Entre l'amour et l'amitié mon coeur est partagé !

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Entre l'amour et l'amitié mon coeur est partagé ! Drake/Adixia

Aussi loin que je me souvienne Drake et moi avons toujours était ami, on ce connait de tout petit, déjà il faut savoir que nos parents se connaissent et son amis de longue date. Je me rappelle que petite vers dix ans j'étais amoureuse de lui, et lui avait même fait un petit bisous sur la bouche, il était le premier que j'avais embrasser, enfin smacker. Puis en grandissant nous sommes devenue les meilleurs amis du monde, et oui il est mon tout, lors que mon père décéda c'est dans les bras de Drake mon chichou d'amour, que tout doucement j'avais retrouvais le sourire, il avait toujours était la pour moi. Alors lorsqu'il m'envoya un texto me disant qu'il était malade, et qu'il ne pourrais pas venir travailler pour moi le soir, qu'il en était désolé, je me précipitais à son chevet lâchant mon travaille, pour voir comme il allait et si il avait besoin de quoi que se soit. Aillant une clef de chez lui je me permis d'entrée sans même toquais ou signaler ma présence, à priori il n'était pas debout il devait surement dormir, avec la fièvre ça devait le fatiguer. Je me dirigeais alors dans sa chambre et entra comme toujours sans gène. Là allongeais sur son lit en boxer, il dormait comme un bébé, j'enlevais alors mes chaussures et m’allongea tout contre lui puis posa ma bouche sur son front. Mon dieux il était brulant le pauvre. Il ouvrit les yeux un bref instant et me pris dans ses bras posant sa tête sur ma poitrine, j'étais un peu gêne que nos corps soit autant en contact l'un prés de l'autre, mais en même temps sa ne me dérangeais pas tant que ça, c'était une sensation bizarre, mais j'aimais bien ce contact. Je lui fis alors un petit bisous sur le front, glissa ma main dans ses cheveux, il semblais vraiment mal au point, ses joues étaient rouges, il transpirait, je me décollais alors de lui et partis dans sa salle de bain voir ce qu'il avait comme médicament, il avait tout ce qu'il faut pour soigner une bonne grippe, je pris donc tout ça et lui mis sur sa table de chevet puis alla à sa cuisine prenant une bouteille d'eau et un verre que je mis à coté des cachets poser sur sa table de chevet dans sa chambre. Puis je pris une bassine d'eau tiède avec un gant, pour le rafraichir un peu. Retournant à sa chambre il avait bouger de position désormais il était sur le dos. Je fus surprise de voir que la première chose ou mon regard se posa était cette énorme bosse à son entre jambes. Secouant ma tête, je repris un peu mes esprits, et m’approchais de lui, je trempais le gant dans l'eau l'essorant, puis y mit ma main dedans. Je commençais par rafraichir son visage, levant légèrement sa tête pour passer ma main dans le gant à sa nuque la caressant, pour revenir sur son cou, puis descendant sur son torse, ses pectoraux, les coté de son ventre, puis jusqu'au bas de son abdomen, toujours en remouillant le gant. Pour finir, je descendis ma main sur ses cuisses, toujours en descendant vers ses mollets puis ses pieds. Il se tournait de nouveau, et je remouillais le gant le lui passant sur son dos, il avait un corps parfait, tailler en V. Je mis ensuite le gant dans la bassine, et m'approcha de lui pour qu'il se réveille et prenne ses cachets afin de faire baisser sa fièvre. -Chichou... Chichou c'est moi réveille toi ! Lui suppliais je. Il ouvrit les yeux avec peine, il était vraiment pas au top, je détestais le voir comme ça, ça me peiner, je lui mit des coussins au dos pour qu'il s’assoit. Il me regardait avec ses grand yeux bleus, le genre de regard qui me fait fondre littéralement.

