Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule [Feat Lucky et Zya ]

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«Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule»

Feat Lucky & Zya

La sonnerie qui retentit. Les élèves courent, se bousculent, se gueulent dessus, gueulent ensemble. La petite Lula elle, elle est derrière. Elle avance doucement derrière les brutes devant elle. A quoi bon se presser ? D'une manière ou d'une autre c'est pas quelques secondes de plus dehors qui la feront sourire. Traînant ses petits pieds écrasé à mainte reprise par les autres. Ton corps fragile et fané avancé en reculant. Le regard vide fixant le sol, les mains glacials flottant dans les airs, les cheveux rouge en suspension. Un corps abîmé qui continuait à avancer. Une petite fleur fané qui continuait de lutter pour voir le soleil éclairer ses pétales. La lumière du jour finit par caresser sa douce peau. Chauffant un peu ton visage. Plissant les yeux face à la lumière qui t'éblouit elle ne le remarquait pas tout de suite. Avançant toujours plus, descendant les quatre petits escaliers avant de le voir. Enfin. Son visage s'illumina peu à peu. Elle reprenait quelques couleurs à sa présence. Arrivant vers lui bras tendu avant de s'effacer dans ses bras.
Lucky s'était son sauveur. Lucky lui faisait apprécier de plus en plus la vie. Elle a découvert une autre sorte de vie avec lui. Il lui redonne du courage. Il lui redonne de la force pour continuer. Lucky savait rien de sa Marguerite. Il ne l'appelait pas Lula comme la plupart des gens qui trouve que Marguerite était trop long. Non, Lucky l'appelait Marguerite. C'était sa petite fleur fragile. Lucky c'était la petite goutte d'eau qui faisait revivre la Marguerite. Marguerite, elle serait perdu sans lui.
Dans ces bras elle frissonne. Dans ces bras elle est bien. Dans ces bras elle n'a plus froid. Le visage enfouit contre lui, elle voulait rester ainsi jusqu'à ce qu'elle meurt cette petite fleur. Elle finit par relever la tête vers son visage, son doux visage rassurant. Ses petits yeux qui lui faisait toujours du bien. Déposant un légers baisé contre la peau du cou de Lucky étant trop petite pour atteindre ses joues.
"Tu m'a manqué Lucky..."
Elle l'avait vu il y a quelques jours. Elle le voyait souvent. Elle voulait le voir plus. C'était la seule personne à lui faire oublier sa douleur. Cette douleur dans sa poitrine qui s’intensifier de jour en jour. Elle savait qu'il ignorait tous et ça la rassurait. C'était surement grâce à ça qu'elle pouvait être aussi proche de Lucky.

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Les cours, franchement, y'a rien de plus chiant. Les cours pratiques, c'est bien, c'est cool et tu fais vraiment ton boulot. Mais la foutu théorie? Franchement, je préférerais me tirer une balle. En bref, journée longue, chiante et qui semble interminable en vue alors que j'suis assis là, en classe, à fixer l'horloge. Plus que quelques secondes avant la fin des cours. Putain, j'me croirais comme dans High School Musical, quand la cloche va sonner, tout le monde va se lever comme des imbéciles et quasiment se sauver en courant du bâtiment... comme s'il y aurait une bombe. À vrai dire, y'a peut-être une bombe, qui sait. Tic. Tac. Tic. Tac. Tic. Tac. L'horloge, elle est encore plus... OH YEAH C'EST FINI! Je me lève d'un bond et me dirige aussitôt à l'extérieur pour monter dans ma bagnole. Faut que je rejoigne le lycée avant que Marguerite termine ses cours.

J'arrive rapidement, après avoir brûlé plusieurs feux rouges et fait un fuck à des passants qui bloquaient la route. La cloche sonne et les élèves sortent un à un, mais toujours pas de signe de ma petite fleur. Je regarde partout et me mets même sur la pointe des pieds pour examiner les alentours. Puis je la vois, elle tire une de ces sales gueules. Elle relève la tête et je remarque aussitôt qu'elle se sent mieux. Un petit sourire fait apparition sur son visage et ses yeux s'illuminent. J'adore la voir comme ça, ça change du moment où elle broie du noir et qu'elle me fait penser à ces gothiques dégoûtés par le monde qui nous entoure. Elle vient alors se réfugier dans mes bras et je ne peux m'empêcher de la serre fort, très fort contre moi. Je sens alors ses petits baisers contre mon cou et je ne peux m'empêcher de sourire.

« Tu m'as manqué Lucky... »
« Toi aussi tu m'as manquée Marguerite. C'est chiant l'école hein? »

Je la regarde dans les yeux en souriant puis lui fait un clin d'oeil en prenant appuie contre ma voiture.

