Ce soir, April avait envie de s’amuse avec deux de ses "amies", elles avaient dragué April un soir et la soirée avait on va dire fini au lit, enfin presque dans le lit mais sans qu'elles passent à l'acte, elle n'avait jamais retenté l’expérience avant depuis l'incident avec son père, elle était devenu comme traumatisée par le sexe. En ce moment, elles étaient assises sur une des chaises hautes au bar, en train de boire une vodka et de se saoulé la gueule. Les deux filles en question était folle d'April et elle adorait quand des gens faisait attention à elle, ça l'amusait, depuis qu'elle était sortit de la prison, elle était devenu de plus en plus connu que ce soit chez les filles que chez les mecs, elle aimait ça, donc pourquoi pas ? Et depuis qu'elle avait revu Kate, elle avait complètement oublié ce genre de chose.
Mais bon, aujourd'hui, elle s'ennuyait chez elle toute seule, elle avait alors décidé de faire la fête, ensuite elle décida de demandé à une des deux filles, une brune, elle l'a trouvé sexy et bonne, bon moins que Kate, de se diriger vers la piste de danse. La jolie brune s’appelait Kimberly, non de peste quoi, sans trop vouloir l'insulter mais elle s'en fichait, elle voulait juste s'éclater.
Elle se mit alors à se déhancher contre elle pour le plaisir des deux même, mais même si April aimait ça, elle pensait à Kate, même trop, la chaleur commença alors à monté entre elles tellement qu'elles commencèrent à s'embrasser à pleine bouche attirant tous les regards sur les deux jeune fille.
Ce soir, je suis de service. Il faut dire que j’enchaine pas mal de travail à différents lieux pour avoir de quoi pouvoir payer un loyer, et je commence à reprendre espoir et contrôle sur ma vie, si je suis engagée à plein temps ici, je pourrais enfin me prendre un appartement. Bon, peut être pas un de rêve, mais ça sera toujours mieux que dehors. Quoi qu’il en soit, en ce début de week end, la boite de nuit était pleine à craquer, et les commandes se suivaient les unes après les autres sans que j’ai le temps de respirer. J’étais clairement débordée, pourtant j’essayais d’assurer, j’avais trop besoin de cet argent. Je subissais même toutes les formes d’autorité possible, et mon nouveau patron avait bien compris qu’il pouvait en abusé et m’avait affublé d’un uniforme ridiculement court au décolté on ne peut plus plongeant –malgré ma petite poitrine, le bustier la mettait très en valeur-, et d’une jupe on ne peut plus courte. Je ne me sentais pas à l’aise, ce n’est pas tellement mon style vestimentaire, mais qu’importe, c’est mieux payé que mes autres boulots et je n’ai pas à vendre mon corps ou je ne sais quoi d’autre qui me répugne, je ne m’abaisserai plus à ce niveau, je l’avais promis sur la tombe de Jack.
Les heures tournaient et la foule était déjantée, tout le monde dansait furieusement. Les commandes avaient finies par se calmer, à cette heure là, la majorité était bourrée ou pire. Je remarque un petit regroupement au loin, suivit de sifflement et de grognement de mâle en chaleur. Je lève les yeux au ciel, néanmoins intriguée. Je finis par décidée de m’approcher, me frayant tant bien que mal un passage dans la foule, certains en profitant pour me tripoter les fesses, mais le temps que je me retourne le fautif avait disparu parmis tous les gens présent.
J’arrive finalement à hauteur de la scène et là je manque de sentir ma mâchoire se décrocher. Je rêve. Pire, j’hallucine ? April a les lèvres scotchés à une pétasse qui ressemble à rien. J’en crois pas mes yeux. Je me sens trahie alors que pourtant, elle n’a aucun engagement envers moi. Ca n’empêche pas mon estomac de se tordre comme jamais et un haut le cœur de me faire avoir un mouvement de recul. Je n’avais pas imaginer ce genre de retrouvailles. Je finis par pousser les quelques personnes qui me séparent d’elle, me plantant devant elle, la séparant violemment de l’autre pimbèche avant de lui lancer séchement :
« Alors tu les enchaines hein ? T’en es à combien par jour ? »
Toujours en train de se déhancher contre la belle brune continuant de l'embrassé, elle entendit alors les sifflements et les cris des personnes autour d'elle, se qui lui fit sourire contre les lèvres de Kim'.
