environ un an d'acharnement, pour que je finisse par lui dire oui, et après quelques sorties, on a finalement devenu un couple. nous avions une vrai relation empoisonné, mais on était totalement accroc l'un à l'autre. les parents de myah était totalement contre notre relation. je n'étais qu'un jeune dévergondé et je ne venais pas d'une bonne famille. au début, on se voyait dans leur dos, mais elle a finit par tout planter, sa famille, ses études, pour être avec moi. c'était une idée complètement stupide, mais on est stupide lorsqu'on a dix-huit ans. cette petite myah dans toute sa pureté n'avais plus rien de ce qu'elle était. je l'avais complètement changer. on se disputait sans cesse, mais on revenais toujours l'un vers l'autre. mais après quatre ans de vie commune, elle finit par découvrir que je ne lui étais pas fidèle, que je ne l'avais même jamais vraiment été. elle me flanqua une gifle en plein visage, bon dieu ce qu'elle me mettait hors de moi lorsqu'elle le faisait. il me fallait toujours tenter de reprendre le dessus sur moi pour ne pas lui remettre la pareille. « c'est quoi ton problème lukà ? » je n'avais pas du tout envie de parler de tout ça. c'était toujours pareil avec myah de toute façon, on s'engueulait, on s'envoyait en l'air et c'était déjà oublier. « je t'en pris bébé, c'est pas la fin du monde » bon dieu, j'eu l'impression de déclancher une bombe nucléaire. je ne l'avais encore jamais vu si fâché, mais bon dieu ce qu'elle me faisait de l'effet. « j'ai été tellement stupide ! j'y ai vraiment cru, j'ai vraiment cru que tu pourrais m'aimer. je... je peux plus vivre comme ça. toi et moi s'est fini » et elle partie, et cette fois-ci, c'était pour de bon.

quelques mois après notre séparation, je pris une grande décision qui changea complètement ma vie. j'avais besoin de changer d'air. je ne l'avouerais jamais, mais ma séparation avec myah m'affectait grandement. je quitta absolument tout et je m'engagea dans l'armée. n'ayant pas vraiment d'étude, je ne pouvais rien faire d'autre de toute manière. je partie deux fois en mission pendant trois ans. ma dernière mission s'est très mal terminé. sur le champ de bataille, mon meilleur pote y a laissé sa vie, et j'ai reçu une balle en plein abdomen après avoir tenter de le sauver. me revoilà donc de retour à la maison après six ans d'absence. c'était bien la dernière chose que j'avais envie, retourner ici, mais j'étais en arrêt de travail jusqu'à ce que ma blessure guérisse. à peine une semaine plus tard, c'était l'enterrement de john. je n'avais encore jamais eu la chance de rencontrer sa femme. maintenant, c'était chose faite. une vrai déesse. bien sûr, il m'avait montré des photos d'elle, mais on était bien loin de la vérité. bordel lukà, arrête de mater sa femme. j'imagine le fait que je ne m'étais pas envoyer en l'air avec aucune fille depuis beaucoup trop longtemps n'aidait pas à ma cause. heureusement pour moi, ou malheureusement je n'en suis pas certain, je devais aller la voir. « marley ? je... j'ai quelques choses pour vous » je lui tendis alors une lettre. je vis ses yeux s'emplir d'eau à la vue de l'écriture de son mari, ça ou le fait qu'elle était un peu taché de sang, son sang. puis, elle fondit en larme s'accrochant à mon cou. je figea quelques secondes avant de refermer mes bras contre elle. ça commença comme ça, et croyez le ou non, j'ai été assez salaud pour coucher avec elle, une, deux, trois fois.

je me réveillais en sursaut, complètement en sueur. marley a mes côté qui semblait inquiète, appeuré je ne sais pas vraiment. merde, j'avais passé la nuit ici ? je finis par me redresser du lit en lui lançant de plate excuse tout en rattrapant mes vêtements au sol. « tu fais souvent des mauvais rêves ? » je regarda marley brièvement, mais choisissa plutôt d'ignorer ses paroles. déjà que l'armée m’obligeait à suivre un psychologue, je n'allais certainement pas raconter mes problèmes à tout le monde. ce n'était pas mon genre. quelle l'accepte ou non, je ne l'a voyais que pour coucher avec elle ça se limitait à ça notre liaison. « lukà... » « laisse-moi tranquille marley » j'étais sec, même bête. je ramassa rapidement mes affaires et parti ainsi sans rien ajouter de plus. oh oui! avoir une relation avec moi ce n'était pas toujours du gateau, mais encore là, j'étais loin de me douter que nous avions tous les deux une amie en commun, ma chère myah.

Je suis trop fan de Luke

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