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 (zeev) even if the worst torture is to not have more.

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MessageSujet: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptySam 20 Sep - 22:05

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zeev ∞ jules
Un battements de cils plein de mascara. Des lèvres faussement  pulpeuses. T'effaces tout ça en quelques coup de coton. Tes lèvres reprennent leurs couleurs naturels, tes yeux paraissent moins pétillants. Mais tu t'en fiche, ça te ressemble déjà plus. T'aimerais effacer en entier toute cette facette de toi, mais pour le moment tu peux pas. Pas encore. Mais pour ce soir, c'est fini. Fini de jouer la comédie et de se la jouer sexy. Du moins pour ce soir. Demain, ou plutôt ce soir, vu l'heure qui l'est,  tu remontras sur la scène,  et c'est repartis pour un tour. Tu te presses pas, tu sais que personne t'attends. Tu pries juste pour que Rose soit entrain de dormir bien profondément. Tu sors des ''vestiaires', sac sur l'épaule, habillée de ton gros pull noir, short et collants. T'es la dernière à partir, comme souvent. Tu comprends pas le délire des autres filles à sortir d'ici encore maquillé, à peine plus habillé que quand elles dansent. Tout ça surement pour plaire à Zeev. Elle lui tourne toute autour, un essaim de guêpes autour d'une belle fleur ou plutôt d'une plante carnivore. Tu sais jamais quelle est la meilleure comparaison. Surement aucune des deux. Tu te retrouves dans le cœur du club. T'aimes le calme qu'il y règne une fois tous les clients partis et la musique arrêter. Tu laisses tomber ton sac au sol et ton regard se perd au milieu des barres de strip. Tu émets un petit éclat de rire, en pensant à tous ce qu'on pourrait trouver en passant la pièce à l'ultraviolet. En ce moment, elle est quasiment plongé dans le noir, tu finis par remarquer une faible lumière. Tu fronces les sourcils. Quasiment tout est éteint. T'avances lentement. T'ouvres une porte, traverses un couloir. Une autre porte, et tu découvres Zeev dans son bureau. A chaque fois que tu le croises t'es assaillis par plusieurs émotions contradictoires, un mouvement de recul et une irrésistible envie de lui sauter dessus. Désolé. Je voulais pas vous déranger, je pensais être seule. Tu te montres indifférente au faite que vous soyez dans la même pièce. Tu te risques à imaginer ce que ferait une des autres filles. L'aguicher, le draguer et lui sauter dessus au bout d'une minute et demie. Tu te mords l'intérieur de la joue pour ne pas rire et tu t'appuies contre le cadre de la porte. Vous profitez du fait qu'il n'y est plus personne pour vous faire un petit plaisir solitaire ?
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptyDim 28 Sep - 19:20

