J’aurais bien voulu coucher avec toi mais, ta sœur à étais plus rapide !
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Sujet: J’aurais bien voulu coucher avec toi mais, ta sœur à étais plus rapide ! Lun 13 Juil - 19:38
J'aurais bien voulu coucher avec toi mais, ta sœur à était plus rapide
Freddie & Cook
" Faites l’amour pas la guerre " disait le slogan. C’est sans doute ce que je balancerais à la gueule de Freddie lorsqu’il me hurlera dessus. Il faut dire que cela faisait bien quelques mois que sa sœur me tournait autour en mettant sa poitrine en avant. Lorsqu’on cherche le loup, on finit par en voir la queue non ?! C’est ce qui c’est passer il y a un instant, la belle Karen, à finit par avoir ce qu’elle attendait de ma part. J’avais toujours promis à Freddie que sa sœur rentrerais dans ma longue liste des files avec qui je coucherais avant de mourir, de plus je lui avais toujours dit que comme c’était sa sœur je ferais une exception et que je lui ferais l’amour en la traitant comme une princesse. Ce que je n’ai pas fait mais, elle pouvait s’estimer heureuse car je ne l’avais pas abandonner lâchement dans sa chambre à coucher comme une veille chaussette après l’acte. Au contraire, je l’avais pris dans mes bras et lui avait même laissé le droit de se coucher quelques seconde sur mon épaules. Freddie étant mon pote de toujours, elle avait droit à deux, trois attentions « romantiques » de ma part.
Comment c’était avecla petite Mcclair au lit vous demandez vous ? C’était beau, c’était magnifique, apocalyptique ! J’ai adoré passer du temps avec elle. La sœur de Freddie est un putain de bon coup ! Je la félicite ainsi que son frère car sans lui je n’aurais pas connu sa sœur. Et sans sa sœur je n’aurais pas pu tirer mon coup ! Donc finalement bénit sois la famille Mcclair, dieu les as doté d’une incroyable force physique est spécialement les femmes de cette famille. Car j’étais certains que sa sœur devait hériter ça de sa chère maman. Quoi qu’il en soit après cet effort surhumain accompli j’étais totalement explosé, je suis exténuer. Je pense avoir bien mérité un bon petit encas, voilà donc pourquoi j’avais la tête placer entre les deux portes du frigo à scruter attentivement ce qu’il pouvait y avoir de bon à l’intérieur… Rien de bien bon, ce qui veut dire dans mon langage : il n’y a pas de bière, ce frigo est nul à chier. Je m’étais donc résigner à boire d’un trait le fond de la bouteille de lait qu’il y avait au frais.
Un claquement de porte violent me fait sursauter brusquement, la bouteille de lait que je tiens glisse d’entre mes mains et la reste de son contenue ce renverse sur mon torse encore transpirant ainsi que sur le sol. Plusieurs questions trottaient dans mon cerveau, ce qui faisait barrage aux conneries auquel j’avais en tête. Cela donne un coup d’électrochoc à mon cerveau déjà bien déranger. J’espérais que ça ne soit pas son père qui étais rentré par surprises et qui me surprendra en caleçon. J’avais déjà subit la colère de son père une fois déjà après avoir embarqué son fiston dans une grosse embrouille et je me souviens encore de toute sa colère explosé sur moi et croyait moi je n’avais aucune envie de la subir une fois encore. Mais, que diras-t-il quand il trouvera sa fille à poil dans sa chambre et moi en caleçon ?! Je ne veux même pas me l’imaginer !
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