« Alors, qu'est-ce que tu veux faire aujourd'hui? On prend la bagnole et on se promène en ville? On va sûrement trouver un truc en chemin de toute façon... »

Je garde toujours ce sourire sur mon visage alors que je la regarde. Plus les minutes passent et plus elle semble heureuse. Ça a toujours été comme ça. Marguerite, elle broit du noir, elle donne l'impression de vouloir mourir, mais une fois qu'on est ensemble, Marguerite, elle reprend vie. Ses pomettes deviennent plus rosées, ses lèvres moins blanches, ses yeux plus pétillants et il y a toujours l'ombre d'un sourire qui flotte sur ses lèvres. À ma façon, je l'aide et c'est ce que j'ai toujours voulu faire, aider. Je l'aide à être de meilleure humeur et à aimer la vie. Marguerite, c'est ma protégée, celle que personne ne doit toucher sinon je deviens mauvais.

Je réalise que je me perds dans mes pensées et je repose mon regard sur elle.

« Alors? Tu vois! Tu prends tellement de temps que je me perdais dans ma petite tête... et crois-moi, se perdre là-dedans, c'est invivable! »

Je me mets à rire et lui ouvre la portière passager en attendant qu'elle grimpe à l'intérieur de la voiture.

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Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule. ▷ feat Lucky&Marguerite

AUPARAVANT.▷

Assise à l'extérieur, entourée de ta petite bande comme à votre habitude vous avez toujours le même endroit où vous squattez. Votre nom à chacun est presque inscrit sur cette zone, non sérieusement ça c'est fait de façon naturelle quoi. Bref, t'es assise sur les genoux de ton petit copain et ce dernier te chuchote des trucs à l'oreille qui te fait légèrement sourire il te mentionne que ses parents partent pour le week-end et que vous pourriez, vous retrouver ensemble juste tout les deux. Bien sûr, tu sais très bien qu'il ne t'invite pas à jouer aux scrabbles et cette idée te plaît pour une fois qui s'occupera de toi. « Alors t'es partante?» Te demande-t-il en plongeant son regard dans le tien, tu te mords délicatement la lèvre et t'acquisses alors il s'empresse d'enfouir son visage contre ton cou en laissant échapper un grognement. Sérieusement, si vous étiez pas en groupe, tu penses qu'il pourrait te prendre juste là. «Mon coeur, fait attention on est pas seuls là...» Souffles-tu difficilement alors que tes yeux se tournent légèrement vers les gens qui passent près de vous en vous regardant. Soudainement, tu le remarques au loin qui marche de manière nonchalante, les mains dans les poches. Un frisson te parcourt le corps et tu mets ça sur le coup des baisers fiévreux de ton petit-ami sur ta peau tiède. Tes yeux n'arrêtent cependant pas de le dévisager et soudainement ton corps se crispe lorsque tu l'as voit surgir sur le terrain elle et son petit corps frêle, ses cheveux rouge flottant au vent. La scène que tu vois te donne envie de vomir, ton visage se referme un peu et tu les vois s'éloigner ensemble, ils semblent rigoler, tu détestes la complicité qu'ils ont. C'est pourquoi, tu évacues ta rage et t'éloignant de ton homme et que tu t'empares de son visage à l'aide de tes deux mains pour venir lui offrir tes lèvres de manière urgente et langoureuse. Évidemment, il reçoit cela avec grand plaisir en prolongeant cette échange collant son corps au tien. Soudainement, des sifflements provenant de la bande se font entendre et te ramène à la réalité, tu finis par te détacher de lui en laissant échapper un rire et tu lui annonces dans un murmure; « J'ai hâte à ce week-end...» Tranquillement, le reste de la bande se décident à partir pour les cours et tu décides d'en faire autant. Pourtant, ta journée semble longue et interminable surtout que tu n'arrêtes pas de te repasser cette scène dans ta tête, dont tu as été témoin et ça te fait bouillir. Après les cours, tu décides de t'éclipser et de passer un coup de fil.