Tu feras scintiller tes canines lorsqu’elle enlève le bas  ≠
Zeev ∞ Jules
5H30. La musique se coupe, les projecteurs s’éteignent. On range les paillettes et on compte le fric. Tu la sens cette odeur ? C’est celle de la décadence, de la débauche, elle est imprégnée partout en ce lieu de vices. Lentement, le club s’endort. Les derniers employés quittent les lieux, certaines filles viennent t’embrasser avant de partir afin de te souhaiter bonne nuit, t’infligeant leurs minauderies stupides par la même occasion. Tu souris lascivement et te mets à les chasser lorsqu’elles insistent. Tu n’es pas d’humeur. Tu n’as pas sommeil et n’as envie de rien. Assis dans ta chaise, les pieds sur ton bureau, dans une nonchalance exacerbée tu fumes ta clope et bois ton verre de Whisky. L’ennui t’habite mais rien ne trouve grâce à tes yeux. A ce moment précis tu n’as pas envie de sexe, de drogues, de vitesse, ou bien même de violence. Tu n’as simplement envie de rien. En fait, là, de suite, tu as envie de quelque chose que toi-même tu ignores encore. Tu ressens un grand vide qui te frustre. Se pourrait-il que tu finisses par mettre la main dessus ? C’est à ce moment exact que perdu dans tes pensées tu y es subitement tiré par une voix féminine qui t’est familière. « Désolé. Je voulais pas vous déranger, je pensais être seule. » Surpris et irrité tu reportes un regard sombre et éteint sur l’intruse. N’avait-elle jamais appris à frapper ? Tu découvres alors Jules. Cette fille était un plaisir pour les yeux. Agréable surprise. Que faisait-elle encore là ? Tout le monde devait être déjà parti, Gary s’étant occupée de la fermeture. Tu as un brutal regain d’intérêt tandis que ton regard semble se rallumer. Tu ne la lâche pas des yeux, la dévorant du regard et esquisses un petit sourire. Elle était belle baignée dans la faible lumière de la pièce avec ses cheveux en bataille. Celle-ci faisait ressortir les traits sublimes de son visage. Une beauté aux origines Israéliennes, ayant toi-même du sang Israélien autant dire que ça te plaisait. Et ses lèvres, elles avaient quelque chose de purement érotique.«  Vous profitez du fait qu'il n'y est plus personne pour vous faire un petit plaisir solitaire ? » ajoute-t-elle presque immédiatement. Sa remarque t’arrache un sourire et amusé tu arques un sourcil avant de lui répondre : «  Plaisir solitaire ? Je dirais que fumer et boire font parti de mes petits "plaisirs solitaires" mais je pense que tu sous-entendais autre chose. Pour te répondre, généralement je préfère qu’on m’assiste pour ce genre de choses. Je laisse cette tâche aux femmes, la plupart sont très douées pour ça. » Tu souris, lui lançant un regard plus qu’équivoque et finis ton verre de sky. Une fois son contenu avalé, tu ajoutes : « Tu veux me tenir compagnie ou tu considères ça comme des heures supplémentaires ? Quoique, tu es peut-être crevée. Je peux te ramener si tu veux. »
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptyMer 22 Oct - 23:23

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zeev ∞ jules
Tu penses plus à rien. Plus à l'heure qu'il est, ni à tes paupières qui commençaient à se faire lourdes, ni a ce brutal regain d'énergie que tu as eus en le voyant. Plaisir solitaire ? Je dirais que fumer et boire font parti de mes petits "plaisirs solitaires" mais je pense que tu sous-entendais autre chose. Pour te répondre, généralement je préfère qu’on m’assiste pour ce genre de choses. Je laisse cette tâche aux femmes, la plupart sont très douées pour ça. Il te fait clairement comprendre, que c'est toi qui a des pensées déplacées. Tu lèves les yeux aux ciels. "La plupart", tout réside dans ces deux mots. Involontairement, tes lèvres se figent en un sourire en coin pour répondre au sien. T'as pas l'habitude de faire cet exercice là. Sourire. Ça te parait facile pourtant, à ce moment-là. Tu veux me tenir compagnie ou tu considères ça comme des heures supplémentaires ? Quoique, tu es peut-être crevée. Je peux te ramener si tu veux. T'hésites, tu prends pas conscience du temps que tu mets pour répondre. Tes yeux se perdent sur le sol et tu finis par les remonter vers son visage. Je veux bien rester avec vous. Après tout si je voulais partir ce serait déjà fait. Tu lui dit pour seul réponse. T'hausses les épaules en pensant à Rose et tu t'avances d'un pas aussi assuré que possible. Je suis pas à une heure prêt. T'es pas à une nuit prêt, ni à un jour prêt non plus. Tu jettes un coup d'oeil à la pièce, mais tu finis toujours par revenir à lui. Zeev. Inaccessible. Indéchiffrable. Des questions s'imposent à toi. Tu les éloignes machinalement. Elle craque toutes pour lui. Toutes. Sans exception. Tu les comprends. Tu veux pas te l'avouer, mais il te plait ce visage, ces yeux. Tu plonges dans ce regard. T'essayes de le sonder, mais tu vois rien. Absolument rien. Il y a cette lueur qui passe dans ses yeux. Qui passe comme un éclair et qui s’éteint aussi vite. Elle te fout le doute. Comme si elle te disait que t'allais regretter d'être rester. Tu dois avoir rêver. Pour reprendre contenance tu franchis les quelques pas qui te séparent des fauteuils et tu te places sur l'un deux. Tu peux pas rester comme ça, bras ballants, jambes raides. En un mouvement tu les ramènes vers toi et tu t'assois en tailleur. Position beaucoup plus naturel pour toi. Tu pries juste pour pas qu'il te fasse de remarque. Un silence passe. Tu peux pas le laisser prendre trop de place. Sinon tu vas bafouiller, rougir, rigoler, que sais-je. Tu veux pas qu'il te déstabilise, ni lui, ni Zeev. Tu passes une main tremblante dans tes cheveux pour t'occuper. Tu dois le combler avec des mots ce silence. Vous comptiez passer une nuit blanche ? Je voudrais surtout pas vous priver d'une nuit de sommeil.
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptySam 20 Déc - 21:29