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Adixia et moi étions de véritable et ceux depuis notre plus tendre enfance, déjà tout petit nous partagions beaucoup de temps l'un est l'autre. Elle était la première fille que j'embrassais et je crois que tout petit j'ai amoureux d'elle mais en grandissant j'avais préférer rester amis que de plutôt sortir ensemble de peur de gâcher notre complicité, elle savait tout sur moi, ma vie, et mes aventures avec les autres filles. Même si je n'avais jamais connus l'amour, je crois qu'encore aujourd'hui j'étais amoureux d'elle mais tout cela en secret, le pire était quand je la voyait sortir avec d'autres mecs cela me rendait totalement fou mais je me devais de ne pas lui montrait. Peut être était ce elle la fille que j'attendais tout ce temps ? sa je ne le savais pas encore ! peut être un jour ! en tout cas je l'espérer mais j'avais tellement peur de la perdre, de perdre cette amitié si forte entre nous. Je devais bosser dans son bar ce soir là mais j'étais un peux malade je lui envoyais donc envoyer un texto pour lui dire que je ne venais pas, bien sur j'aurais pu aller bosser mais j'en rajouter un peux car je savais à quel point elle était attentionnée à mon égard et qu'elle allait surement venir me voir. J'étais sur mon lit torse nu en boxer allongé, couché par la fièvre quand je l'entendais arrivais, elle se couchait à coter de moi et je la pris dans mes bras posant ma tête sur sa poitrine, j'étais si bien avec elle nos corps coller l'un contre l'autre ,tellement que je me mettais à bander.Je transpirais de plus en plus et elle décidait d'aller à la salle de bain chercher des médicaments puis elle descendus à la cuisine chercher une bouteille d'eau et un verre. Je l'entendais remonter et je sortais une bouilloire chaude sous le lit que je frottait sur mon corps pour le réchauffer encore plus, oui j'étais un salaud de faire sa mais bon, j'avais fait exprès de me mettre sur le dos pour qu'elle puisse voir tout l'effet qu'elle me faisait quitte à la mettre mal à l'aise. Elle frottait le gant humide sur chaque parcelle de mon corps tandis que je me courbais de frissons et me mettait à bander encore plus fort quand elle s'attardait sur mon bas ventre. Je me retournais encore sur le ventre pour qu'elle me passe aussi le gant sur mon dos " Aie, aie, aie !!! " pensais-je. Putain ma queue me faisait mal, cette conne appuyer sur le matelas elle était toute compresser et mes couilles me faisait un mal de dingue a ce moment là j'aurais aimer pouvoir faire un trou pour pouvoir la mettre dans le matelas et qui sais cela aurait pus me servir lors de mes soiré passer tout seul. Puis elle me glissais quelque mot doux pour que je me réveillé, mais ce qu'elle ne savait pas c'est que je faisais semblant de dormir. Je me relevais avec peine faisant semblant d'avoir du mal à ouvrir les yeux et elle attentionné est gentille me plaçais des coussins pour que je puisse m'assoir, je pris les cachets et je la regardais fixement en lui disant " Merci, merci d'êtres là pour moi " et je lui caressait le visage avec mon doigt et je rajouter " Qu'elle heure est il ? " puis je la prenais dans mes bras pour nous allonger ensemble " J'ai besoins d'un câlin ! " je voulais surtout la sentir à nouveau contre moi mais dans ma tête sa raisonner plutôt " J'ai besoins de toi, envie de toi ! ". On restais là un bon quart d'heure, à se faire des papouilles sur les bras, sur le visage, sur le long des côtes , les cachets commencés à faire effet, je reprenais un peux plus mes esprits et lui demandais " Tu veux boire quelque chose ? un café ? un thé ? ce que tu veux ! ou on se commande des pizzas ou chinois à livrer, et puis si tu n'as rien d'autres de prévus et que ton bar est tenus on peux se mater un film ensemble ? " J’espérais qu'elle accepte de passer la soirée avec moi à se faire des câlins, comme on l'avait fait quelques fois, à parler de tout et de rien tant que je passais des moments avec elle je m'en foutais, c'est comme si l terre s’arrêtait de tourner. C'était une fille géniale, rigolote, intelligente, sexy à souhait, ensemble on était naturel on pouvait péter roter devant l'autre sans que cela nous gênes, elle aurait même pus aller faire caca la porte ouverte que je m'en foutais. J'attendais juste la suite de la soirée avec impatience.