MAINTENANT.▷

« Hey Zya, tu viens boire un café avec les filles et moi?» Te demande ta pote alors que tu t'empresses de foutre les livres dans ton sac, le week-end est finalement arrivé enfin. Secouant la tête négativement tu expliques à ta copine que t'as des trucs à faire avant de partir chez ton copain pour le week-end. Elle te dit alors qu'elle souhaite avoir tout les détails croustillants lundi matin. Tu souries amusée et acquisses légèrement en la regardant s'éloigner. Tes yeux regardent un moment autour de toi et tu t'empares d'un dossier qui était sagement caché dans ton casier et tu le mets dans ton sac avant de refermer ton casier et de quitter les lieux. Arrivée à l'extérieur tu prends la bagnole que ton cher papa t'a payé pour ton anniversaire, une décapotable d'un rouge suave et tu quittes le stationnement en mettant la musique à fond sans oublier de mettre tes lunettes soleil sur ton visage. En fait, tu prends une chance de te pointer au lycée car t'as entendu Lucky parlé avec un mec dans l'avant-midi et ce dernier disait qu'il devait se rendre au lycée pour passer chercher une copine et qu'il allait devoir se reprendre pour la sortie entre mecs. T'as donc déduis que la "copine" en question c'est la fille à la tignasse rouge feu. Après avoir frapper quelques lumières rouges et passer sur des lumières jaunes en faisant quelques fuck aux autres conducteurs, tu finis par arriver dans le stationnement et tu les vois justement près de sa voiture alors tu décides de t'arrêter près d'eux. « Tiens, Rodgers.» Lances-tu avec un sourire, tes yeux se posent sur la demoiselle et tu lui offres également un sourire qui semble des plus naturel et sincère. Puis, tu reposes ton regard sur Lucky à nouveau; « Je te cherchais, j'voulais qu'on fasse un truc ensemble cette après-midi puisque j'ai pas entraînement, mais tu sembles déjà pris.» T'affiches une légère moue et t'hausses les épaules te cramponnant les mains sur le volant et tu finis par dire avec un sourire franc; « À moins, qu'on passe l'après-midi ensemble? J'avais pas d'idées précises en tête, juste une virée en voiture dans les rues de la ville. Ça vous branche?» T'espères vraiment qu'ils acceptent et que Lucky ne soit pas méfiant devant tes agissements sinon ça risque de tout foirer.

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«Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule»

Feat Lucky & Zya

Ses mots étaient doux, ces paroles rassurante, son attitude joyeuse.
Un sourire effaçait se dessiné sur son visage. Il était pressant son sourire. Peu de personne le voyait mais, Marguerite elle souriait lorsqu'elle était avec Lucky. Lucky il était toujours souriant, toujours partant, toujours heureux. Il lui donnait ça force pour qu'elle puisse elle aussi être heureuse. Il ouvrit la portière de sa voiture. Souriant de nouveau Marguerite n'osait jamais y rentrer sans gêne. Elle y allait toujours doucement peu à peu. De peur de se casser, de peur de faner. Sans avoir eu le temps de rentrer dans le voiture, quelqu'un arriva près d'eux. Son regard tourner vers la voiture qui approchait. Tes yeux fixant la personne à l'intérieur. Marguerite elle frissonnait elle aimait pas se genre de personne. Le genre de personne où c'est écrit sur sa gueule qu'elle est fausse. Juger au physique oui peut-être. Marguerite était pas confiante. Elle voulait juste passer un peu de temps avec Lucky. Juste rire un petit moment avec de sourire en le regardant. Son corps se rapprocha de Lucky avant que Marguerite passe ses doigts entre ceux de Lucky. Elle ne voulait pas qu'il parte. Il ne voulait pas qu'il la laisse ici. Légèrement caché derrière lui, Marguerite fixait l'autre fille d'un mauvais oeil. Marguerite finit par se mettre sur la pointe des pieds avant d'atteindre l'oreille de Lucky pour lui murmurer :" On y va si tu veux..." Elle ne voulait pas lui priver de ses amis. Elle voulait juste être avec lui. Elle irait là où il l’emmènerait. Une voiture où une autre qu'es que ça pouvait changer ?

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J'allais fermer la portière alors que Marguerite s'apprêtait à entrer dans la voiture lorsque j'entends une nouvelle bagnole s'approcher. Je me retourne lentement en gardant un petit sourire à mes lèvres. Je reconnais alors cette petite bouille toute mignonne, Bella. « Tiens, Rodgers. » Je lui rends son sourire en riant doucement. À voir sa tête, quelque chose ne va pas, mais bien sûr, si je lui demande, elle ne me l'avouera jamais. Elle pose son regard sur Marguerite et je sais qu'elle ne semble pas particulièrement l'apprécier. Je passe ma main sur mon visage en riant à nouveau. « Je te cherchais, j'voulais qu'on fasse un truc ensemble cette après-midi puisque j'ai pas entraînement, mais tu sembles déjà pris.» Je regarde Marguerite en souriant puis prend appuie contre la portière de la voiture de Bella. Je me relève aussitôt en sentait Lula... Marguerite, c'que j'déteste ce surnom, près de moi, alors qu'elle engouffre sa main dans la mienne. Je la regarde en souriant et passe mon bras autour de ses épaules. « À moins, qu'on passe l'après-midi ensemble? J'avais pas d'idées précises en tête, juste une virée en voiture dans les rues de la ville. Ça vous branche?» Je pose rapidement mon regard sur elle puis regarde Bella à nouveau en haussant les épaules. « Hé bien, on comptait faire la même chose... donc pourquoi pas? » Je sens le regard de Marguerite contre moi et j'approche ma bouche de son oreille pour lui chuchoter à l'oreille : « T'inquiètes pas, elle parait chiante, mais c'est qu'une facette. Longue histoire. » Je pose ma main à nouveau dans la sienne et l'amène avec moi à l'intérieur de la voiture de Bella.