Tu feras scintiller tes canines lorsqu’elle enlève le bas  ≠
Zeev ∞ Jules
Ce putain de vide qui te paraissait désespérément incomblable tu le ressentais. La frustration qu'il engendrait te laissait une désagréable impression de picotement qui t'agaçais. L'agacement, oui, qui dérivait sournoisement vers une sorte de colère étouffée. Lentement, cette furieuse envie de quelque chose s'insinuait en toi. Mais putain de quoi avais-tu envie ? N'en ayant aucune foutue idée, tu finissais blasé. Et puis d'un coup ce vide disparu et cette frustration aussi, ou du moins, ce n'était plus aussi intense. Lorsque Jules avait fait irruption dans ton bureau, t'avais su. Il n'y avait que quelque chose comme “ça” qui pouvait pallier à ton ennui. Superbe distraction. Sans déconner. T'avais eu envie de la prendre, là sur ton bureau, dès que tes yeux s'étaient posés sur elle mais tu n'allais pas la baiser et c'était ça qui te faisait jubiler, qui t'excitais. Tu savais qu'elle avait autant envie de toi que tu avais envie d'elle, pour ne pas dire plus. Son corps la trahissait. Plus tu avais envie d'elle et plus la frustration était intense, et plus la frustration était intense et plus tu aimais ça jusqu'à en prendre du plaisir (toi, qui pourtant avait beaucoup de mal à supporter cette chose). Le meilleur restait tout de même le fait que sous son air stoïque, tu savais. Tu savais qu'elle avait sauvagement envie de toi et qu'elle se languissait de ne pouvoir te sentir entre ses cuisses. Son envie devait probablement la bouffer tout entière, la consumer, et plus elle luttait contre, plus celle-ci se faisait plus intense, plus présente, plus pressante. D'ailleurs, elle te détestait probablement à cause de deux choses très paradoxales, l'une : parce qu’elle te voulait tout simplement et la deuxième parce que tu ne lui donnait pas ce qu'elle voulait. Bordel, qu'est-ce que t'aimais ça. Tu ne savais pas encore combien de temps tu allais tenir (mais tu comptais bien tenir), ni quand tu allais céder d'ailleurs. Et elle ? Quand est-ce qu'elle allait flancher ? Et si tu finissais par céder Zeev, est-ce qu'elle allait te résister ? Cette idée manque de te la faire raidir et un léger sourire étire tes lèvres pendant que tu l'observes avec insistance et, que tu fais briller un peu plus le bout incandescent de ta clope avant qu'un nuage de fumée ne s'échappe d'entre tes lèvres. T'avais lancé ces propositions qui impliquaient dans tous les cas qu'elle soit avec toi. Elle avait le choix. Alors, tu attendais patiemment sa réaction curieux de savoir ce qu'elle déciderait. «  Je veux bien rester avec vous. Après tout si je voulais partir ce serait déjà fait. » A sa réponse tu coinces ta clope -ou du moins le peu qu'il reste de celle-ci - entre tes lèvres et te lève d'un bond te dirigeant vers le bar d'une démarche nonchalante, n'enlevant pourtant rien à ta prestance naturelle. « Je suis pas à une heure prêt. » « Parfait. » réponds-tu tandis que tu te ressers un verre de sky. Tu te retournes ensuite et t'appuies contre le meuble tout en buvant quelques gorgées de ton verre. Tu la retrouve assise en tailleur sur l'un de tes fauteuil. Elle te regarde avec un petit air singulier, voir farouche, paraissant chercher à t'appréhender comme si au moindre geste brusque elle allait s'enfuir. Tu l'observes, la couvant d'un regard sombre mais chaud jusqu'à ce que ses yeux croisent les tiens. Ses prunelles se perdent quelques instants dans les tiennes avant qu'elle ne les en détache avec empressement. Amusé, intéressé, ton regard devient plus vif, plus éclatant.  « Vous comptiez passer une nuit blanche ? Je voudrais surtout pas vous priver d'une nuit de sommeil. » Sa phrase t'arrache un énième sourire et tu lui réponds : « T'inquiète pas pour moi, j'ai pas sommeil. Morphée et moi on est un peu fâchés ces temps-ci, mais j'aime l'idée que tu puisses me priver d'une nuit de sommeil. A savoir maintenant les raisons... »  Tu lui lance un regard plus insistant à tes sous-entendus et jette un coup d’œil au contenu de ton verre avant de le finir d'une traite, appréciant la morsure et le goût de l'alcool. Tu ajoutes, reportant ton regard sur elle : « Mademoiselle veut-elle boire quelque chose ? Oh et en fait, si tu arrêtais de me vouvoyer au moins pour ce soir ? »