Mais elle n'entendit plus les cris d'un seul coup, un gros blanc, elle fronça alors les sourcils, mais elle se remit à l'embrassé ne s'en préoccupant plus préfèrent se préoccuper d'embrasser la jeune fille, elle se sentit alors d'un coup, projeter sur le côté, étant séparer de la jeune brune, elle se remit à fronçait les sourcils se tournant vers la fameuse personne qui venait de les séparaient, en voyant alors Kate, elle fut surprise, putain, elle était dans la merde la, elle se dirigea alors vers Kate quand elle sentit que Kim lui prenait la main de April, elle se tourna alors vers elle s'approchant de son oreille l'attirant vers elle, lui disant à l'oreille qu'elle la rejoindre après, April lui embrassa la joue, pour ensuite revenir vers Kate en croisant alors les bras sur sa poitrine.
" Tu sais, fallait le dire si tu voulais te joindre à nous bébé. "
Dit-elle en souriant légèrement avec un sourire sadique en coin des lèvres, la pauvre, puis, pourquoi elle avait ça ? Elle n'était pas ensemble donc elle pouvait faire ce qu'elle voulait. Elle s'approcha un peu plus d'elle.
Je reste paralysée devant la scène, le moindre muscle de mon corps tremble, je sens la rage qui m’envahit peu à peu. Ca me rend malade. J’ai envie de lui arracher la tête et à sa salope aussi. Au final, c’est toujours la même histoire, ça se répète en boucle, je ferai mieux de ne pas m’attacher à qui que ce soit, j’aurai peut être même du demander à Jack de me laisser une balle, comme si ça ne m’arrivait pas assez souvent de vouloir en finir avec la vie. Je serre les poings jusqu’à me rentrer les ongles dans la peau, mais même ça ne suffit pas à me calmer.
Elle embrasse sur la joue la brune avant de s’approcher de moi, et je crois que là je suis à deux doigts de lui foutre mon poing dans la gueule. " Tu sais, fallait le dire si tu voulais te joindre à nous bébé. " L’expression que je dois afficher est indescriptible, un mélange de « c’est à moi que tu parles ? », d’étonnement et de dégout.
« Tu sais quoi ? Eclate toi bien ce soir. T’auras qu’à garder ma veste de l’autre fois en souvenir, ça te fera un trophée. »
Je lui souris moqueusement et lui offre un sublime doigt d’honneur. J’entend des voix commenter la scène derriere nous, je finis par pousser violemment un mec qui dit être apte à me consoler. Qu’ils aillent tous se faire foutre.
Toujours en la regardent avec le même sourire sadique aux lèvres, elle continua de s'approcher de plus en plus d'elle, elle vit qu'elle était très en colère, ça se voyait, de toute façon, April savait tous le temps ce que ressentait Kate, juste en la regardent dans les yeux, c'était tellement facile. En entendent sa alors sa phrase, elle roula des yeux, mais elle fronça vite des sourcils en voyant qu'elle lui faisait un doigt, elle n'aimait pas quand les gens lui manquait de respect, ça l’énervait au plus au point !
Elle lui courra alors à près étant alors de plus en plus énervé, elle se demandé aussi pourquoi elle avait ça ? Pourquoi lui avoir dis ça ? Elle l'aimait tellement qu'elle faisait pleins de conneries, des conneries qui faisait souffrir Kate, April était comme ça de toute façon et jamais ça ne changera, c'est sûrement pour ça que personne ne l'aime vraiment, qu'elle n'aura jamais de relation sérieuse avec une fille, voilà pourquoi elle avait une vie de merde sûrement.
Elle attrapa alors le bras en serrant fortement ce dernier, elle l'a tira vers elle en la regardent avec un regard sombre et froid, la poussant alors vers un endroit plus tranquille, vers une pièce dont elle ne connaissait pas, elle la colla alors contre le mur de la fameuse pièce.
" T'as vraiment peur de rien toi. "
Elle lui sourit légèrement se collant alors à son corps.
