la gente esta muy loca + gina

Invité

GINA DEL SOL

nom ☇ del sol. prénoms ☇ gina, juste gina. age et date de naissance ☇ la folle vingtaine. mon anniversaire ? c'est le 12 juillet 93, en plein été man. nationalité ☇ espagnole. si je suis au pays de de la reine-mère, c'est juste grâce au visa. pas à la carte verte. origine ☇ vengo de españa, barcelone pour être exact. statut social ☇ i'm freeeeeee to be whatever i. orientation sexuelle ☇ les mecs, cey la vie. niveau d'étude ☇ c'est possible qu'il soit en dessous de zéro ? genre à moins vingt ? job ☇ je fais ce boulot merveilleux là, tu sais, contribuer à l'économie britannique, ça c'est top ça. revenus ☇ toujours l'héritage de granny, et grâce à mes placements, il ne s'épuise pas, dieu merci statut familial ☇ avec mes parents, c'est un peu la guerre froide. on se parle pas trop, voir pas du tout. mais ça va hein j'le vis bien. ils font leur bout d'chemin tranquille et moi le mien, chacun de son côté. traits de caractère ☇ ça va être un peu tendu de me résumé en traits de caractères mais okay ; drôle, égocentrique, insouciante, volage, chaleureuse, généreuse, loyale, indépendante, têtue, intelligente, flemmarde, séductrice et folle, très très très très folle tentations ☇ c'est paradoxale un peu, genre, tout ce qui est bon, mais aussi ce qui est mauvais. la drogue, ouais, c'pas bien mais qu'est-ce que c'est bon. le sexe, non ça par contre c'est que du bon. les fringues, je suis une victime de la mode. chanel, louis vuitton, marc jacobs, versace, je craque, je craque. j'sais pas ça s'explique pas. je suis trop réceptive à ce genre de produits, le luxe. après, plus basique, la bouffe. j'adore manger, j'aime découvrir de nouvelles saveurs, de nouveaux plats. j'aime trop. le cinéma, les séries, je passerais mes journées à ça presque. le sport ça m'fait du bien aussi, c'est important. après j'sais pas, des tas de trucs.

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je suis fille unique, ce qui veut dire, très gâtée. papa et maman sont de riches entrepreneurs immobiliers, les del sol sont à l'aise depuis plusieurs générations déjà. l'oseille coule à flot. papa et maman me voyaient reprendre l'entreprise familiale mais pas question, moi, derrière un bureau, t'imagines ? le bad, le bad. et quand je leur ai dit « je pars en road trip, fuck la society » ils m'ont coupé les vivres. don't worry, be happy, fort heureusement, l'héritage de granny est venu à la rescousse. ma grand-mère, dans son infinie folie, m'a légué une sacrée petite (++)

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(f) folie
dans chaque ville, gina tombe sur cette fille, cette fille spécialement tarée, presque autant qu'elle. gigi se paye des putains de barre avec elle. les meufs passent des soirées à s'enfumer, à s'marrer, le pied quoi. ensemble, elles font grave de la merde. elles s'adorent, se connaissent pas mal. un truc banal tu vois, j'me demande si elles se brouteraient pas l'gazon ces deux là, non parce que des fois j'te promets tu doutes et tu t'dis, ouais, uhm.
(m) secret
tu sais pas quoi ? oh putain quand j'vais te dire ce qui s'est passé tu vas parler seul j'te jure ! gina del sol, t'sais la fille trop bonne trop folle là ? il s'est passé un truc, mais un truc de malade entre elle et un type. mais genre tendu tendu, un truc grave. nan mec j'peux pas te le dire, c'est chaud. moi quand on m'en a parlé, j'ai badé limite. bon ça va, j'balance, mais tu dis rien t'as compris ?