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Il prit ses cachets accompagné du verre d'eau, se crispant un peu en avalant, tout en me regardant droit dans les yeux, je pouvais y voir toute sa sincérité, il me remercia alors d'être la pour lui, tout en me caressant le visage. -Qu'est ce que je ne ferais pas pour toi ! Puis tu en aurais fait autant pour moi mon chichou ! Je le sais ! Je le regardais alors comme si il était mon pauvre petit chiot malade, et affaiblie, que l'on avait envie de cajoler, de protéger. -Oh bé.... Il est déjà dix neuf heure ! Dis je en regardant ma montre à mon poignet. Il m'attrapa alors, m'allongeant dans son lit douillet, se blondissant l'un contre l'autre, il avait besoin de câlin et moi j'aimais en faire. (a) On se câlinait, se caressant, se faisant des papouilles, sur les bras, le ventre, le visage, un moment parfait. Au bout d'un moment, il me demandait si je voulais boire quelque chose, si j'avais fin et surtout si je voulais passer ma soirée avec lui.-Bé chichou j'avais un peu prévus le cout, j'ai pris des film Marvel, vu que je sais que tu adores ça. Donc oui je veux bien un truc à boire, et les pizzas me tente bien ! On va au salon chichou ? Ajoutais-je en me levant du lit, d'un bon, excité à l'idée de passer encore, une super soirée avec lui. On partit direction le salon, et je m'affalais sur le canapé, prenant toute la place, lui en laissant une petite à mes jambes, que j'avais oublier de raser depuis une semaine, on pouvait sentir la repousse des poils tellement sa piquer. -Je veux un coca chichou et commande moi une calzone ! J'aimais bien parfois faire ma princesse. Puis dans le fond il aimait bien être mon prince à l'affut de mes désirs. Il me tendis donc mon verre de coca comme un homme courtois, gentlemen, et serviable, j'en bu une gorgé puis le posa sur la table basse. -Chichou met moi des glaçon s'il te plait mon coca est chaud ! Lis dis je en faisant la moue. Le regard attendrissant, les yeux plein de malice, j'aimais le pousser à bout avec souplesse, car il était loin avec les autres femmes à être aussi parfait, serviable et galant. Une fois mes glaçon dans mon verre je le regardais de nouveau battant des cils comme pour l'amadouer. -Mon chichou de mon coeur tu me donne une paille. J'en rajoutais tellement que sa en était flagrant mon petit jeu agaçant. De nouveau il exhaussait mes prières, puis il passa commande à la pizzeria, visiblement on serait livrer dans une petite demi heure, puis fini par raccrocher, et venir prendre place à mes jambes.Pour vu qu'il ne caresse pas mes jambes pensais-je alors car je savais que sinon il allait me taquinait comme il en avait toujours l'habitude de faire. De nouveau je portais mon verre, ou du moins la paille à m bouche jouant avec pour finir par la mordre, puis pris une nouvelle gorgé de mon coca bien frais. -Hummm c'est trop agréable ! Merci mon chichou pour se verre de coca revigorant ! Mais...Il manque quelque chose dit tu as du sirop de fraises ? Tout en levant un sourcil lui demandant que pour l’agacer davantage. Il semblais aller mieux, son regard était moins fébrile, ses joues moins rougit par la fièvre alors j'en avais profiter pour l’embêter un peu, voir même beaucoup c'était mon coté peste qui ressorté. Il prit donc mon verre le vidant dans l'évier me mis du sirop de fraises dedans, puis du coca, des glaçons, et une nouvelle paille, et me l'apporta en bon samaritain qu'il était. -OHH merci mon chichou tes un amour ! Là c'est parfait ! Aller vient prés de moi j'ai mis un film dans le bluray ! Pendant qu'il m'avait préparer mon super extraordinaire verre de coca, j'avais mis Iron man(1) dans son lecteur dvd, et j'avais sortie un plaid du coffre de son canapé d'angle, pour que l'on se blotisse l'un contre l'autre. J'avais même allumer ses deux lampes pour tamiser la lumière pour faire plus ambiance cinéma. Soudain se fut le drame, comme je m'y attendais, il glissa sa main sous mon pantalon slim, caressant mes mollet pas raser, piquant à souhait. Je fis style de rien les yeux river sur son écran LCD panoramique.