Dernière édition par April Werner le Lun 8 Déc - 18:02, édité 3 fois
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Sujet: Re: LET'S GO ! [Kate.] Ven 5 Déc - 17:09
Kate & April
« Jalousy will drive you mad. »
Je n’ai plus envie du tout de la voir, dans l’immédiat elle me sort par les yeux, je ne veux plus en entendre parler. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi je réagissais comme ça, pourquoi ça me tenait autant à cœur. Elle pouvait bien faire ce qu’elle voulait après tout non ? Alors pourquoi j’y prêtais soudainement autant attention ? Un baiser ne signifiait pas qu’on s’engageait l’une envers l’autre, ni qu’elle m’appartenait, et pourtant, je sentais la jalousie m’emparer, me poignarder le cœur comme jamais. Je serrais les dents, les poings et je continuais de m’enfoncer dans la foule, furieuse, les joues rougis de colère. Je sentais mon souffle se raccourcir sous l’énervement, un poids sur ma poitrine m’empêchait de récupérer correctement ma respiration. Je me moquais bien de l’avoir provoquer avec mon doigt d’honneur, et pourtant je savais que ce genre de geste l’insupportait, même si, hypocritement, elle pouvait elle-même le faire. Je sentis soudainement une forte pression sur mon bras, je n’ai pas le temps de me retourner qu’on me tire à part, et si j’aurai été prête à giffler le premier abruti qui aurait osé me toucher, je me ravisais en reconnaissant la blonde et son regard noir. On se retrouve dans une pièce un peu plus isolée, je serre à nouveau les dents, la regardant presque narquoisement. Je lâche un rictus moqueur à ses mots alors qu’elle se colle à moi et que je tente de me dégager.
« Tu me prends pour quoi là ? Le lot de consolation ? T’arrives pas à te taper la brune alors t’essayes ta chance ailleurs ? »
Toujours contre elle, elle continua de la regardé avec le même regard méchant, en étant toujours vexé de son fameux doigt, elle n'allait pas la lâcher de si tôt. Elle sentit qu'elle essayait de se dégagé d'elle, pour pas qu'elle parte, elle s'appuya plus fort contre elle, en passant sa main dans son cou avec quand même délicatesse, elle se mit alors à rigolé en entendent ses paroles.
" Ahah, chérie, je me tape qui je veux, sache le. "
En voyant son regard, elle fut surprise, elle fronça les sourcils, elle avait l'air blessée, au mon dieu, ne lui fait pas ce regard, se dit-elle, sinon elle allait craqué.
Dernière édition par April Werner le Sam 6 Déc - 8:48, édité 1 fois
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Sujet: Re: LET'S GO ! [Kate.] Ven 5 Déc - 21:27
Kate & April
« Jalousy will drive you mad. »
Plus j’essaye de me dégager, plus elle me plaque au point que je me sente piégée. Je sens mon stress monter d’un cran. Je finis par me calmer, ça ne sert à rien de gigoter de toute façon elle a plus de force que moi et plus j’insiste, plus elle me coince, alors je préfère renoncer. Pour le moment du moins. Je frissonne en sentant ses doigts glisser le long de ma peau, j’essaye de paraitre impassible, mais je pince mes lèvres d’agacement, serrant une fois de plus les dents. Je lui lance un regard noir, essayant de la pousser à nouveau.
« Pourquoi ca t’interesses si soudainement ? »
Je soupire, levant les yeux au ciel.
« S’il te plait, fous moi la paix, trouve quelqu’un pour t’amuser ce soir puisque c’est si important. »
Elle était toujours collé à elle, mais elle avait soudainement mal au coeur, comme si on la torturé de l'intérieur, elle savait pourquoi, c'était Kate. Elle se sentait mal pour elle, pour toute la souffrance qu'elle lui faisait subir, mais elle ne pouvais s'empêcher de faire autrement, elle se décala alors légèrement d'elle baissant la tête regardent le sol en se mordent la lèvre, mais elle ne voulait pas qu'elle la voit faible, alors elle leva la tête vers elle en se mettant soudainement à rire. "Alala, Kate, tu me fais vraiment rire."