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Dernière édition par Zeev I. Benzaqén le Jeu 22 Jan - 18:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptyMar 30 Déc - 18:20

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zeev ∞ jules
Une biche effarouchée qui vient de planter ses yeux dans ceux du loup. C'est tout ce que tu es. Trop fière pour t'enfuir pendant la seconde où tu en avais eu l'occasion. Prise au piège dans un jeu dont tu ne connais que trop peu les règles. Ta bouche s'ouvre, laissant passer les quelques mots qui lui demande ce qu'il fait encore ici à cette heure là. T'inquiète pas pour moi, j'ai pas sommeil. Morphée et moi on est un peu fâchés ces temps-ci, mais j'aime l'idée que tu puisses me priver d'une nuit de sommeil. A savoir maintenant les raisons... Tu lui ferais ravaler son sourire si tu n'étais pas entrain d'y succomber. Tu le détestes pour ça, pour ce qu'il arrive à te faire ressentir rien qu'en te regardant. Pour ton sourire qui prend maintenant la même expression que le sien, pour tes yeux qui veulent dire non alors que ton corps les trahis, pour tes lèvres qui rêvent de prendre possession des siennes, et pour le feu qui te dévore tout simplement de l'intérieur. Je n'ai jamais été douée pour les grands discours, sachez le. Manier les mots n'a jamais fait partie de mes talents. Ce n'est pas en parlant qu'on passera la nuit. Tu te maudis en prononçant ses paroles, qui ne sont pourtant que pure vérité. Tu t'es trahie. Un simple regard et tu avais compris qu'il savait déjà pour les envies qui avaient pris possession de ton esprit. Mademoiselle veut-elle boire quelque chose ? Oh et en fait, si tu arrêtais de me vouvoyer au moins pour ce soir ? Tu te lèves. Un papillon qui s'approche de la flamme sans savoir qu'il peut se brûler les ailes. Toi tu sais, que tu finirais forcément par les brûler, tes ailes. Pourtant tu continues, un pas après l'autre. Tes doigts se promènent au dessus des bouteilles, les effleurant, ils finissent par atterrir au dessus de celle incolore. De l'eau. Rien de plus simple. Tu ne te laisseras pas bercer par autre chose que par ses paroles ce soir. Le cerveau embrumé et les pensées qui sont toutes plus féroces les unes que les autres se suffisent à elle même pour que l'alcool ne vienne s'y mélanger. Tu relèves les yeux vers lui. Ridicule. Verre d'eau à la main et pas assez grande pour le regarder dans les yeux. Même avec tes talons tu n'en a jamais été capable. Peut-être n'est ce pas plus mal au final. Mais t'as finis par vouloir savoir ce que cela faisait de se perdre véritablement dans les yeux du diable. Ça ne risque pas d'arriver. C'est une marque de respect. Une marque de respect, bercée entre un brin de peur et de désir. Tu te refuses à le tutoyer, ça te permets de garder une certaine distance, un certain contrôle. Ma pauvre. Tu te leurres, tu ne contrôles rien du tout, pas la moindre parcelle de ce qui est entrain de se passer. C'est lui qui mène la danse. D'une main de fer sans te laisser un instant de répit. Il a déjà pris toutes les décisions, il te laisse simplement croire que tu peux y prendre part. Cette proximité te satisfaisait autant quelle te met mal à l'aise. Tu te mets à te balader dans la pièce, ton regard se posant sur le canapé bordeaux. Tes jambes t'y conduisent sans dire un mot et tu pris place sur l'un des accoudoirs. Vous êtes mon patron, devrais-je arrêter de vous traiter comme tel ? Tu finis par reporter ton attention sur lui, comme toujours. Un léger sourire ornant tes lèvres. Du moins pour une nuit.
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptyVen 23 Jan - 22:34

