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 Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON

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MessageSujet: Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON   Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON EmptyVen 18 Juil - 4:07


« Félicitation tu vas bientôt toucher le fond c'est bien... »

Nous sommes de ceux qui font l'amour en deux temps,Nous sommes de ceux qui s'y prennent à l'envers avec les autres,Nous sommes de ceux sur lesquels on parie jamais,Nous sommes de ceux qui savent plus raisonner de façon logique...  ☇FT. BRANDON FOSTER

T'as manquée à ta propre promesse, à cette promesse que tu t'es faite alors que tu franchissais enfin les portes de ce trou dans lequel tu vivais, ou plutôt survivais depuis quelques mois. Tu t'étais promis qu'après avoir franchit ses portes, tu ne reviendrais plus jamais dans ce trou perdu qu'est Bristol, mais bon finalement t'as manquée à ta propre promesse. Pour toi, la famille ça jamais été important dans le sens où tu as constamment l'impression de voir une lueur de déception dans le regard de tes parents lorsque tu poses tes yeux sur eux. Pourtant lorsque t'étais gosse, tu étais leur plus grande réussite, une énorme fierté puis en grandissant t'as décidée d'emprunter le chemin épineux et accidenté, t'as jamais aimée les choses simples de toute façon et sur ce fameux chemin, t'as rencontrée des gens qui se sont occupés de marquer ta vie à jamais pour le meilleur et pour le pire. Par contre, en passant ces mois dans une cellule confinée t'as réalisée que la famille au fond c'est peut-être important finalement. T'as quittée le domicile de ta tante à Détroit où tu as été durant une période dans le but de te remettre sur pieds, puis t'es rentrée chez toi. T'as marché jusqu'à ta maison familiale avec ta petite valise et tes vêtements crasseux puis t'as gravis les trois marches du perron t'apprêtant à t'étirer la main pour frapper un bon coup, mais tes yeux se sont glissés à la fenêtre désignant le salon et la scène que t'as vue, t'as figée sur place et t'as décidée de faire demi-tour et d'accélérer le pas pour quitter les lieux au plus vite. Ton coeur s'est serré dans ta poitrine et t'as serrer les dents pour contenir l'émotion qui t'a envahit. Pourtant, ce que t'as vue ça devrait se passer dans tout les foyers mais pour toi, cela t'a blessé. Tu as vue tes parents rirent et discuter ensemble comme si tu n'avais jamais existé pourtant, ils sont venus te voir les premiers temps durant ton incarcération, mais tu voyais qu'ils étaient dépassés par tout ça, du coup, tu as demandée à ce qu'ils ne viennent plus te voir. Ouais, t'as toi-même décidé de les écarter de ta vie pour leur épargner ce calvaire dans lequel, tu t'étais foutu. Ton retour au bercail te faisait revivre toutes sortes d'émotions, un sacré cocktail. Tu tentais de te faire discrète, mais évidemment dans une ville que Bristol toutes les nouvelles vont comme une traînée de poudre et bientôt, t'eus l'impression que les gens te fixaient avec de la hargne dans les yeux, comme s'ils te traitaient de meurtrière. « Alors comme ça, on rentre en ville comme si de rien n'était?» Alors, que tu marchais dans les petites rues ton ipod dans les oreilles, tes pas sont freinés par une bande qui t'intercepte sans gêne, évidemment tu les reconnais tous. Jadis, tu faisais partie de cette bande toi aussi, tu étais des leurs jusqu'à cette fatidique nuit où tout à changer pour