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Invité

andy rodgers

indéfinissable

chaton de moi. mon bébé. mon andy oui oui. j'dis pas que c'est le mien mais un peu quand même. j'adore être avec lui. fumer avec lui, baiser avec lui. c'est pas de l'amour, c'est fou, ça s'explique pas. on s'entend trop bien un truc de malade. j'sais pas, j'trouve pas les mots. on est toujours ensemble. il me fait tout le temps rire, quoi qu'il dise. soit il est chez moi, sois j'suis chez lui. notre rencontre, comme c'était drôle. j'étais avec une pote et on venait e fumer, démontée j'étais et c'est lui qui a apporté la pizza. chaton est livreur, le top. j'me contrôlais pas trop, en fait j'sais même plus ce que j'ai pu lui sortir mais c'était à bloc drôle. depuis, on se quitte plus. andy et gina, ça s'explique pas. ils restent ensemble et puis voilà. c'est mon chaton à moi. mais ça c'était avant. est-ce que ce sera toujours pareil après ce que j'ai fait ? c'était pas cool de partir comme ça, du jour au lendemain sans prévenir, mais j'en avais besoin. c'était vital, sérieux. mais il m'a manqué. vraiment manqué. comme personne d'autre. alors je suis revenue. et j'espère que rien n'a changé. sauf que j'ai merdé encore. je me suis tapée son frère bordel. mais pourquoi je fais ça ? en plus le barman a tout balancé. je suis à new york là et je sais pas comment il a réagi. en ce moment c'est la merde dans ma vie.

cézanne rowe

black out

c'était un soir, dans le club. quand je sors, je me démonte. c'est une habitude, une évidence. et très souvent, je ne rentre pas seule. ça commence par la vodka, puis la coke, puis encore la vodka et peut-être re la coke. au bout d'un moment tu ne comptes plus les verres ni les traits. ça me rend folle, aguicheuse. j'me dis rien à foutre et je me déhanche, avec mes potes, contre des mecs. j'profite de ma jeunesse quoi. et c'était ce fameux soir, où j'ai trop pris de framboise que j'ai rencontré ce type : le mec à la grosse mèche. on est resté ensemble, on a tapé ensemble toute la soirée et ça c'est fait chez lui. j'saurais pas te dire son nom tout ce que j'sais c'est qu'il est pas mal beau, pas mal con et que j'ai aucun souvenir de ce qu'on a fait dans son plumard. mais j'crois bien que c'était cool. je crois, après j'suis sûre de rien hein. à force de le voir j'ai quand su qu'il s'appelait cèzanne. je voulais trop qu'on le refasse quand je suis rentrée des îles, en étant clean pour changer. et ça s'est produit. c'était putain de bon, un feux d'artifice. c'était vraiment intense. jusqu'à ce que cet enculé de barman m'apprenne que monsieur il avait une meuf. du coup maintenant c'est un peu tendu entre nous. et ça fait chier, parce que c'était vraiment, caliente.

kenny maxwell

divin

kenny, je le connaît grâce à andy. c'est son poto, son frère presque. et c'était un soir, je l'ai croisé en club. de suite il s'est montré hyper chaleureux haha. trop fou le mec. " t'es sexy " " t'es bonne " au final, j'ai fini par jouer moi aussi. il est putain de beau le kenny, faut l'avouer. bon oui, c'est le best de chaton, mais on est pas en couple non plus. il baise bien qui il veut lui alors je vais pas m'en priver non plus. comment c'était ? c'était le feu. oh putain. on a commencé à se chauffer dans les chiottes, puis on a courut chez moi. oui oui, courut, et sous la pluie en plus. c'était trop drôle ! et après, uhm, et après. dis toi qu'il est coach sportif. un corps et une endurance de malade. on l'a fait dans le salon, sur la table quoi. ça je l'ai dit à personne, vu le monde que j''avais souvent chez moi. ça les dégouterait. quoi qu'ils doivent s'en douter. je le fais tout le temps partout moi donc bon. j'avais trop peur que pendant les fêtes il ait ouvert sa bouche. mais non, c'est le barman qui s'en est chargé. mais je suis sûr il est derrière tout ça, c'est obligé. c'est un connard ce mec. il me l'a bien fait comprendre avant que je parte chez ma tante.