Tu feras scintiller tes canines lorsqu’elle enlève le bas  ≠
Zeev ∞ Jules

Elle se rapproche dangereusement de toi, la biche. Sous les yeux du prédateur elle envahit un peu plus son espace, s'y mouvant avec une subtile sensualité. Elle effleure les bouteilles de ses doigts, ses lèvres roses et charnues entrouvertes et ses yeux noisettes à demi dissimulés sous ses longs cils noirs. Elle se saisit d'une bouteille et relève un regard farouche vers le loup qui la dévore du regard. Tu la scrute, les yeux emplis d'une expression féroce, prêt à bondir à tout instant. Vos regards se croisent et celle-ci soutient le tien avec audace, augmentant la tension déjà présente entre vos deux corps. C'est alors qu'elle te répond : « Ça ne risque pas d'arriver. C'est une marque de respect.» A ce moment là, tu n'avais qu'une chose en tête : la baiser. Tu ne prête donc pas attention à ce qu'elle vient de dire. Mais, comme si elle sentait le danger, d'un coup, celle-ci s'arrache brusquement à ton regard et s'éloigne de toi lentement et à la fois avec un empressement difficilement dissimulable. Elle te fuit. La mâchoire contractée, tu la regarde déambuler tel un prédateur guettant sa proie en attendant de lancer l'assaut. Elle finit par s'immobiliser, s’assoit, et ajoute : « Vous êtes mon patron, devrais-je arrêter de vous traiter comme tel ? » Cette fois, tu prêtes attention à ce qu'elle dit et te remet dans la conversation. Elle poursuit avec un sourire malicieux : « Du moins pour une nuit. » Tu étais satisfait, c'est ce que tu voulais entendre. En réalité, tu préférais qu'elle te vouvoie. Tu aimais dominer, tu étais le dominant. Le fait qu'elle garde cette "marque de respect" tendait à souligner ce fait. D'ailleurs, si celle-ci avait accepté, tu l'aurais probablement remise à sa place d'une manière cinglante et cela sans quelconque états d'âme.

Un sourire satisfait aux lèvres tu te diriges vers ton bureau t'y appuies et prends une gorgée de ton verre avant de le poser sur le rebord.« Tu as raison. Je reste ton patron, alors tu dois m’obéir. » Tu chopes ton paquet de clopes, en sort une que tu coince entre tes lèvres et l'allume. Par la suite, tu ne la lâche pas du regard, tes yeux brillant dangereusement. Tu la convoite. Tu la veux. Tu te débarrasses de ta clope et lâches alors d'un ton autoritaire : « Viens. » La biche parait apeurée. Immobile, elle te fixe de ses grands yeux marrons semblant vouloir comprendre tes intentions. Elle hésite. Finalement, un peu vacillante, elle vient se poster devant toi. Tu te redresses, la dominant de toute ta hauteur et plonge ton regard dans le sien. Tes yeux avaient changés, ils étaient désormais plus ardents, plus sombres. « Plus près.» lui ordonnes-tu. Celle-ci s’exécute avec hésitation et fait un pas en avant, réduisant ainsi la distance qui vous sépare. Satisfait, tu souris et t'avances  également, réduisant à ton tour l'infime écart qu'il y avait encore entre vous. Alors, sans la toucher, tu approches ton visage de son cou. Son odeur s'insinue délicieusement dans tes narines. C'est une invitation à la folie. Tu serres la mâchoire à t'en faire péter les dents et serres le poing ; tu te contiens. Le loup se retient de sauter sur la biche pour la dévorer. Par la suite, tu te décontractes en une fraction de seconde et souris. Tu effleures son cou de tes lèvres et remonte jusqu'à son oreille où tu murmures avec une jubilation malsaine : « Tu es consciente que si tu cries -tu marques une pause- et ça pour n'importe quelle raison, personne ne t'entendra ? Tu es en quelque sorte à ma merci.» Tu te recules légèrement afin de lui faire face (n'enlevant rien à votre proximité), tes yeux allumés d'un éclat indéfinissable, comme bestial. Ses lèvres frémissaient. C'était la peur et le désir. Intense mélange.