Mais putain, pourquoi faillait-elle toujours qu'elle fasse ça ? Faire de la peine au gens ? C'était sûrement son seul moyen d'expression et personne n'arrivait à comprendre ce genre de chose, même pas Kate, pff, Kate, elle, elle en encaisse les coups et elle ne dit rien, April devrait sûrement s’éloigne d'elle à jamais, elle se recula alors de plus en plus.
D'un coup, elle sentit ses yeux lui piquait, elle voyait trouble, merde elle était en train de pleuré, putain, faut pas qu'elle voit ça, elle se tourna dos à elle posant son bras sur ses yeux essayant de stopper les pleures; mais en vain.
"Je te haie Kate, je te haie ! "
Lui dit-elle avec sa voix remplis de larmes, elle l'a déteste de lui faire ressentir ses émotions mais en même elle l'aimait tellement qu'elle pourrait se tué devant elle si c'était son désire.
Je sens une boule naitre dans ma gorge et dans mon ventre. Comme j’aimerai avoir le courage de lui foutre mon poing dans la gueule. Mais elle comme moi on sait que je n’oserai jamais, je suis assez intelligente pour savoir que son retour serait triple et impardonnable, qui plus est, malgré ce qu’elle faisait et le fait que ça me blessait, elle n’y pouvait rien, elle n’avait pas de compte à me rendre. Alors pourquoi j’avais cette rancœur qui grandissait encore et encore ? Elle se met à rire et moi j’ai envie de pleurer. Je sens d’ailleurs les larmes me monter aux yeux et je retiens un sanglot, essayant de me retenir de toute ma fierté de pleurer. Elle se recule finalement, se dégageant de moi et je lui lance un regard un peu surpris, bien que j’en profite pour respirer un grand coup et reprendre un peu contrôle de moi. Elle me balance finalement d’une voix un peu cassée qu’elle me déteste et je serre les paumes, baissant les yeux.
« T’es vraiment qu’une putain d’égoiste. »
Je vais à sa hauteur, la bousculant un peu, furieuse, blessée, triste, les larmes aux yeux.
« Si j’avais su que tu jouais autant avec les gens, avec moi, je t’aurai sûrement laissée m’égorger en prison. »
Elle fut surprise de ses paroles. Elle ? Égoïste ? Sérieusement ? Elle avait du encaisser toute seule, toute son enfance la violence et les abusivement de son père et elle osait dire ça ? On va bien que Kate ne la connait pas vraiment, et elle était prête à tous pour elle, même à ce tué si il le faut.
En la sentent la bousculé, elle eut un hoquement en entendent ses paroles, à vraiment ? Elle leva alors la tête vers elle, elle avait les yeux remplis de larmes prêtent à tombé à tout moment, elle se recula d'elle, elle avait temps souffert et elle avait le culot de dire ça.
" Au moins je sais ce que tu penses.."
April se mit alors à partir vers la sortir, elle se sentait vraiment mal, pourquoi fallait-il toujours que ce soit sur elle ? Qu'avait-elle fait de mal pour que tout ses malheurs s'abatte sur elle ? Elle sortit alors dehors, et bien sûre, pour compléter le tout, il pleuvait, super la fin de soirée !
J’ignorais tout du passé d’April, peut être parce qu’elle était trop butée et trop secrète. Elle aussi ignorait tout du mien, et j’avais des choses à en raconter, des choses que j’aurai adoré lui dire, si elle n’était pas aussi… elle même. Fréquentr April était à double tranchant, c’était blessant et agréable. Actuellement, j’avais l’impression de recevoir un coup de poignard dans le dos, alors qu’elle n’était pas responsable, peut être était ce ma faute, mais mon état émotionnel m’empechait de réfléchir clairement à la situation.
Ses mots me tordent le cœur, je sais que j’ai parlé sous la colère et la jalousie, c’est mal parce qu’elle n’est pas à moi, et que je me surprend moi-même à avoir ces pensées là. Elle s’éloigne et je reste un instant stupide, à ne pas réussir à sortir, jusqu’à me décider finalement à mon tour de la rattraper dehors, ignorant ma tenue stupide imposée par l’établissement, bravant le froid et la pluie d’hiver, serrant les dents pour ne pas qu’elles claquent à cause du froid. Je ne tarde pas à la retrouver, sa chevelure blonde étant facilement reconnaissable.