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Putain elle avait accepter de passer la soirée avec moi et même mieux en fait elle avait déjà prévus le coups. En temps normal, une autre fille je 'aurais déjà allongé mais avec elle c'était différent on était jamais aller plus loin que deux ou trois smack insignifiant. Une fois arrivait elle s'affalait sur le canapé prenant toute la place. " Ok ma belle je t'amène sa, mais n'en prends pas l'habitude Lady. " pour elle je rangeais mon égo. Je lui tendais le verre mais sa n'allait toujours pas il était trop chaud me disait-elle, sa façon de me demandais je ne pouvais pas lui refuser, je m'exécutais et aller lui mettre des glaçons. J’espérais qu'elle en avait fini de jouer avec moi, mais non il fallait qu'elle en rajoute une couche maintenant elle voulais une paille, j'allais lui en cherchait une à la cuisine est profiter pour y mettre un peux de coke à l'intérieur, elle voulais jouer alors jouons (a) et revins au salon avec un grand sourire dessiner sur mon visage. Je pris le téléphone est commander alors deux pizzas une calzone et une reine, la commande devait arriver une demi heure plus tard. Je m'installais alors entre ces jambes ou je posais ma tête en arrière , mais cette garce n'en n'avais pas finis de me faire chier maintenant elle voulait du sirop de fraise Entre l'amour et l'amitié mon coeur est partagé ! 3200214314

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mais j'aimais en elle ce petit côté princesse. Je me levais est aller lui vider son verre pour lui faire son petit cocktail est cette fois-ci rien n'y manquais est bien sur je rajouter encore plus de coke , elle allait voir de quel bois je me chauffe cette coquine. Heureusement adorable comme elle était, elle avait préparer le film Iron man dont elle sait comment j'en suis fan et sortis un plaid est allumer deux lampes de mon salon, installant une petite intimiter entre nous. Une fois installais je remontais son pantalon le long de son mollet et commençais à la caresser quand soudain - HO PUTAIN, sa mère !!! pensais-je, elle devait avoir un centimètre de poils. Comment une fille s'y belle, si soigner et qui d'habitude prend soin d'elle même pouvait avoir tout sa sur elle, je tournais ma tête et lui dit " Attend ma belle j'arrive " Je me levais d'un pas est aller chercher un rasoir dans la salle de bain et un taille haie qui se trouver dans mon débarras, une fois revenus je me tenais droit derrière elle " Ma belle ? " et pendant qu'elle se retournais j'allumais le taille haie, puis je sautais par dessus elle en criant " TAYYYOOO !!! on y bas. Au bouloooot !!! " je sortais du tiroir de la table basse un peigne et lui dit " Alors ? je te fait un dégrader ? " en m’esclaffant de rire. Je m'installais à genoux est posais le taille haie sur le sol, lui déboutonnant son pantalon et le faisait glisser le long de ses cuisses laissant à vus son petit tanga rose ou mon regard s'attardait on pouvait entendre au broussement toute la longueur de sa pilosité. Je lui étalais la mousse à raser que j'avais récupérer et me mettais à la raser sensuellement tout en la regardant, j'aimais faire cela pour elle. Une fois que j'avais finis de lui raser les jambes je la regarder en me mordant la lèvre inférieure et lui dit " Je te fait une coupe a la techa ou c'est déjà fait ? (a) " . Mon côté pervers refaisait surfasse, je finissait à peine ma phrase que la sonnette retentissais cela devait être le livreur " T'y vas ma belle ? mais tu reste comme sa ! on sais jamais si ilnous fait une petite ristourne grâce à tes atouts. " je tirais son pantalon et le mettait derrière tandis que je sortais de mon jean un billet de 50 que je lui tendais ! Je m'installais entre temps sur le canapé, retirant mon jean et me couvris les jambes pour ne pas qu'elle le remarques. " Tu vas nous chercher des ciseaux et tu nous découpes tout sa ? " Bien sûr je ne l'attendais pas et mettais le film en route, lui laissant une place privilégier à mes coter. Une fois revenus et assise je plaçais ma pizza sur mes cuisses que j'avais croiser et mettait ma main autour de sa nuque et commençais à manger. Nous deux sur un canapé en sous vêtement j'avais juste hâte de voir ce qu'allait donner la suite.