Nous roulons dans la ville quelques minutes alors qu'il y a ce silence lourd et chiant qui nous pèse sur les épaules. J'approche mon visage entre les deux bancs pour que Bella puisse bien m'entendre. « Et si on s'arrêtait dans un resto? Ce sera sympa tous les trois autour d'un bon repas, non? » Je regarde les filles tour à tour en leur offrant mon plus beau sourire. Elles ne parlent toujours pas alors je soupire comme un con et me met à bouger dans tous les sens comme un imbécile, ça, c'est sans parler des cris. « Allez putain d'merde! Bougez vous! Vous êtes chiaaaaaaantes! »

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Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule. ▷ feat Lucky&Marguerite Toujours dans ta voiture, tu espérais qu'ils acceptent ton invitation et Lucky t'annonce qu'il comptait faire la même chose avec sa pote, du coup, il accepte que vous passiez l'après-midi ensemble tout les trois. T'affiches un sourire franc en déclarant; « Super!» Évidemment, tu ne peux pas passer à côté du fait qu'il lui tienne la main pour l'entraîner dans ta voiture, il l'a fait asseoir à l'avant avec toi au côté passager alors que lui, il se fout à l'arrière entre les deux siège. Tu finis par démarrer pour quitter le stationnement du lycée, rapidement, le silence plane dans ta bagnole c'est pourquoi tu ne t'es pas gênée pour mettre un peu de musique sans pour autant mettre ça à tue-tête. Puis, Lucky finit par s'avancer vers toi pour te proposer de t'arrêter dans un resto, t'acquisses avec un doux sourire jetant un coup d'oeil à la passagère à tes côtés qui se contente de fixer la route à l'avant sans un mot. Tu replantes tes yeux sur la route, puis à nouveau Lucky brise le silence en vous traitant toi et la rousse de chiantes. Tu fronces les sourcils laissant entrevoir un sourire discret amusé par la situation et tu lances en le regardant par le rétroviseur; « La ferme! Je te signale que t'es en minorité là Rodgers, alors si tu veux pas que je te balance sur le prochain coin de rue, tu serais mieux de te tenir tranquille.» À nouveau tu jettes un coup d'oeil à Marguerite se demandant si elle compte participer à la discussion, mais en vain. Alors, tu t'humectes les lèvres et tu t'adresses aux deux en demandant; « On s'arrête à quel resto?» Ta voiture s'immobilise à un feu rouge et tu jettes un rapide coup d'oeil à Lucky dans ton rétroviseur et soudainement t'as l'impression d'entendre une mélodie que tu connais, tu t'empresses de lever le son de la radio et à l'écoute de la chanson t'affiche un franc sourire, putain ce que t'aimes cette chanson elle te donne le goût de te bouger les fesses à chaque fois. Alors que ta voiture repart continuant sa route dans la ville, tu ne te gênes pas pour battre la mesure en tapant sur le côté de ton volant ayant envie de t'éclater un peu de toute façon quand t'es avec Lucky c'est toujours comme ça. Ce mec a une façon bien à lui de te mettre le sourire de te faire sentir bien. Entre lui et toi, c'est pas toujours rose loin de là, tu lui fais souvent la misère mais vous finissez toujours par vous revoir comme si vous ne pouviez pas vous passer l'un de l'autre. N'aimant pas trop les silences, tu finis par demander en t'adressant cette fois à Marguerite; « Vous, vous connaissez depuis longtemps?» Cette fois, t'attardes ton regard plus longuement sur la jeune femme. Finalement, elle fini par te répondre et tu acquisses d'un léger hochement de tête à ces paroles et vous décidez de vous arrêtez dans un petit café que pour ta part, tu convoites assez souvent soit en solitaire mais le plus souvent en compagnie de ta petite bande. T'immobilises la voiture dans le stationnement et tu te rappelles que ta copine voulait s'arrêter prendre un café avec toi tout à l'heure, t'espères qu'elle ne soit pas dans le même café que toi mais bon qu'est-ce que tu peux faire de plus. Tu t'empares de ton sac et tu fouilles à l'intérieur pour en ressortir ton gloss et t'en remettre un peu. Soudainement, tu sens le regard de Lucky sur toi alors qu'il est sortie avec Marguerite de la voiture; « Quoi?» Lances-tu sans le regarder, puis tu finis par poser ton regard sur lui et t'annonces; « J'arrive, j'arrive, calme-toi.» Un soupir franchit tes lèvres et tu ranges ton gloss pour finalement sortir à ton tour de la voiture en prenant soin d'apporter ton sac, puis vous rentrez à l'intérieur et choisissez une table où tu prends place. Puis tes yeux se posent sur chacun d'eux et tu leurs souris faiblement sentant que cette rencontre risque d'être probablement assez pénible à cause de cette tension palpable dans l'air.