« Je te raccompagne.. ? » demandais je timidement, comme si rien n’avait eu lieu.
Elle se sentait tellement mal en ce moment même, triste et surtout en colère, pourquoi avait-elle dit ça franchement ? Elle ne connaissait rien de son passé, elle pouvait même pas oser ouvrir sa bouche putain ! Elle tapa alors contre le mur, à l'aide de sa main, elle poussa un grognement sentent une douleur au niveau justement de sa main, elle leva la tête, merde elle saignait, super, elle n'avait vraiment pas de chance se dit-elle !
Elle s'en fichait, c'est pas ça qui va changer quoi que ce soit, elle l'a détestait à présent, il pleuvait fort en plus, ses cheveux et tout son corps était trempé, elle avait froid, elle se sentait tellement sale à cause de son maquillage qui avait couler et ses cheveux qui c'était transformé en couleur châtain, on aurait plus dit une blonde.
Elle soupira légèrement en entendent une voix, celle de Kate, bien sûre, elle se tourna vers en la regardent avec un regard noir, elle se recula d'elle.
" Tu sais, c'est mal vu de trainé avec un égoïste qui plus est, est une vrai folle qui couche avec tous ce qui bouge, puis, je suis connu dans cette ville pour être la "pute" du quartier, donc je crois pas que pour ta réputation tu devrais me raccompagner. "
J’ai l’impression d’être un cocktail d’émotion prêt à explose sur tout le monde. Colère, jalousie, regret, amertume, douleur et tristesse. Je lui en veux, et je m’en veux d’avoir réagi comme ça, rien ne me permettait de l’interrompre avec cette fille, c’est elle qui a raison : elle peut coucher avec qui elle veut, même si, rien qu’à cette idée, je sens mon cœur se pincer comme je l’ai rarement ressenti auparavant. J’arrive donc à sa hauteur, comme si de rien était, laissant la pluie torrentielle innondé mes vêtements et mes cheveux roux. Je sens mes muscles se déraidir, le bruit et l’odeur de la pluie ont toujours eu un effet apaisant sur moi. Je respire profondément, fermant les yeux un instant, tâchant de prendre sur moi quand elle recule en me voyant. Je fronce les sourcils à ses mots, me rapprochant finalement d’elle en haussant les épaules.
« Si je me souciais de ma réputation il y a longtemps que je serai parti. Je m’en fou April de ce que les gens disent et pensent. Sauf peut être ce que toi tu penses. »
Je soupire, esquissant un sourire que je veux rassurant, même si je n’ai pas oublié la rancœur que je nourris toujours envers elle. J'ai l'air pathétique, sans doute.
« T’es pas la seule qu’on appelle pute. » lachais je finalement tristement.
Sa main était remplit de sang, il coulé au sol, donnant juste l’impression que c'était une goutte d'eau provenant de la fameuse pluie qui était en train de tombé juste à présent, mais c'était juste son sang, une blessure causé par la colère d'April, elle n'aimait pas être dans cette état, ça la rendait folle, énervé et surtout très agressif, juste maintenant, elle était en train de se retenir de ne pas taper quelqu'un, bien sûre, elle ne pourrait jamais tapé Kate, elle compte pour elle comme si c'était sa prunelle de ses yeux, jamais elle ne pourrait la toucher, ce serait un crime pour elle.
En la voyant se rapprocher d'elle, elle continua de reculer, bien sûre vers le mur, sans sens rendre compte. En entendent ses dernière parole, elle sourit légèrement, au moins elle savait que ce qu'elle pensait était intéressent pour elle, mais son sourire disparu très vite, par un regard froid et vide.
" Et ? Je m'en fou ! Laisse moi tranquille, je sais que tu me détestes ! "
C'est vrai qu'elle n'a pas était très gentille avec elle, mais elle aussi et elle ne pouvait lui pardonnait, en entendent ses mots, elle arqua un sourcil ne sachant pas de quoi elle parlait. " Hm.."
Je la suis du regard se coller contre le mur trempé lui aussi. Elle esquisse un sourire et je me sens plus légère, j’ai l’impression de retrouver l’April que je connais, celle qui n’a pas peur de s’ouvrir à moi, celle qui ne joue par le rôle du monstre que tout le monde pense qu’elle est, mais ça ne dure qu’un instant. Ses prunelles redeviennent froides et distantes et elle me rejette une fois de plus. Je me mords la lèvre inférieur à ses paroles, baissant mon regard sur le sol humide.