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Dernière édition par Zeev I. Benzaqén le Mar 28 Avr - 19:56, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptyDim 25 Jan - 20:30

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zeev ∞ jules
Tu fais la maligne, te crois plus intelligente que le prédateur en face de toi. Tu n'es qu'une proie, crée pour fuir ou subir. Non combattre et te révolter. Tu pensais être capable de tenir sans craquer, d'une manière ou d'une autre. T'es attentive à chaque changement dans son comportement. Et puis, il y a cette clope qu'il allume, et cet ordre qu'il te lance. Tu poses ton verre à terre sous peine de le lâcher. T'essayes de comprendre ce qu'il veut. Ce qu'il exige de toi. Mais tu finis par te lever, vacillante. Une funambule sur son fil. T'arrives à destination sans tracas. Tu te rapproches encore, tremblantes. Il se penche. Tes cheveux basculent derrière ton épaule sans aucun mouvement de ta part, la dénudant, laissant libre accès à ton cou. Eux aussi te lâchent, ton corps devient hors de contrôle. Il aurait pu te mordre ou te déchirer la gorge que tu n'en aurais pas été surprise. Tu surprends un léger sursaut secouer ton corps. Et c'est presque avec trop de naturel que tu relèves le menton, t'abandonnant à ses lèvres. Elles, qui te frôlent avec tellement de douceur, qu'elles te feraient presque mal. Tes dents attrapent l'intérieur de ta joue, empêchant un soupire de satisfaction de franchir tes lèvres. « Tu es consciente que si tu cries -tu marques une pause- et ça pour n'importe quelle raison, personne ne t'entendra ? Tu es en quelque sorte à ma merci. » Il te coupe le souffle. Tu réalises le silence qui s'installe. Aucun bruit. Tes lèvres frémissent en comprenant le sens de ses paroles, que tu refuses d'assimiler pendant quelques instant. Enfin, un son franchit tes lèvres. « Non. » La peur devient plus forte que le désir. Tu fuis, tu lui tournes le dos. Peut-être ne devrais-tu pas. Tu déclencherais son instinct de prédateur déjà bien réveillé. Mais c'est trop tard. Ta main au dessus de la poignée de porte. Tu ne sais pas si tu entends des bruits de pas, des paroles criées à la volée ou tout simplement ton imagination qui s'invente quelques dangers. Brutalement tu te figes. Fuir ou faire face ? Tu avais le choix. On te laissait le choix. Tes pensées s'éclaircissent. Les nuages font place au soleil brûlant, au feu ardent. Tu es en quelque sorte à ma merci. Ses paroles te torturent, personne n'est totalement proie ou prédateur. Tout le monde peut passer de l'autre côté de la gâchette. Tu voulais le rejoindre dans l’arène, devenir son égale, ou du moins essayer. Tu abandonnais ta peau de biche, révélant deux yeux presque aussi noirs que les siens en te tournant vers lui. Ton dos rencontre la porte, se cambrant légèrement pour laisser passer ta main. Le clic de la serrure se fait entendre dans le silence. Enfermé. Une lueur douce éclair tes iris, contrastant avec celle, animal, qui a pris possession des siennes. « Il faudrait déjà réussir à me faire crier. » Tu le rejoins avec rapidité et souplesse, refusant de te tenir aussi éloigné de lui tu reprends la place que tu avais quitté quelques instants plus tôt. Ton cœur cogne contre ta poitrine et tu es surprise qu'il ne s'en soit pas rendu compte, tellement il bat fort dans tes oreilles. Tes mains agrippent sa veste pour le faire tourner. Échanger vos places. Tes jambes rencontrent son bureau, et tu le lâches une seconde, le temps de t'asseoir dessus. Tes doigts reprennent possession de sa chemise, jouant avec ses boutons. Tu sens tes jambes effleurer les siennes, les frissons s’enchaînent, incontrôlable. Chaque parcelle de ton corps y a droit. « J'aimerais bien vous voir essayer. Voir si vous en êtes capable. » A peine ton dernier mot prononcé, tu détaches un des boutons de sa chemise. Les yeux toujours perdus dans les siens.
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MessageSujet: Re: (zeev) even if the worst torture is to not have more.   (zeev) even if the worst torture is to not have more. EmptyJeu 30 Avr - 19:28