toi comme pour eux. Tu les observes tour à tour retirant doucement un écouteur de ton oreille. « J'savais pas, que les boeufs osaient faire sortir ceux qui ont encore du sang d'innocent sur les mains.» Tes traits sont sans expression, mais à l'intérieur de toi, tu hurles étant complètement effrayée. Ouais, tu les connais, tu sais comment ils fonctionnent et qu'ils n'hésiteront pas à avoir ta peau pour obtenir une quelconque vengeance. T'avances d'un pas, mais l'un de la bande te retient pour ne pas que tu bouges et tranquillement le cercle qu'ils forment autour de toi devient plus petit. Habituellement, t'as jamais la trouille tu te montres fortes et tu sors les crocs à qui osent t'approcher, mais cette fois un petit murmure dans le coin de ton esprit te dit que c'est la fin. Pourtant, t'as encore la petite flamme qui brûle en toi et parcours tes veines, tu bouges ton bras pour qu'il retire son emprise sur toi, puis soudainement une des filles de la bande s'avance vers toi et te regarde avec un dédain te prenant le visage durement dans sa main, maintenant tes joues sont compressées et vous, vous regardez dans les yeux. Putain, t'as soudainement envie de chialer en voyant ces prunelles, des prunelles que tu connais tant, que tu as connus jadis dans une vie meilleure. C'est la soeur du pote que t'as tuée, tu comprends sa haine envers toi de toute façon tu aurais réagis probablement de la même façon si c'était ton frère le concerné dans cette affaire. Elle finit par murmurer la voix tremblante et rageuse à la fois; « Crève salope...» T'as l'impression de voir une larme se loger dans le coin de son oeil prête à se détacher et glisser le long de sa joue. Puis soudainement, tout va trop vite pour ton petit cerveau, une immense douleur te prend aux côtes et tu te retrouves au sol, tu tentes de reprendre ton air, mais malheureusement tu es de nouveau roué de coups. Un goût de rouille te prend la gorge et ta vue s'embrouille et bientôt les paroles à peine audible que tu attends disparaissent et tout devient noir. « Oh Paul aide-moi, regarde...» Une voix douce surgit de nulle part, comme un messager de Dieu peut-être? Ouais voilà, t'es rendue au paradis tu le sens. « Non Agnès, allez il faut pas rester là!» Tes paupières battent et s'ouvrent doucement sur une vue littéralement flou et tu constates ces deux passants s'enfuirent en te laissant là, comme un pauvre animal blessé. Tu toussotes et grimace en venant cracher cette substance rouge et tu tentes de te relever, mais le premier essai n'est pas glorieux, même que tu laisses échapper un cris de douleur en te tenant le ventre d'une main tremblante. Tu réussis toutefois à faire quelques pas avec difficulté pour finir ton chemin endossé contre le mur d'une vieille bâtisse, tu fermes les yeux à nouveau pour reprendre ton souffle et le soupçon de courage qui te reste, puis tu finis par fouiller maladroitement dans la poche avant de ta veste en cuir pour t'emparer de ton portable et composer ce fameux numéro, la sonnerie retentit et t'espères vraiment qu'il finisse par décrocher; « Hey Foster...» Ta voix est terriblement faible, mais tu trouves quand même le moyen de lâcher un rire accompagné de toussotement; « J'crois que j'ai encore foirée...» Réussis-tu à articuler en tentant de prendre ton air, ensuite tu enchaînes en lui demandant s'il peut venir te chercher et tu réussis tant bien que mal à lui dire où tu te trouves pour finalement raccrocher faisant ton immense possible pour rester éveillée. 