zeez Benzaqén

crainte

par où commencer ? le début, ouais le début c'est bien. c'était dans une boîte branchée où t'as pas tout le monde qui peut entrer. la soirée se passait bien, comme d'hab. coco, vodka, tout ça. et je croise le regard d'un type : une bombe atomique. ah j'y suis allée, ah beh attends. belle gueule, petite barbe, une classe de richard. je me suis dit « ce soir gigi tu t'éclates. » j'me lance, en bombe, trop belle et tout et le mec hyper froid, limite désagréable. comme tu t'en doutes, ça m'a mis les nerfs grave et j'me suis barrée. après on s'est revu. j'ai fait genre je m'en fous. il se souvenait de moi en plus. en fait à partir de là, zeev benzaquén s'est montré intéresser. qu'est-ce que j'ai pas fait. ce type est un malade. c'est un violant, un fou du cul aux pratiques bizarres. et il me baise. enfin baisait. c'était avant que je parte. on se voyait. c'était spé n'empêche. vraiment, il me fait peur ce mec, j'ai toujours ce nœud à l'estomac quand j'suis avec lui. mais zeev sait y faire pour que je craque, à chaque fois. j'en ai parlé à personne de lui. c'était mon secret genre. et je suis partie. et là je suis revenue. j'hésite à l'appeler. non. stop les conneries on a dit.

wade rodgers

remords

pourtant, j'étais bien partie. mes résolutions pour 2015 c'était d'arrêter les conneries. de plus faire de la merde. surtout dans le style " kenny ". alors pourquoi ? pourquoi j'ai couché avec le frère de andy ? si si. on l'a fait, deux fois même. dans le même matin. comment ? oh si tu savais. j'suis une connasse. une putain de connasse. il doit probablement s'en foutre ou j'en sais rien. mais c'est surtout la façon dont s'est arrivé. truc de dingue. j'avais passé la nuit avec andy et le matin j'me suis levée, normal jusque là, et wade est arrivé. moi le matin, je suis toujours à poil. enfin pas que le matin mais genre je vais pas m'habiller pour juste aller boire. bref, il s'amusait à me mater déjà. on a fumé, on a discuté, on a, dérapé. carambolage, tonneaux même. on l'a fait et refait alors que son frère, andy, dormait à côté. on l'a fait sur le canapé, on la fait dans son lit et c'était bon. c'est putain de bon. j'aurais jamais pensé que ça arriverait. wade je lui parlais comme ça, parce que je le croisais avec andy, sans plus. maintenant je regrette. je m'en veux. parce que j'ai aimé ça, vraiment. j'suis une connasse. surtout que là je l'ai amené à new york avec moi. mais qu'est-ce qui m'a pris ? non j'ai un problème c'est pas possible.

adam mathewsen

hostilité

un gros merdeux. oui, c'est comme ça que je le décris ce con. adam fait partie de la bande à andy et ken. et littéralement, il me casse les couilles. même si j'en ai pas, il trouve le moyen de me les briser. à chaque fois que je suis avec eux c'est des pics, des réflexions, des remarques. il me pousse à bout et moi bien sûr avec mon sang chaud je fonce. je pète des plombs. je le supporte pas ce type, vraiment. j'ai jamais pu. c'est jamais passé. pourtant d'habitude avec les mecs je m'entends bien. oui même ceux avec qui je baise pas. et non, avec lui ça me dit rien. c'est pas qu'il est moche, c'est pas trop mon style et puis stop là hein. le fraté d'andy, son frère, on va arrêter là. de toute façon c'est un con, un gros con, je baise pas les cons. bon d'accord, je baiserai juste pas avec lui. voilà.

ellie-jax black

baise

jax jax jax. mon plan le plus attachant, mon plan le plus fou. oui, lui et moi c'est de la folie quand on se voit, parce qu'on se voit pour ce qu'on aime faire le plus : baiser ensemble. jusqu'à ne plus pouvoir. jusqu'à plus soif. on se connait ça remonte à loin. quand je suis arrivée à bristol et depuis ça y va. un sms, un texto, un appel, et on rapplique. il a ce truc dans le regard qui me fait tilter. comme une étincelle. avec jax les choses sont claires. on baise et basta. enfin elles étaient. en ce moment il est pas comme d'hab. il veut me voir plus souvent. il reste le matin. il veut qu'on mange ensemble. il me commande. normalement j'aurais dit stop depuis longtemps, mais ses yeux, son corps, son coup de reins. c'est jax. c'est une nouvelle drogue, rien que pour moi. c'est extra.