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«Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule»

Feat Lucky & Zya

« T'inquiètes pas, elle parait chiante, mais c'est qu'une facette. Longue histoire. »
Les paupières couvrant doucement ta vue pour répondre à cette phrase. Puis relevant la tête vers son visage tes paupières toujours mi-close. Marguerite n'avait jamais perdu le regard qu'elle avait à Londres. Un regard sans trop de vie, un regard fatigué. Pourtant avec Lucky se regard était plus pétillant peu de gens le voyaient mais, ceux qui te connaissait pouvait voir que son regard était plus joyeux que d'habitude. De nouveau des frissons, sa main revenant vers la sienne pour que leurs doigts s'enlacent de nouveau. Il t'emmène vers la voiture, perdu dans cette voiture Marguerite restait à sa place. Marguerite ne bougeait pas trop. Marguerite laissait les sensations de la voitures l'envahir. Sentant les secousse, écoutant le moteur ronronner. Le regard perdu devant toi, observant, t'évadant à travers la vitre.
Puis Lucky il s'impatientait, il s'ennuyait alors il se mit à bouger. Puis l'autre elle se mit a gueuler. Marguerite ignore, elle veut pas s'en mêler même si elle aurait bien dis quelques paroles à Zya pour respecter un peu plus Lucky. Oui, lui il pouvait parler mal mais, Marguerite elle avait pouvait pas lui parler mal et entendre quelques lui dire de la fermer où qu'importe elle ne le supportait pas. Mais, elle se tue, aucun mot ne sortit d'entre ses lèvres. Seul ses sourcils se fronçaient le temps d'un instant à l'entente de ses mauvais mots.
Le silence repartit de plus belle avant que la musique augmente. Posant ton coude à la portière pour tenir ta tête dans ta main tout en continuant de fixer à travers la vitre. Marguerite s'ennuyait, elle était pas à l'aise la Marguerite. Elle était pas dans son élément. Elle aimait pas le comportement de la garce à côté d'elle. Elle aimait pas les manières de cette garce. Cette garce était stupide, dans l'ignorance, idiote. Oui, cette garce était juste idiote. Malgré ce que lui avait dit Lucky, Marguerite ne voyait qu'une idiote. Puis cette garce se mit à lui poser une question. Marguerite voulait rester silencieuse, elle voulait pas lui parler. Elle voulait pas parler à une garce. Puis son regard traversa le rétroviseur pour que ses yeux effleurent la silhouette de Lucky. Alors, Marguerite elle tourne la tête vers la garce la regardant peut-être un peu trop de haut. Car, cette garce elle était rien pour Marguerite. Parce que Marguerite était forte alors que cette garce pouvait surement se briser facilement. Rien ne pouvait plus toucher Marguerite. Trop détruite, pas encore reconstruite alors Marguerite elle est vide, vide de bonheur. Sans bonheur comment briser une personne ? Seul Lucky apportait un petit bout de vie à Marguerite. Mais, elle a confiance à Lucky. Lucky il sait ce qu'il représente pour elle, il sait qu'il lui apporte ce qu'elle n'a plus. Marguerite répondit simplement pas un petit "Assez." ça suffisez pas besoin de plus.
Puis la voiture s'arrête, Lucky il descend. Marguerite et ses doigts fragiles ouvrent la porte de la voiture avant d'y sortir. C'est petites jambes frêles se dirigent vers Lucky. Elle voulait profiter de sa présence tout simplement. Ce sentir protéger. Marguerite l'a jamais appeler par son vrai prénom. Elle pouvait pas ça lui faisait trop mal. ça le ramener en vie donc elle n'avait jamais prononcé le vrai prénom de Lucky. Suivant le regard de Lucky, elle se mit à tourner la tête vers la Garce qui faisait la biatch devant son rétro. Avant qu'elle gueule pour dire qu'elle venait, elle sortie alors de la voiture avec à nouveau une attitude de Garce. Marguerite tourna alors les yeux vers Lucky pour lui dire doucement "Une facette... Elle ressemble à toute c'est biatch qui pète plus haut que son cul. Qu'es que tu lui trouve ?" Marguerite le dit tout bas, elle veut pas d'engueulade elle veut juste comprendre ce qu'elle a de spécial cette garce là. Puis elle les rejoins quelques minutes après. Rentrant dans le café, Marguerite toujours assez proche de Lucky. Il prit une petite table, Marguerite près de Lucky avec la garce en face d'eux. Elle faisait fausse cette garce. Elle avait un sourire qu'elle n'oubliait pas d'exposer. Un sourire de victoire comme si tout était déjà gagné. Marguerite la fixa donc voulant savoir pourquoi elle souriait autant. Le serveur arriva et tout le monde pris sa commande. Tout le monde sauf Marguerite. Elle voulait rien, rien avaler, rien boire ni manger.