© MUSCLOR.
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MessageSujet: Re: Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON   Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON EmptyDim 14 Sep - 14:54

sing for the moment
∞ milo & brandon


T'es là, t'as terminé les cours, à vagabonder dans les ruelles les moins sûres de ta très chère Bristol, tes yeux sombres suspendus au ciel, la tête dans les nuages. La tige de weed suspendu à tes lèvres te brûle les poumons par sa fumée, tes bons vieux démons sont de sortis, tu tapes dans ton stock, tu te mets à consommer, à tomber dans ce cercle vicieux. Les dealers défoncés, ça devrait être interdit. Aujourd'hui, tu ne suis pas vraiment les règles. En réalité, jamais tu ne les suis. L'autorité n'est pas ta meilleure amie, les conseils et les ordres non plus, alors t'ouvres les vannes, tu laisses tout couler, tu t'laisses doucement aller. Pourtant tu reste là, assis contre la murette froide d'un quartier craignos, tu ères toute la journée, n'ayant peur de rien, ni personne. Tu redescends de tes étoiles, alerté par un son que tu connais trop bien, celui des crissements de pneus sourds, ce bruit qui brise le silence paisible qui a toujours été la meilleure de tes compagnies. Tu tournes ta têe dans la direction du bruit, vers cette caisse qui dérape pour s'arrêter juste en face de toi, celle où un des hommes d'Eden sort. Encore un mec qui cherche à attraper celui qui ne se fait jamais choper, encore un qui veut te coincer. Tu souris en écrasant le joint contre le bitume, ton regard sombre rivé en sa direction, un sourire mauvais, celui d'un fauve enfin libéré de sa cage, violent, cynique qui éclaire ta gueule d'ange. Tu t'imagines déjà en train de lui faire bouffer la murette, lui faire ravaler ses dents de dedans, tu vas l'faire payer, tu veux sentir son sang sur tes mains. C'est malsain, c'est mal. Mais ta conscience et ton humanité, elles sont loin, il n'y a que toi et tes sales démons, tes mauvaises habitudes, que l'enfant de la rue, que ta malveillance qui s'évade. Tu restes assis contre la murette alors que le mec s'approche dangereusement de toi, beaucoup trop sûr de lui, sans doute persuadé qu'il parviendra à te laminer dans l'état dans lequel tu t'trouves. T'as ton sac à dos ouvert et posé entre tes jambes pliés, t'as décidé de jouer, d'lui faire un peu peur. Ici, c'est ton ter-ter, tu connais l'quartier comme ta poche. Il veut jouer lui aussi, mais c'est toi qui va gagner. Tu laisses la fumée noircir tes poumons, tu la laisses s'infiltrer doucement, te plongeant dans ton univers, dans ce paradis artificiel. Au moment où l'gars a le malheur te penser qu'il t'agrippe enfin, tu sors de ton sac le gun que tu tenais entre tes doigts depuis le début, dissimulé sous ton sac à dos. Alors à c'moment là, tu lis la peur dans ses yeux, la mort aussi peut-être. La rue est vide, déserte, il te lâche le col quand tu déposes le pistolet à sa tempe et tu le colles au mur le plus proche. L'imbécile, il se laisse faire. Il dit rien. Toi non plus. Ton avant-bras l'empêche de s'enfuir, coincé contre sa gorge. Seul le bruit de ton téléphone qui sonne brise ce silence dérangeant. Tu grognes, toujours dans le coaltar, en le sortant de la poche pour l'approcher de ton oreille. Milo. Tu fronces les sourcils en l'écoutant. « J'arrive. » Merde, elle doit être mal en point. T'essayes de comprendre ses dernières paroles, dans un chuchotement, pour savoir où elle est exactement, avec qui. En raccrochant, tu recules pour ranger ton arme dans ton sac à dos, d'un air las, fatigué, dérangé. L'autre, il tremble toujours contre le mur, il s'fait tout petit, redoutant sans doute le moment où la balle ira se loger au bon d'son crâne. Tu souris encore une fois, d'un air mauvais, et tu l'attrapes par la tête. « C'est ton jour de chance, mon pote. » Puis tu l'achèves d'un simple coup de tête. Puissant. Il tombe par terre et se relève plus, il ne se relèvera pas avant quelques minutes de toute façon. Tu remets ensuite ta casquette en place et tu te dépêches de rejoindre celle qui a besoin de toi, l'une des seules que tu veux protéger jusqu'au bout.

