+ cause you have found him and you have screamed. (Kill & BJette)

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Billie-Joe K. Thompson a écrit:: Heureusement pour toi, Kill se réveille. Il réalise ce qu’il se passe et desserre immédiatement son étreinte un peu trop intense. Il s’excuse, tandis que toi, tu respires à nouveau correctement. Il se colle un peu plus contre toi et caresse ta joue. Ton cœur fait un putain de dératé dans ta poitrine. Ça y est, à peine ton corps venait-il de s’éveiller qu’il réagissait déjà au quart de tour et dans une violence délicieuse au contact de Kill. Voilà, il venait de déclencher un brasier sous ta peau. « Pourquoi t'es réveillée, c'est trop tôt. » marmonne-t-il tout en refermant les yeux avant d'enfouir son visage dans ton cou. Tu frisonnes de plaisir. Il t’attire à lui (tout ton corps tend déjà inconsciemment vers lui). Tu te sens comme dans une bulle, coupée de tout, dans un pur moment de laisser aller total. Alors, tu sèmes de légers baisers dans son cou, tout en laissant ta main caresser son bras, avant de remonter doucement à ses lèvres que tu embrasses avec tendresse. Tu sens ton cœur battre à toute allure dans ta poitrine. Tu finis par décaler légèrement ton visage du sien et réponds : « On a reçu des sms, ça m’a réveillé. » Tu prends sur toi et te fais violence pour te séparer de lui, afin d’attraper ton portable que tu as au préalable repéré. Tu reviens ensuite te blottir contre lui, ton portable en main. T’as deux sms de Syd. Tu les lis rapidement et informe ensuite Kill : « Syd donne rendez-vous à tout le monde au concert de Dimitri Vegas, il est dans 30 minutes. » Tu relèves les yeux vers son visage afin de voir sa réaction. Kill était entrain de se rendormir. Tu esquisses un petit sourire malicieux, te redresses, attrapes ta casquette style camouflage militaire et la visse à l'envers sur ta tête, pour finalement venir t’asseoir à califourchon sur lui. Tu commences à bouger, comme si tu dansais, remuant ton bassin et tes bras : « Allez, on se réveille ! Y’a un concert de folie qui nous attend ! » Il grogne légèrement. Tu lâches un rire. Tu te penches par la suite, jusqu’à ce que ta poitrine vienne rencontrer la sienne, et prend d'assaut ses lèvres que tu bombardes de petits baisers plus doux les uns que les autres, espérant ainsi le réveiller (complètement). Puis, affichant un petit sourire en coin, tu murmures pour le taquiner : « Tu ne vas pas me dire que je t’ai autant crevé cette nuit ? J'fais trop fort pour toi, c'est ça ? T'arrives pas à suivre la cadence ? »

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Tu vois les papillons dans le ventre ? t'sais ces putains de battements d'ailes sous la peau. ces frissons de plaisir quand ses lèvres te touche. insupportable. insupportablement bon. le genre de sensation qui enfante le désir. le désir qui implose quand sa bouche glisse sur la tienne en un baiser presque tendre. tes yeux s'ouvrent. t'en veux encore. t'en veux tellement plus. là maintenant. surtout quand ses doigts courent sur ta peau. tu voudras la garder contre toi, encore. parce qu'on peut pas se lasser de ce genre de drogue. mais déjà, elle s'est redressée. l'éloignement, comme une déchirure. tu refermes les yeux. soupirant silencieusement. essayant par tous les moyens de te convaincre que lui sauter dessus là maintenant tout de suite n'est pas une bonne idée. pas correcte. mal-venu. « On a reçu des sms, ça m’a réveillé. » un ricanement s'échappe de tes lèvres, faisant grincer l'odieux matelas gonflable qui vous a servit de lit. « Qui est l'auteur de ce crime terrible ? » demandes-tu, moqueur. « Syd donne rendez-vous à tout le monde au concert de Dimitri Vegas, il est dans 30 minutes. » un grognement s'échappe de mes lèvres et je referme les yeux, me blottissant contre mon oreiller, cherchant à grappiller quelques minutes de plénitude supplémentaires. Mais BJ ne l'entend pas de cette oreille là. subitement, la voilà nue, assise sur mon ventre. occupée à se trémousser certainement dans l'optique de provoquer une réaction chez moi. « Allez, on se réveille ! Y’a un concert de folie qui nous attend ! » je souris malgré moi en grognant à nouveau, alors que mes doigts commencent à glisser lentement sur la peau de ses mollets, avant de remonter sur ses cuisses. Alors, je la sens se pencher, jusqu'à ce que ses seins touchent ma poitrine. Mes mâchoires se resserrent suite à l'excitation certaine qui s'insinue en moi aussi sournoisement qu'un serpent. ses lèvres s'emparant des miennes d'autorité pour y planter de légers baisers, ce à quoi mon corps entier répond en frissonnant. « Tu ne vas pas me dire que je t’ai autant crevé cette nuit ? J'fais trop fort pour toi, c'est ça ? T'arrives pas à suivre la cadence ? » cette dernière pique à pour effet de mes faire ouvrir les deux yeux d'un seul coup tandis qu'un sourire exactement carnassier vient étirer mes lèvres, mes mains remontent furtivement sur ses hanches, avant de la faire basculer à côté de moi. La recouvrant de mon corps l'instant d'après. Une lueur taquine brille au fond de mes yeux « Tu t'inquiète trop pour moi, petite. » marmonnais-je alors avant de plonger sur sa bouche tentatrice, mordillant sa lèvre inférieure avant de l'embrasser avec audace.

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Brûlant, intense, indécent ; le désir. Tu le sentais, là, à cet instant, s'emparer lentement de toi. Le corps nu de Kill contre le tien, ses lèvres contre les tiennes. Oh merde. Il t’excitait terriblement. Déjà un peu fiévreuse, tu réponds à son baiser dans une fougue incontrôlable et en profite pour reprendre le dessus, le faisant basculer. Le souffle court, tu plantes ton regard brûlant dans le sien tout en te mordant violemment la lèvre inférieure. Après quelques secondes, tu récupères enfin ses lèvres afin de poursuivre votre baiser. Oh putain de bordel de merde. Tu avais horriblement envie de lui (oui, déjà), mais avec Kill ce n'était pas possible, non. Ce mec il te rendait dingue, complètement dingue. Tu le voulais et lui aussi. Tu sentais son excitation, son désir, pas seulement au "niveau physique". D'ailleurs, son érection avait le don d'attiser encore plus ton excitation qui se répercutait jusqu'à ton sexe. Toi aussi, ton corps réagissait. Tu finis par abandonner ses lèvres au profit de son cou, que tu mordilles entre deux baisers, tout en faisant mouvoir très légèrement ton bassin. Tu remontes par la suite à son oreille et murmure avec un petit sourire, le défiant : « Ok. Alors, prouve le moi. » Vous aviez 30 minutes devant vous, bon allez, 25 maintenant. C'était largement assez. Quoique, toi, tu savais. Tu savais que dans ses bras le temps passait à une vitesse phénoménale et que souvent, même si tu refusais de te l'avouer, tu avais du mal à les quitter, à le quitter. C'était comme une déchirure, non, c'était une déchirure.

» you found me (ft. imogen)
» Porte Close (Bjette)
» Hurricane in Wonderland ۞ BJette
» mon coeur à l'envers, ma rage à l'endroit / bjette
» comme si rien ne pouvait nous arriver ft. bjette