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Je gueule comme un attardé en foutant des coups partout autour de moi, tout en faisant attention de ne pas frapper les filles bien sûr. Elles sont chiantes. Marguerite fixe dehors comme si le ciel était tout-à-coup devenu rose et Zya bah... c'est Zya, elle parle pas. Je stop net aussitôt que j'entends Zya me parler. « La ferme! Je te signale que t'es en minorité là Rodgers, alors si tu veux pas que je te balance sur le prochain coin de rue, tu serais mieux de te tenir tranquille.» Je la regarde en souriant comme un imbécile, un sourire tellement gros que j'ai l'impression qu'il va se décrocher de mon visage. « Je te rappelle que ma "minorité" comme tu dis, tu l'aimes bien. La vie sans les mecs, imagine comment ce serait chiant! Des filles qui se gueulent dessus et tout. Ah putain, j'voudrais pas voir ça hein! Le seul bon côté, c'est qu'il n'y aurait plus de guerres, seulement tous les pays qui se boudent comme des enfants. » J'éclate de rire. Je ne sais pas pourquoi, mais cette vision, elle me tue. Un silence s'installe à nouveau et j'ai envie de mourir. Heureusement, Zya rebrise le silence. « J'sais pas moi dans quel resto manger. Tant que j'puisse manger. D'ailleurs, tu vois ce gosse dans la rue? Même lui j'pourrais le manger tellement j'suis affamé. » Je jette un bref coup d'oeil à Marguerite et je jurerais la voir sourire en coin, peut-être même retenir un rire? Qui sait. J'écoute la chanson tranquillement alors que Zya s'efforce à entretenir un semblant de conversation avec Marguerite. Je regarde rapidement mon portable et joue à un jeu pour passer le temps. Après tout, personne ne sait vraiment où aller.

La voiture s'arrête enfin devant un petit café. Zya et les cafés, c'est une grande histoire d'amour je suppose. Peu importe ce que je dis ou ce que je fais, on fini toujours dans un café. Je sors de la voiture et me dirige aussitôt vers la porte où se trouve Marguerite pour la lui ouvrir. Je jette un rapide coup d'oeil vers Zya qui est en train de se mettre du foutu gloss. À ce moment précis, j'ai envie de lui foutre le gloss au fond de la gorge pour qu'elle s'étouffe avec. « T'es pas obligée de mettre du gloss Bella. On va dans un putain de café et y'a pas tes putes et tes enfoirés de potes qui sont là. Range ça sinon j'te le fait bouffer ou je le fais disparaître, t'as l'choix. » Elle finit enfin par sortir et je prends Marguerite par la main pour l'entrainer à l'intérieur du café puis je choisis une place. Bah quoi? Premier entré, premier qui choisit, c'est comme ça la vie. « Une facette... Elle ressemble à toute c'est biatch qui pète plus haut que son cul. Qu'es que tu lui trouve? » Je la regarde dans les yeux et répond tout en m'assisant. Je chuchote à son oreille pour pas que Zya entende : « J'te jure, d'habitude elle est pas comme ça. Elle fait sa garce et j'sais pas pourquoi. » Je hausse les épaules et attends le serveur. On commande tous, sauf Marguerite. Bordel. Je la regarde et elle fixe le sol, je pose ma main contre son dos et lui souris, mais elle ne me le rend pas. Je me lève d'un bond, même si Zya me regarde comme si j'avais soudainement un nez de clown qui serait apparut sur mon visage.

Je vais à la caisse et commande une limonade avec sirop au caramel pour Marguerite. Elle est bizarre, son truc il est goûte la merde, mais elle adore et je le sais. La serveuse me regarde étrangement aussi. Je soupire et prend la limonade puis lui demande de me donner le sirop au caramel. J'en mets un peu dedans, mélange le tout et dessine un smiley qui sourie sur le dessus de la boisson. Je retourne vers la table et donne la limonade à Marguerite en souriant. Bien sûr, j'ai droit à Zya qui me regarde comme si j'étais devenu fou ou je ne sais plus trop. Mon bonheur double lorsque je vois Marguerite prendre une gorgée avec un sourire en coin. Je me rassois et les regarde. « Alors... il est où le chat qui a bouffé vos langues? Parce que j'vous jure que j'le rattrape et que j'le tue! »