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Oh putain sa sentait le coup fourrer tout ça, ou allait il ? Quelle connerie allait il encore me faire ? Je m'attendais à tout avec lui ! Je n'étais pas le genre de fille superficielle misant tout sur son physique pour avoir un mec, bon même si je l'avoue j'étais loin d'être dégueulasse comme meuf, mais ce que je veux dire par là, c'est que je n'étais pas le genre de fille qui cédè facilement, non moi j'aimais faire languir, me sentir désirs, aduler, convoiter, envier, et avant d'avoir la chance de m'avoir, fallait me prouvais que j'étais la huitième merveille du monde. En gros je n'étais pas le genre de fille avec qui Drake sortait en fin du moins coucher. J'avais donc fait exprès de me laisser pousser les poils aux pattes car mon chichou était toujours très tactile avec moi, bien sur en tout bien tout honneur, et je savais que de lui, je pouvais avoir tout ce dont j’espérais, tout ce dont je désirais, mais j'avais peur de l'avoir, peur de briser notre amitié, peur de le perdre surement aussi. Il était loin d'être un mec sérieux, qui souhaité une relation stable, et je savais que si je venais à tenté quelque chose avec lui, se ne serait l'histoire que d'une nuit, et après ça que resterait il de notre amitié ? Surement rien car ça risquerait plus de nous éloigner l'un de l'autre que de nous rapprocher, du moins c'est ce que je pensais. Soudain sa voix me sortie de mes songes. Je me retournais alors vers lui, il avait un putain de taille haie dans les mains le machin faisait un bordel de malade, Drake sauta par dessus moi criant, je n'en pouvais plus j'étais morte de rire, puis il sortie un peigne, me proposant un dégrader, j'en pouvais plus tellement je rigolais, j'eus peur de me pisser dessus, Entre l'amour et l'amitié mon coeur est partagé ! 1881463262

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mais par chance l'envie me passa, il se mit à genoux, posant l'engin au sol et l’éteignis, puis me déboutonna mon slim, le faisant rouler sur mes cuisses, il avait la vue dégager sur mon tanga rose fluo. Bizarrement je n'étais pas gêné qu'il me voit comme ça je savais pas vraiment pourquoi mais j'étais assez euphorique. Soudain il badigeonnait mes jambes de mousse à raser, de manière érotique et sensuelle il me rasait les jambes, je serais mes cuisses, car je sentais mon sexe humide et chaud. En fin il terminait, mon calvaire s’arrêter, mon corps avait chaud, j'étais fébrile, excité, je ne comprenais pas vraiment pourquoi j'étais comme ça, était ce ses mains sur mes jambes qui m'avait fait autant d'effets ? Surement ! Il me regardait intensément, tout en se mordant la lèvre, et me demandait si il devait aussi s’occuper de raser mon sexe. Je fis glissais mon tanga juste assez pour lui donner envie de me l'enlever. -Hé bien vient vérifier par toi même si il y en a besoin ! Lui murmurais je en haussant un sourcil, de manière provocatrice, bien sur j'étais parfaitement épiler de prés, seul un jolie petit triangle de poils rester. Quelqu'un sonnait à la porte, heureusement car tout ça aurait mal fini, c'était surement le livreur de pizzas. Drake souhaitait que j'y aille comme ça en tanga, il me défiais. -Ok tes sur ? Bien j'y vais comme ça ! Je pris son billet de cinquante dolls, et me dirigeais vers la porte d'entrée, retirant mon haut le lansant au pieds de Drake et ouvrit la porte en dessous. -Bonsoir ! Le livreur tout gêné me tendis les pizzas, pris l'argent, me rendis la monnaie toujours en baissant les yeux timidement, puis partis les joues rouge écrevisse, et je refermais la porte d'entrée. Drake me demandait de les découper, ce que je fis, puis retourna près de lui, les pizzas en mains. Ce petit salop ne m'avait pas attendu, il avais mis le film en route depuis dix bonne minutes, je lui tendis ça pizzas qu'il mis sur ses jambes couverte du plaide, je remarquais alors au sol son jean's, je pris donc place prés de lui, il mettait sa main autour de ma nuque et commençait à manger. Je me mis sous le plaide avec lui frottant mes jambes au siennes, et mangea ma pizza au bout de trois part j'étais blindé, et posa ma pizza sur la table basse la refermant dans son carton, les yeux rivé sur le film. Je pris mon verre de coca fraises, et porta la paille à ma bouche pour boire, je me sentais d'humeur enjouer, et j'avais envie de l’embêtait. Il finissait sa pizza puis la posait à son tour, et je lui sauta dessus à califourchon, lui faisant des chatouilles, comme quand on était enfants. On rigolait comme deux gosses, puis il retourna la situation, désormais j'étais allongeais, sur son canapé et lui entre mes jambes fraichement raser, sur moi me chatouillant, je riait comme une gamine de dix ans. Je ne sais pas vraiment ce qui me prit à cette instant mes je l'embrassais pas d'un simple smack, non, d'un baisser sensuelle et langoureux, difficilement je repris mes esprit, et stoppa se doux baisser charnel. -Je suis désolé je n'aurais pas du ! J'étais surprise de moi même, là pour le coup j'étais plutôt mal a l'aise, alors pour détendre l’atmosphère je me remis a califourchon sur lui faisant comme si rien ne c'était passer, et le chatouilla de nouveau à ses points sensibles.