Tu feras scintiller tes canines lorsqu’elle enlève le bas  ≠
Zeev ∞ Jules
/HOT/ (ça reste soft mais on ne sait jamais Arrow)

« Non », ce mot sec, abrupt, extirpé difficilement de ces lèvres tentatrices. Il suinte la peur, trop même. C’est excessivement mal dosé, mal maitrisé. C’est beau. Envoutant. Excitant. C’est cette même peur qui la pousse à fuir le danger. Elle s’enfuit et tes lèvres se retroussent sur tes dents en un sourire carnassier. Cours, j’aime ça. Immobile, il y a cet organe qu’on appelle le cœur qui bat plus fort, plus vite, dans ta poitrine tandis que les jointures de tes mains deviennent blanches à trop serrer le rebord de ton bureau. Tu ne la lâche pas des yeux. Tu savoures ce moment. Tu veux lui laisser croire qu’elle peut t’échapper, la laisser approcher de l’illusion d’un potentiel sentiment de soulagement que lui apporterait le fait de franchir cette porte. Mais, tu ne la laisseras pas partir. T’es juste sadique. Dès qu’elle ouvrira cette porte et qu’elle apercevra dans l’entrebâillement un espoir de te fuir, tu le feras éclater en mille morceaux. Tu ne pouvais pas la laisser partir, pas après ça. Tu la désirais trop pour ça. Tu voulais la faire crier, putain. De douleur ou de plaisir tu ne savais pas trop. Ça se mélangeait. Les deux, peut-être ? T’es comme affamé à la scruter de tes yeux sombres et brûlants lorsque tu la vois se figer avant qu’elle ne se retourne vers toi. Sur le coup, faut avouer que t’es surpris. C’est là, que tu remarques son regard totalement aux antipodes de celui qu’elle avait jusqu’alors ; il n’a plus rien de craintif et d’apeuré, il est comme sauvage. Transcendant. Féline, elle a troqué sa peau de biche pour une fourrure de panthère, qu’il lui scie à merveille. Lascive, chaque geste qu’elle fait semble être une provocation, une incitation à la luxure. L’appel intense et viscéral d’une chatte en chaleur. Indécence. Elle était sublime et elle vous avez enfermés. Tu bandais. Tu la voulais horriblement. T’allais flancher, plus te contrôler. T’allais l’attraper violemment. La posséder. La faire saigner à force de la toucher. Dévaster sa bouche, son corps, de tes baisers brûlants et la baiser tellement fort qu’elle en oublierait jusqu’à son nom. C’est là qu’elle te sort avec insolence : « Il faudrait déjà réussir à me faire crier. »  T’allais la faire crier. C’était une certitude. Et, elle allait en redemander. Tu l’observes revenir vers toi, se déplaçant avec cette assurance que tu lui connaissais lorsqu’elle se mouvait à moitié nue sur scène, s’exhibant avec sensualité. T’avais soudainement affaire à la danseuse, comme si Jules et la strip-teaseuse qu’elle était étaient deux êtres bien distincts. Tu la dévores du regard, la mâchoire crispée et les muscles bandés, prêt à lui sauter dessus à tout instant. Ton regard vorace et affuté finit par retrouver ses prunelles lorsqu’elle revient se poster devant toi. Cette proximité ajoute un cran de plus à la tension qui règne entre vous. L’air est comme chargé d’électricité. Entreprenante, elle agrippe ta chemise et échange vos places. Elle s’installe sur ton bureau, écartant ses cuisses, afin que tu puisses y glisser ton corps. « J'aimerais bien vous voir essayer. Voir si vous en êtes capable. » Lâche-t-elle tout en arborant un regard intense, plein de défi, tout en continuant à déboutonner ta chemise déjà quelque peu ouverte. Pendant ce temps il y avait comme un orage en toi, ce grondement sourd c’était le bruit menaçant du tonnerre. Maintenant, c’était