Bristol East, 18h00. Milo, tu la vois, vautrée dans cette ruelle sombre. Elle a l'air fatiguée. Brisée aussi. Tu t'approches pour t'accroupir près d'elle, jaugeant les dégâts. On dirait une poupée oubliée, traînée dans la boue, Milo. Elle a envie de fermer les yeux, c'est peut-être plus grave que ça en a l'air. Alors, tu glisses une main derrière son cou pour la redresser un peu. T'essayes de la secouer un peu de ton autre main, déposée sur sa joue. « Non, putain.. Ouvre les yeux, Milo. J'suis là. » Tu te relèves, les mains sur la tête, tournant en rond quelques secondes, cherchant du regard l'un des connards qui aurait pu la mettre dans un état pareil. Y'a personne, pas un chat. Tu t'énerves, tu frappes dans une poubelle qui traine et t'as plus d'autres solutions : faut que tu ramènes Milo à l'appart. Faut que tu la soignes, tu peux pas la laisser ici, pas comme ça. « J'te promets que j'vais les retrouver. Ils vont payer, Milo. Ils vont payer. » Tu lâches, entre tes dents, ne sachant pas trop si elle pouvait t'entendre, si elle était encore consciente ou pas. Tu la portes donc sur ton dos, sa tête sur ton épaule, tes bras sous ses cuisses et tu te dépêches de rejoindre l'appart de Kill, tapis dans l'ombre des ruelles de Bristol.

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MessageSujet: Re: Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON   Félicitation, tu vas bientôt toucher l'fond, c'est bien. ✤ MILO&BRANDON EmptySam 11 Oct - 16:50

Tu sers les dents en tentant de contenir la douleur qui te parcours le corps, putain ils ne t'ont pas épargnés. Alors que tu fermes les yeux pour te concentrer, tu revois ses yeux qui t'envoient de la haine à profusion les même yeux que lui. T'as finalement réussi à passer ton coup de fil, t'ouvres les yeux et tu regardes au alentour la panique au travers de la gorge et si jamais ils revenaient pour t'achever? Tu tentes de te remettre sur tes pieds désirant quitter cet endroit, malheureusement ton corps ne suit pas et tu t'écroules à nouveau au sol. Tu manques de force, bien que t'es toujours cette volonté, ta force quant à elle n'est plus. Tes yeux se ferment et tu plonges dans l'obscurité. Voilà, c'est ça peut-être la fin pour toi? Après tout, tu n'as ce que tu mérites pas vrai? Mais en même temps on dirait que tu souhaites d'accrocher à quelque chose, parce que t'as passée cet appel alors que tu aurais très bien pu te laisser mourir. Mais, t'es une battante toi au fond et jamais tu ne te bats seule. T'as toujours ton guerrier avec toi en cas de problème, il faut dire que c'est plutôt rare que tu fais appel à lui, habituellement, tu t'arranges pour sortir de tes emmerdes toute seule comme une grande, mais là cette fois t'appréhendais de ne pas t'en sortir comme à l'habitude. Milo réalises-tu ce que tu fais endurer aux autres autour de toi? Évidemment, que tu le sais et bien que tu n'as pas toujours les mots pour remercier tu essaies de rendre l'appareil quand tu le peux. Ne te laisse pas abattre petite Milo, ton guerrier est là il est enfin là pour te sortir d'ici tout ira bien maintenant. Sérieusement, tu fais pitié à voir allongée au sol le visage légèrement marqué signe des coups que tu as reçu. T'es aussi molle qu'une poupée de chiffon lorsque tu sens sa présence au dessus de toi, tes yeux tentent de s'ouvrir, y'a pas de doutes tu tentes de lutter encore et encore. Mais, ton esprit divague ailleurs et t'as pas trop consciente de ce qui se passe. T'entends des murmures qui semblent lointain et à nouveau tu replonges dans la pénombre. T'as entendu ça Milo, il a dit qu'ils les feraient payer bien sûr, si tu pouvais être consciente tu saurais pertinemment que ce n'est pas une parole en l'air, lorsqu'il dit quelque chose il le fait. Il est comme ça Foster, c'est un vrai, un vrai guerrier. Il te prend donc sur ses épaules pour te ramener dans un lieu sécurisé. Tu demeures là, sur son dos comme si tu étais endormie heureusement ton petit coeur bat toujours dans ta poitrine signe que tu es toujours en vie. Vous voilà, arrivés à l'appartement qu'il partage avec les autres colocs. T'es déjà venue quelques fois auparavant, mais seulement quelques fois. Il entre donc toujours avec toi sur son dos, pour ensuite te déposer sur le canapé. Ce n'est seulement à ton réveil quelques heures plus tard que tu constateras où tu te trouves. Tranquillement, tu sembles vouloir sortir de cette obscurité que tu n'appréciais pas du tout, tu bats légèrement des paupières en grimaçant. L'environnement est flou alors tu refermes les yeux à nouveau et une douleur te prend aux côtes ce qui te fait toussoter en même temps que tu tentes une nouvelle fois d'ouvrir les yeux.Tu le vois aussitôt assis non loin de toi, qui te fixait comme un véritable garde du corps. T'avales doucement ta salive et t'as vraiment l'impression de revenir de loin. T'as les yeux rivés sur lui, mais tu demeures silencieuse comme si tu laissais le temps à ton cerveau de se remettre correctement en place. « Hey...» Finis-tu par souffler, à nouveau ton propos est accompagné de toussotements qui te font ressentir à nouveau cette vilaine douleur dans les côtes. T'essaies ensuite de te redresser, mais tu es coupée dans ta lancée à nouveau par cette douleur qui s'intensifie et qui ne te fait pas de cadeaux. Tu lâches un faible; « Putain de merde...» Et aussitôt Brandon s'avance vers toi pour t'aider à te rallonger. Tu soupires légèrement, tu détestes ce genre de situation où tu passes pour la petite victime. Tu prends une grande inspiration, avec cette douleur t'as l'impression de chercher constamment ton air, puis tu regardes autour de toi et tu ne peux pas t'empêcher d'ajouter une connerie;