« Ca serait vraiment plus simple pour moi si j’arrivais vraiment à te détester, crois moi. »
Elle a l’air intriguée par mes mots, mais je ne suis pas sûre de vouloir m’engager sur cette pente glissante aujourd’hui. On s’en veut mutuellement, lui confier une partie sombre de mon passé n’est pas l’opportunité que j’attend.
« Allez viens. On va attraper froid. » lachais-je en soupirant.
Je lui tend ma main, on est trempés jusqu’aux os. C’est finalement là que je remarque sa main ensanglantée et je fronce les sourcils, attrapant celle-ci sans lui demander. Je n’ai même pas besoin de lui demander pour savoir comment elle s’est fait ça, c’est simplement évidement avec elle. Je soupire à nouveau, néanmoins un peu inquiète et envahit par un désagréable sentiment de culpabilité. Son impulsivité cause toujours ce genre de dommages.
« Pourquoi tu te fais ça, te faire du mal dès que tu perds le contrôle ? »
Dernière édition par Kate Lawless le Lun 8 Déc - 20:45, édité 1 fois
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Sujet: Re: LET'S GO ! [Kate.] Lun 8 Déc - 20:43
April and Kate.
Boite de nuit
En entendent ses mots, elle fut heureuse, pourquoi ? Car elle venait de lui dire qu'elle ne pourrait jamais la détéstée et ça, ça la rendez tellement heureuse, pourquoi la vie n'était pas aussi simple ? Pourquoi April a un caractère autant merdique que ça ? Pourquoi fallait-elle qu'elle fasse tout le temps des conneries de ce style, ce faire du mal à elle même, ou autre autre. On pourrait dire que c'est sûrement une maladie ou peut-être qu'elle est bipolaire, qui sait.
" Tu devrais pourtant, je suis pas quelqu'un de fréquentable tu sais."
En entendent ensuite ses paroles, elle soupira légèrement, de toute façon, elle avait déjà attrapé sûrement froid, et la, un "atchoum" tous petit et mignon sortit de sa bouche, voilà, la preuve elle était malade.
" Je le suis déjà. "
En voyant qu'elle c'était arrêtait dans sa démarche, elle baissa le regard vers elle, merde elle l'avait vu, en même temps c'est assez visible, elle soupira encore une fois. " Sinon j'aurais tapé quelqu'un et la je crois que j'aurais eu pire que ça. "
Je ne peux m’empêcher de sourire, amusée, quand elle me dit qu’elle n’est pas fréquentable. Elle a totalement raison, mais c’est aussi mon cas. Sans ça, ni l’une ni l’autre n’aurions finies en prison, et l’on ne se serait jamais connu. Je finis par hausser les épaules en souriant.
« J’aime bien me bruler au danger. »
Je n’allais certainement pas cesser de la fréquenter, sauf si c’était réellement ce qu’elle voulait. Pourtant une intime partie de moi me criait de partir, d’écoute son conseil. Non parce que je redoutais d’être physiquement blessée par elle, simplement parce que je baissais tous mes boucliers pour ses beaux yeux et qu’à chacune de nos nouvelles rencontres, mon cœur s’emballait un peu plus. C’était sans doute pour ça que la voir collée aux lèvres d’une autre commençait à devenir une douloureuse peine.
Elle éternue et je lâche un sourire attendrie, je lui aurai volontiers à nouveau prêter une veste, mais je n’ai que l’uniforme court et ridicule du club et je grelotte moi même. Elle s’explique finalement sur sa blessure, et mon sourire s’efface.
« Je serai venue te voir en prison, cette fois. » lachais je avec un brin d’humour et un sourire pas très assuré, pas certaine de sa réaction.
Je finis par ne plus le laisser le choix et attrape son bras, l’entrainant avec moi. Tant pis pour mon boulot, je trouverai autre chose, j'ai deux autres jobs de toute façon.
« Je vais à l'hotel cette nuit. Si tu veux venir te réchauffer près d'un feu de bois tu es la bienvenue. »
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