la fulgurance d’un éclair. Tu imploses. Tu esquisses un petit rictus sadique tandis que tes prunelles s’enflamment et attrape ses cuisses assez fermement-même trop peut-être – afin de la ramener vers toi. Ton entrejambe rencontre la sienne, tu lui fais sentir l’effet qu’elle te fait, combien tu la désires. Tu la laisses jouir quelques secondes de ce constat avant d’attraper brutalement son cou de ta main libre, (l’autre se trouvant sur sa cuisse)  et de l’enserrer légèrement. Son cou est si fin que tu pourrais lui briser facilement. Tu lâches alors dans un murmure mais, d’un ton ferme et autoritaire : « Ne me défis pas. » T’as cette lueur de démence dans le regard que tu gardes jusqu’à ce que tu ne desserres l’étau de ta main (sans pour autant l’enlever) et que tu t’empares de ses lèvres. Impétueux, tu te mets alors à l’embrasser assez brutalement à l’image du désir qui te bouffait. Tu t’arrêtes seulement pour lui retirer son pull avec empressement et de manière assez brusque. Une fois enlevé, tu balances le vêtement avec véhémence. Ses cheveux désormais ébouriffés à cause du vêtement, mais aussi la vue de sa poitrine serrée dans son soutien-gorge, te rendait dingue. Tu retrouves pendant quelques secondes sa bouche, l’embrasse avec avidité avant de t’attaquer directement à son pantalon que tu ouvres. T’es trop pressé pour prendre le temps de la déchausser. Tu préfères aller au plus vite. Ne pas être encore en elle était une torture. Et puis faut dire que ce que tu allais faire ne te déplaisait pas. C’est pourquoi tu l’attrape, la soulève, l’embrasse encore un peu, la repose à terre et la laisse ouvrir rapidement ta chemise avant que tu ne la retourne. Tu attrapes son épaule tout en appuyant dessus pour qu’elle se penche sur le bureau, jusqu’à ce que son corps ne le rencontre complètement. Ensuite, tu attrapes les extrémités de son pantalon et lui baisse, embarquant sa petite culotte avec. C’est là qu’un sourire lubrique étire tes lèvres lorsque tu contemples sa chute de rein. Les mains sur ses hanches, tu presses-à travers le tissu de ton pantalon- ton sexe bandé et durci contre son petit cul bombé. Tu commençais à être à l’étroit dans ton caleçon. Tu te mets alors à caresser ses fesses. Bordel, elle avait une peau parfaite. Tu t’apprêtes à détacher ta ceinture et à ouvrir ta braguette. T’es sur le point de la prendre sur ton bureau, de t’enfoncer en elle et de la baiser sauvagement. Mais c’est là, alors que ton sexe est aussi dur que du marbre et que tu la désire comme jamais que tu te fais violence pour ne pas succomber. Parce que si tu cédais, ton petit jeu sadique actuel allait prendre fin. Sauf que voilà, tu n’avais pas encore fini. Alors, dans un effort surhumain, tu renonces. T’étais conscient que tu allais être encore plus frustré, toi qui en plus avait du mal à supporter cette chose qu’était la frustration mais, tans pis, tu irais en baiser d’autres et fracasser la gueule de deux trois types. Et un jour quand tu auras choisi le moment, tu baiseras Jules. Ainsi, au lieu de faire ce qu’elle attendait probablement avec impatience, à la place, tu te penches et dépose un baiser au creux de ses reins puis, tu te redresses, lui donne une petite claque sur les fesses et lâche tout en te décalant : « Rhabille-toi. Je te ramène. » Tu serres le poing, prend une profonde inspiration et expire avant de te rhabiller en détourner les yeux de son petit cul. Cette merveille.

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