« T'as pas fait le ménage avant que je débarque, j'suis déçue.» Évidemment, ton timbre de voix est faible et ta phrase peut paraître incompréhensible puisqu'elle est entremêlée de toussotements. Mais bon, t'es comme ça tu ne peux pas t'empêcher de sortir des conneries même dans les moments où t'es au plus mal. Étrangement, c'est rare que tu te retrouves au plus mal normalement tu réussis toujours à te sortir de tes emmerdes avec des mains de maître tellement que souvent tu te demandes toi-même comment tu fais. Mais bon, cette fois ils t'ont pris par surprise bien que tu t'y attendais. Depuis ta sortie de taule, ils n'attendent que ça venir t'achever, ils sont assoiffés de vengeance et tu ne peux pas les haïr pour ça, probablement que tu aurais la même soif qu'eux si tu venais qu'à perdre quelqu'un comme ça. Saloperie, tu ne voulais tellement pas que cela arrive de toute façon tu l'aimais beaucoup trop pour ça comment aurais-tu pu envisager de causer cette accident de façon intentionnelle. À croire, qu'ils ne te connaissent pas parfaitement pour croire que tu as fait exprès. D'un autre côté, ils sont tous aveuglés par la douleur et l'envie de faire payer alors du coup adieu le rationnel. À nouveau le silence plane dans l'appartement suite à ta plaisanterie. Tu plonges tes yeux dans ceux de Brandon et tu peux y lire cette lueur, cette lueur mauvaise qu'il possède parfois. Une lueur qui au départ arrivait même à t'effrayer parce que tu t'attendais au pire et tu savais qu'il était capable du pire. Tout en t'humectant les lèvres tu tentes de le calmer pour ne pas qu'il fasse des conneries qu'il pourrait par la suite regretter. « Ça va aller...» Dis-tu, t'as pas besoin de grand mot pour que la communication se fasse, entre vous c'est comme ça depuis que vous, vous connaissez. T'as appris que Brandon n'était pas un homme de beaucoup de mots, t'as appris qu'avec lui les silences pouvaient parfois dire beaucoup plus que les phrases bien construites. Alors tu tentas dans un silence en croisant son regard de lui demander de ne rien faire, de toute façon vous aviez vus ce soir où la vengeance menait et c'était pas l'idéal.  
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