orion windsor

défi

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

prénom nom

nature du lien

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

prénom nom

nature du lien

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

prénom nom

nature du lien

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

prénom nom

nature du lien

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

Invité

siam o'neil

plan

j'ai jamais pu cerné siam. sérieux. elle est gentille ouais, j'ai déjà passé de bonnes soirées avec elle. on a fumé, on a parlé tout ça, mais après c'est pas pareil. on dirait qu'elle aime pas c'que je suis. genre une fois je venais de recevoir mon nouveau sac prada et elle était bizarre, hyper froide. " c'est quoi ce sac encore ? " ça m'a gonflé. j'ai pris ma weed et j'suis partie. oui parce que des fois j'me fournis chez siam. j'aime bien me défoncer en mangeant les petits gâteaux, c'est mélangé deux grands plaisir de ma vie. enfin voilà quoi. siam c'est siam. c'est dommage qu'elle réagisse comme ça des fois, mais bon, qu'est-ce que je peux y faire. je la laisse dire c'est tout. j'ai pas honte de c'que j'suis. mais alors pas du tout. et ça risque pas de changer.

Zeus Papadopoulos

contraste

c'est à son camion à pizza que j'ai fait la connaissance de cette meuf. elle est au top zeus, elle me fait trop rire. c'ma sœur de cœur quoi. celle que j'ai jamais eu et réciproquement d'ailleurs. des fois les gens ils bugent quand ils nous voient ensemble. c'est vrai qu'on se ressemble pas tellement. zeus a plutot un style garçon-manqué et moi fashion victime, mais alors ? ça empêche rien. des fois j'essaye de lui faire porter une robe. tendu ça devient. limite ça lance la troisième guerre mondiale. les robes et zeus, ça passe pas. jamais. avec elle je sors, je fume, je parle de mes histoires. j'peux tout lui confier, j'sais que ça sortira pas de sa bouche. et ses pizzas, t'as déjà bouffé ses pizzas ? c'est une tuerie. jolem ma petite poupée platine. c'est l'une de mes plus belles rencontres de bristol. et malgré le fait que j'sois partie on est resté en contact. elle est au top zeus. je savais que elle, elle m'en voudrait pas. elle sait que j'suis comme ça t'façon.

nikki woodstone

similitudes

quand tu nous compares nikki et moi, tu dis, nan, c'pas possible. c'est le jour et la nuit, elles peuvent pas être amies. et pourtant si, nikki et moi, on s'apprécie quoi. je l'ai rencontré à une soirée mondaine. la haute société. j'y étais par ordre de mes parents. " les davenport sont nos amis proches gina, nous ne pouvons pas venir, mais toi tu peux y assister en notre nom " bla bla bla. du coup, j'y suis allée. on a foutu un de ces bordels. j'ai martyrisé un serveur. nikki a dit que de la merde à tout le monde, c'était trop drôle. depuis on se fréquente assez souvent. des fois j'me dis qu'elle est vraiment folle, j'te jure. elle et sa bande. c'est des niqués dans leur tête mais ça va on rigole bien avec eux. ils habitent tous à côté de chez cézanne. coïncidence de malade. d'ailleurs madame elle voulait me mettre avec lui. mais je crois que c'est plus trop d'actualité. notre amitié non plus j'ai l'impression. on a dû s'envoyer quoi ? deux ou trois messages depuis que j'suis rentrée. nikki a mal dirigé mon escapade j'pense. faudrait que j'passe la voir, histoire d'arranger tout ça.

chuck simpson

folie

encore une fois, c'est à travers andy que j'ai rencontré chuck. toute la bande en fait. mais c'est avec miss platine que j'ai accroché le plus. on s'entend trop bien. on aime les mêmes choses, on pense les mêmes choses. bon, on a des styles différents okay, mais on s'en bat les couilles de ce détail. je m'amuse trop avec elle. c'est la seule qui m'aime bien dans le lot je crois, ou du moins en qui j'ai confiance. chucky, j'peux dire que c'est une amie tu vois. on fait les boutiques ensemble. on sort ensemble. c'est presque une aussi grosse fêtarde que moi carrément. un verre et elle se lâche, c'est trop drôle. je l'aime cette fille. c'est ma poupée chucky. oh, c'est un peu glauque c'que j'viens de dire là. mais c'est vraie. cette fille jolem et je sais que je peux compter sur elle. même si je suis partie, rien à changer. elle est à pour m'aider à gérer mes conneries. qu'est-ce que je ferai sans elle.