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Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule. ▷ feat Lucky&Marguerite La jalousie ça va finir par te tuer et t'es encore trop dans tes magouilles, tes coups vicieux pour t'en rendre compte, mais pourtant c'est cette jalousie qui te pousse a agir comme une vraie conne, cette jalousie t'empoisonne et te brouille complètement le cerveau. M'enfin, tu ne peux pas t'empêcher d'agir comme tu le fais tu t'es tellement mis dans le rôle pour te faire apprécier qu'aujourd'hui, t'arrives plus à t'en dissocier de façon adéquate. T'éclates de rire lorsqu'il te répond face à ta plaisanterie, t'adores le sens de sa répartie et de toute façon, il a raison le petit si les pays étaient constitués que de femmes ça se terminait probablement en engueulades extrêmes ou encore avec des bruits de portes qui claquent. Bref, tu prends le temps de te refaire une beauté avant de sortir, parce que t'as envie de le faire mais aussi parce que ça fait partie du "personnage" que t'as bâti avec le temps et qui est devenue toi. Lucky prend la peine de te lancer une remarque et tu fais mine de ne pas l'avoir entendu prenant le soin de terminer ce que tu fais, puis tu finis par lui faire un doigt d'honneur en signe de réponse et tu sors de la bagnole les suivant dans le café. T'as l'impression d'être la troisième roue du carrosse ou encore celle qui tient la chandelle de ce petit couple plus que gnian gnian et ça te donne envie de vomir. Puis tu t'avances à une table constatant par le fait même qu'en s'asseyant Lucky murmure un truc à l'oreille de l'autre, ça te fait bouillir à l'intérieur et tu ne peux pas t'empêcher d'arquer un sourcil durant quelque secondes et tu finis par poser tes fesses sur la banquette devant eux. Tu passes ta commande habituelle un latté avec de la poudre de cacao sur le dessus et tu constates que Marguerite fixe le sol pendant que vous passez votre commande, aussitôt Lucky pose une main rassurante sur elle et tu réalises qu'elle te fait royalement chier celle-là en prenant ses airs de victime à tout moment, tu te retiens pour ne pas lâcher un commentaire déplaisant de toute façon le moment n'est pas encore venu. Soudainement, tu vois Lucky se lever d'un bon et se diriger au comptoir pour commander un breuvage et tes yeux se posent sur lui et la dame qui travaille au comptoir et t'entends la commande qu'il passe, et t'arques un sourcil c'est quoi ce breuvage de merde? Tu fixes Lucky comme s'il provenait d'une autre planète complètement et tu réalises qu'ils se connaissent vachement bien, un truc est présent entre ces deux là et t'as l'impression que c'est indestructible. Tes yeux se posent sur ton sac et tu te rappelles de l'élément précieux qui se cache à l'intérieur, cette bombe qui n'attend que toi pour exploser. Soudainement, tu relèves les yeux et Lucky a brisé le silence en demandant si un chat a mangé vos langues, tu lâches un rire et t'arques un sourcil laissant entrevoir un sourire amusé et tu fais passer ta langue sur tes lèvres et un goût de cerise se mélange dans ta bouche puis t'annonces; « T'inquiète, ma langue est toujours là.» T'affiches un sourire plus prononcé et tu finis par détacher tes yeux de Lucky les posant sur Marguerite qui elle semble concentrer à boire cette boisson étrange. « Par contre ta copine, elle semble vouloir jouer le silence radio.» T'hausses les épaules et t'annonces; « Pourtant, je mords pas.» Un silence s'installe et tu reprends en rapportant tes yeux sur le jeune homme; « Pas vrai Rodgers?» Tu te cales un peu dans ta banquette et tu jettes un coup d'oeil à ta droite espérant recevoir ton breuvage bientôt comme ça tu pourras concentrer ton regard dessus et ça t'empêchera de voir les petits gestes affectueux qu'il n'arrête pas de lui faire et qui te rendent dingues.

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«Le passé revient toujours te foutre une baffe dans la gueule»

Feat Lucky & Zya

Des bulles, les yeux fixant c'est petites bulles qui venaient disparaître d'un coup à la surface du verre. Des centaines de bulles, plein partout dans le verre. Une belle couleur caramel mettait le verre en valeur, sur le dessus un simple petit smiley qui lui souriait. Alors, d'un coup un petit sourire se dessina doucement sur les lèvres de Marguerite, lorsque son regard effleura celui de Lucky, son sourire resta gravé sur son visage. Baissant de nouveau les yeux vers le verre, le corps frissonnant lorsque ces doigts emprisonna le verre glacé. Le goût du caramel l'envahis peu à peu, puis le bruit sec du verre qui vient de déposer sur la table. Le doux regard se posa de nouveau sur Lucky, celui-ci ce plaignait de nouveau que personne ne parle. Un simple haussement d'épaule, Marguerite elle avait rien a dire, rien a faire ici. Puis quelques paroles de Zya, les yeux de Marguerite monta vivement au ciel avant de la fixer. Ces mots étaient trop évident, trop souvent dit, trop provocateur, trop banal. Elle montrait l'image d'une simple gamine qui reprenait les paroles de film pour tenté de les sortir de façon subtile dans une conversation. Marguerite elle en riait au fond d'elle, une nouvelle fille photocopie qu'elle croisait, c'était amusant, ennuyeux par moment mais, amusant. Ses yeux doux et triste se remirent à fixer le verre, les bulles, le caramel, les bulles à nouveaux. C'est fascinant les bulles. C'était une chose qu'elle adorait, ou qu'elle adore encore. Elle en sait trop rien la Marguerite, rien n'est comme avant et pourtant le passé et le présent montre des similitudes. Marguerite elle avait pas réellement changé, c'était surtout le regard qu'elle portait au monde qui avait changer. Le passé était en noir et blanc, toute les images qui passait devant ses yeux ne portaient pas de couleur simplement du noir et un peu de blanc. Et maintenant, peu à peu des couleurs viennent remplacer les couleurs neutres du passé. D'abords des couleurs pastel puis peu à peu doucement de belle couleurs vives
Lucky était une couleur vive, Zya une couleur pastel puis Marguerite elle était en noir et blanc comme avant et comme toujours.
Un simple soupir avant qu'elle ne se laisse lentement tomber sur l'épaule de Lucky, fermant doucement les yeux une fois sa tête reposé sur celle-ci. Les ouvrant quelques secondes après entendant la serveuse arriver avec les commandes. Ses yeux se baladaient à travers la pièce pendant quelques minutes laissant répondre Lucky à la question de la garce. Puis les yeux de la Marguerite se posèrent, de longue minutes, trop longtemps.
Les douces lèvres de Marguerite s'entrouvris pour laisser entendre une question qui passait par la tête de Marguerite. "Pourquoi t'as amené ton sac totalement remplis ici ? T'aurais pu laisser tes cours dans ta bagnole de merde." Relevant les yeux vers Zya, Marguerite voulait savoir si elle était juste conne ou si y'avais un truc super précieux qu'il fallait à tout pris pas qu'elle perde. Marguerite elle ignorait totalement les phrases d'avant, ce qu'on lui disait, elle avait oublié ce qu'on lui avait dit. Elle avait simplement envie de savoir pourquoi une catin comme elle trimbale un énorme sac, ça va pas avec le style de la personne.