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Adixia était chez moi, étais ce un rêve, une hallucinations peut être, les poils longs comme une portugaises je m'en occupais pour donner un peux de fraicheur de à tout sa. Je lui demandais s'il fallait que je m'occupe de lui raser la techa et elle me dit de venir vérifier, dans ma tête de pervers je me voyais déjà la prendre sur mon canapé nos corps, se donnant en contact comme ils ne l'avait jamais était. Elle était si bonne , bonne à prendre a tous les sens du termes. Elle faisait glisser son tanga rose sur ses cuisses, je n'en pouvait plus elle me donnais envie de la prendre sauvagement et je remarquais qu'elle était parfaitement raser avec un petit triangle ,et elle le savait très bien qu'elle l'avais déjà fait. Qu'avait donc t' elle en tête ? peut être l'effet de la coke ? une envie soudaine de moi ? ou tout simplement me charmer je ne sais pas " Tres jolie tout sa ? tu l'as fait pour moi ou es ce une coupe d'habitude ? " il fallait que je pose mon empreinte sur son sexe ! Je saisissais alors le rasoir, étaler un peux de crème et me mis à dessiner un " D " pourquoi ? ben pour Drake ,je tournais sa comme pour l'amuser mais enfait je voulais lui montrer qu'elle m'appartenait. Pour elle j'aurais laisser tomber mon coter coureur de jupons tout ca pour me consacre à elle a 100% et partager des moments a deux que je n'ai jamais vécus avec personne. Le livreur arrivait et elle me pris aux mots, je n'aurais jamais crus qu'elle le ferais, pire même elle en rajouter une couche en enlevant son haut. J'étais à la fois surpris par ces mots et fait mais en même temps jaloux que cet enfoirer aller la reluquer , si elle y serais restait longtemps j'y serais aller pour foutre le livreur à la porte, mais elle n'en jouais pas elle payait est revenus s'assoir à mes côté. J'avais vu qu'elle avait remarquait mon jean au sol, je voulais voir sa réactions mais elle s’assit simplement avec moi ,laissant toucher nos jambes donc cela ne l'a gênais pas. Elle découpais les pizzas , elle telles une darling n'en mangeait qu'une ou deux part et moi tel un ogre je m'enfilais la mienne. Elle se mis a me chatouiller comme dans notre enfance, jouant, riant aux éclats; qu'es ce que j'aimais ces moments à ces cotes et il est vrais que par son boulot aux bars qui lui prenait les trois quarts de son temps qu'elle aurais pus avoir de libre et moi à vadrouiller a gauche et à droite on avait un peux perdus de notre complicité. Je réussissais à prendre le dessus sur elle, comme toujours d'ailleurs. Je l'allongeais sur le canapé me positionnant sur elle, et elle m'embrasser ! je n'en revenais pas ! un baiser si charnel, si intense un peux comme deux amoureux, c'était la première fois que l'on s'embrassait comme sa. Était ce l'effet de la coke ou simplement elle qui agissait avec son cœur ? Elle s'excuser et me dit qu'elle n'aurais pas du, elle avait l'air confuse " Attends je met pause au film là ! " lui souriais-je pour détendre un peux l'atmosphère " Pourquoi dit tu sa ? " je saisissais sa main et rajoutais " Tu sait Adixia, je ne te l'ais jamais dit mais je suis amoureux de toi, amoureux depuis tout petit, je n'ai toujours désirer que toi et par peur de ruiner notre amitier je n'ai jamais oser faire le premier pas, tout sa pour ne pas te perdre, voilà pourquoi je suis si volage avec les filles car dans mon cœur il n'y a que toi et il t'es destiner, mais ne joue pas avec cela me détruirais, une chose est sure je suis prêt maintenant à perdre notre amitié pour tenter quelque chose avec toi. Je ne veux pas avoir de regret toute ma vie. " Rare était les fois ou je laisser parler mon cœur, je lâchais sa main, caressais son visage du bout du doigt, passait ma main sur sa nuque " Embrasses moi. " lui dis-je d'une voix douce est attentionné. On s’embrassait envieusement, amoureusement et pour une fois sans y voir le coter sexuel d'une fille. Sans entendre aucun son sortir de sa bouche je la pris par l'épaule et la blottissais contre moi. Je remis le film en marche, mon cœur battait à 1000 a l'heure en attendant une réponses de sa part. Le film finissait est peut être qu'un autre allait commençais entre Adixia et moi ou nous serions les acteurs principaux.

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