louve moriarty

surprise

comment j'ai rencontré louve ? non, pourquoi je l'ai rencontré ? attends deux minutes, j'explique. c'était un soir comme les autres, la night toujours. et moi vois-tu je suis quelqu'un de très sociable, donc je vois cette rousse danser tranquille, mais seule, alors je la rejoins. on discute, on passe la soirée ensemble, on rigole. franchement c'était top. on a bu on a bu mais comme des trous et voyant l'état dans lequel elle était je lui propose de dormir chez moi, plus simple. sauf que au réveil, grosse révélation. la veille elle m'avait dit s'appelait lou, ça existe comme prénom c'est pas forcément un diminutif, sauf que là oui, s'en était un. celui de louve. comme louve dans l'article du barman. louve de cèzanne. SURPRISE. sur le coup je me suis dit c'est pas possible, ça peut pas être elle, no fucking way. beh si. c'était elle. bien sûr j'ai pas dit que j'étais. "ah au fait, la gina qui s'est tapée ton mec, beh c'était moi ! sinon, un ou deux sucres dans ton café ?" je l'ai expédié fissa avec une excuse bidon, et après je me suis fait un bad.

adriana da silva

guerre de 78

adriana et moi, c'était mort d'avance. notre histoire remonte au moment où je me suis rapprochée d'andy. elle a jamais pu me sentir, ni me voir en peinture, ni entendre parler de moi parce qu'à l'époque. elle était à bloc sur andy. et qu'il l'avait refoulé. et moi je débarque, on traîne toujours ensemble, les gens disent qu'on est un couple donc forcément ça lui a pas plus. j'ai pas vraiment quelque chose contre elle. mais on s'entend pas et on s'entendra sûrement jamais. c'est triste parce que en vrai j'suis sûre on aurait pu être amis, s'il y avait pas andy au milieu. donc c'est un peu tendu quand la coloc se réunit et que je suis invitée. en fait c'est tendu tout court avec tout le monde depuis les histoires mais bref. adriana et moi, on s'entend vraiment pas. c'est comme ça. et franchement, c'est pas moi qui ferait le premier pas, j'ai déjà essayé, ça a servi à rien donc bon. j'vais pas me forcer non plus.

eddie temple

padawan

mon apprentie. ma protégée. mon amie. avec eddie c'est particulier. parce que déjà on a pas le même âge, mais je l'aime. je la bouge surtout. pour moi, la grande vie a commencé lorsque j'avais dix-sept ans aussi. sauf que moi j'avais pas une gina pour me guider. alors à eddie je vais éviter les erreurs. je la fais sortir. je l'habille même des fois. je la secoue un peu cette meuf. on va souvent en ville ensemble, au ciné, au parc. son premier pétard c'était moi, j'en suis trop fière. par contre, le reste je surveille. elle est trop jeune encore pour connaître la coco. alors en soirée je veille au grain, dans la mesure de mes capacités. parce que tu t'en doutes que on boit, quand même. enfin voilà. c'est comme avoir une petite sœur presque, celle que j'ai jamais eu. je me souviens une fois on avait vraiment fumer, mais vraiment et on va manger un bout. elle était tellement défoncée, elle a commencé à chauffer le serveur, mais c'était tellement drôle. parce que le mec il avait capté, ces yeux étaient éclatés, et elle arrêtait pas de parler parler parler et elle jouait avec la paille de son verre avec sa bouche, sauf qu'elle la ratait à chaque fois. ce jour là, j'ai fait la goutte dans ma culotte, vraiment.

prénom nom

nature du lien

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

prénom nom

complicité

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

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nature du lien

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

» la gente esta muy loca + gina
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