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Invité

Décidément, trainer avec Zya et Marguerite, c'est vraiment trop bizarre. Elles se lancent ces regards dont seules les filles sont professionnelles à lancer puis il y a moi, dans le milieu, qui a l'air d'un pauvre con en train de siroter sa boisson. Marguerite, elle, elle ne parle pas. Elle a l'air plutôt heureuse que je lui apporte sa limonade avec son caramel (ouais, elle est zarbi, mais j'touve que c'est ce qui fait son charme.) Zya, elle se la joue mode grosse garce parce qu'après tout... c'est tout ce qu'elle sait faire. La pauvre, elle croit que c'est comme ça que les personnes vont l'aimer, si seulement elle savait. « T'inquiète, ma langue est toujours là. » J'éclate de rire. Putain, c'que j'ai pensé dans le mauvais sens. J'veux dire, c'est pas que j'aie un esprit pervers, mais franchement! Je pose ma main contre ma bouche et j'essaie d'arrêter de rire, mais rien y fait. Je repose mes yeux sur Zya qui me regarde comme si j'étais redevenu fou. « Non, mais j'veux dire... c'est trop louche c'que t'as dit Bella. » Je pose mon regard sur Marguerite qui continue de boire son truc et Zya lance au même moment : « Par contre ta copine, elle semble vouloir jouer le silence radio. » Je fronce les sourcils en la dévisageant très clairement. « À vrai dire on est pas... » Bien sûr, pour faire changement, Zya me coupe la parole pour enchaîner. « Pourtant, je mords pas. Pas vrai Rodgers?? » Je soupire longuement. « Comme j'essayais de dire, c'est pas ma petite copine. On est seulement potes même si tu peux la trouver bizarre. Mais tu vois, plusieurs personnes te trouvent carrément garce, mais moi, je t'aime pareil Bella. »

Je regarde mes deux amies tour à tour et je réalise que j'ai trop parlé. « Arf... peu importe. Bella, elle mord pas. » Marguerite pose sa tête contre mon épaule et je ne peux empêcher un léger sourire faire surface. « Pourquoi t'as amené ton sac totalement remplis ici ? T'aurais pu laisser tes cours dans ta bagnole de merde. » J'étouffe un rire parce que connaissant le caractère de Zya, Marguerite va se faire enterrer vivante si elle continue. Je lui donne un léger coup de coude pour qu'elle puisse comprendre. Zya, elle est garce, mais si on l'insulte ou qu'on insulte ses trucs, c'est encore pire. Elle explose. « Fais pas attention Bella, sors pas les griffes! » J'essaie de rire légèrement, mais j'y arrive pas. C'est vraiment trop bizarre. Je sens que ça va finir en bagarre et franchement, ça ne me plait pas trop. Je me décolle de Marguerite et avale difficilement ma salive en grattant le derrière de ma tête. Je donne un léger coup sur la table en souriant. « Qu'est-ce que vous voulez faire à part vous envoyer des pics? Je peux faire l'arbitre, la gagnante aura ce qu'elle veut! » Bah quoi? Tant qu'à mettre du piquant dans ma journée... mettons le paquet au complet!

Spoiler:

» If you’re enough lucky to be Irish...You’re lucky enough!
» HORS SÉRIE ✤ vivre dans le passé ne parviendra qu'à te foutre en l'air.
» Un ami te ramasse toujours quand tu tombes, après s'être royalement foutu de ta gueule
» si quelqu'un te brise le coeur, pète lui la gueule, nan sérieusement, pète lui la gueule et vas t'prendre une glace (brandon)
» smoke & drive Δ feat noah