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 when you're front of me i know how i feel for you. (adight)

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MessageSujet: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyVen 4 Juil - 21:16


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 



La famille ou leurs idées à la con. Non mais franchement, putain ils sont abrutis. J'ai beau avoir protesté auprès de ma mère pendant plus de deux heures rien à faire, elle me force. Parfois je me dis que d'elle ou papa, c'est elle la pire. Le seul avantage qu'elle a c'est qu'elle ne me frappe pas parce qu'elle est tout le temps déchirée ou complètement torchée. Mais là franchement c'est le summum. Quelle idée de merde ils ont pu avoir, les Clemenceau sont vraiment tous des timbrés, tous autant qu'ils sont, je sais de qui je tiens hein. Bon ma mère c'est différent, c'est plus Clemenceau son nom de famille, mais là sérieusement je me demande si elle a vraiment divorcé de papa. J'ai du accepter, que faire d'autre de toute façon, elle m'aurait saoulé pendant trois ans et m'aurait tapé une crise à la limite des larmes juste pour me faire craquer et comme elle sait que je ne supporte pas de la voir pleurer, elle en joue. Putain de merde, j'en ai ras le cul. « J'te jure maman, tu vas me le payer. » Maintenant quitte à accepter, autant le faire dans les règles de l'art. Je m'approche de mon armoire et sort le super costard cravate que ma mère m'a acheté, je déteste ça. Mais j'ai pas le choix, elle m'y oblige. Putain de merde fait chier.

Vous vous demandez peut-être ce qui me met dans un tel état ? A la base je devais sortir avec ma copine, à savoir Peyton, cela fait déjà une semaine que l'on profile un bel amour – caché certes mais bel amour – et voilà que ma mère et les parents de mon cousin nous obligent à nous revoir. Tout ça parce qu'apparemment on se parle moins depuis deux ans. Tu m'étonnes. Après le fait qu'on ait couché ensemble et qu'on soit tombés amoureux l'un de l'autre, c'est normal qu'on veuille prendre de la distance. Mais c'est comme ça et c'est tout. Voilà ce qui m'arrive, je vais devoir passer une soirée entière tout seul avec Adonis, nos parents partent en virée tout le week-end et reviennent le lendemain soir, du coup je vais être... seul avec lui. Oh mon dieu, j'en ai marre.

J'attrape ma cravate que j'enfile rapidement avant de filer dans la salle de bain pour me coiffer et me brosser les dents. J'en profite aussi pour raser la barbe naissante que je me suis laissé poussé et regarde l'état de mon dernier tatouage, il a cicatrisé, mais parfois je me demande si c'est correctement fait. Enfin bref, je déteste ma mère, je la hais elle et mon oncle. Putain putain putain. J'attrape mon téléphone et essaye de jouer avec pour me détendre légèrement. Faut que je fume, putain j'ai envie d'un pétard là maintenant tout de suite. Certes fumer une clope devant la daronne ça passe, mais fumer un joint je ne crois pas qu'elle accepterait. Enfin remarque vu ce qu'elle me raconte de sa jeunesse, elle n'était guère mieux que moi.

Je descend au rez de chaussé et j'allume une clope dans la micro-terrasse de la maison. Putain c'est bon de fumer, ça me permet de me déstresser et dieu sait que j'en ai besoin. Je la fume en entier avant d'aller voir ma mère. « Putain c'est vraiment une idée de merde. Maman, j'adore Adonis mais faut que tu te rendes à l'évidence j'ai des potes et je devais voir une amie merde ! » Ce que je veux pas lui dire c'est qu'en fait j'ai baisé avec mon cousin et que je suis tombé amoureux de lui, et pour l'oublier j'suis tombé amoureux d'une meuf avec qui je cache ma relation. Oh putain ma vie est un véritable merdier. « Light t'as vraiment un vocabulaire de charretier.. » Ouais ouais ça ! Je finis par attendre qu'elle se tire et qu'elle aille rejoindre mon oncle et sa tante. Maintenant je dois trouver une façon de ne pas tomber, de ne pas rechuter dans ce piège de merde. Mon téléphone sonne, je regarde qui c'est et quand je vois que c'est Peyton qui m'appelle je ne peux m'empêcher de dire : « Va chier putain j'vais m'envoyer en l'air mon cousin par la faute de ma mère. » Je jette mon portable sur le canapé et je file dans la cuisine pour attraper la bouteille de vodka. J'en vide un bon quart avant de sentir enfin mon cœur reprendre un rythme plutôt normal. Je tiens l'alcool, une chance, par contre quand j'en tiens une bonne, je récupère le plus lentement possible. Une vraie merde ça aussi. Finalement la porte sonne, mon cœur loupe un battement. Merde, il est là. J'essaye de garder contenance, mais c'est plutôt dur, je vais ouvrir et quand je le vois, cette fois-ci je décède sur place. Toujours aussi beau que dans mes souvenirs. Son visage est... quand je vois ses yeux je me sens totalement ailleurs, j'aime regarder la courbe masculine sa mâchoire, la finesse de ses lèvres que je rêve d'embrasser toutes les nuits, la douceur de ses mains sur ma peau. Oh putain merde Light t'es qu'un abruti, arrête ça. C'est après une bonne demi-minute de bug face à lui que je lâche un « Salut. » totalement merdique et que je le laisse entrer chez moi en refermant la porte derrière nous.


Dernière édition par Light S. Clemenceau le Mar 19 Aoû - 9:32, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMar 8 Juil - 21:32

Mon regard se pose sur la ville qui s’étend en face moi, une clope au bec je regarde cette ville que j’aime temps depuis mon balcon. La clope quitte ma bouche puis s’écrase dans le cendrier et je recrache ma dernière bouffée de nicotine et un soupire franchis mes lèvres… Je n’ai pas envie d’y aller, je ne veux pas y aller. Être seul avec LUI n’était pas une bonne idée, c’était même suicidaire d’autant plus qu’un pauvre abruti m’a laissé en plan hier soir. Ce type m’avait chauffé toute la soirée et puis il s’est tiré en me lançant seul et frustré. Ce type, dont je ne me souviens du nom, n’a pas intérêt à recroiser mon chemin sinon il goutera de ma vergence… Mais ce n’est pas le moment de penser à cet abruti dans à peine une heure, je serais sur le chemin qui me mènerait à la pire soirée de toute la semaine. Je finis par rentrer dans ma chambre lorsque j’entendis ma mère râler qu’ils font être en retard si je ne me dépêchais pas de me préparer… Un nouveau soupire s’échappe des mes lèvres, ils allaient sérieusement entendre que je sois parti pour quitter la maison en même temps j’avais tellement essayé d’annuler cette soirée. Vous vous demandez pourquoi m’obligeaient-ils à aller à cette soirée ? Cette soirée c’est leur idée, quand je dis leur idée j’entends par là que c’est l’idée de mes parents et de ma tante, et ça parce qu’ils ont remarqué qu’il y avait quelques tensions entre moi et Light. Depuis deux ans, ma mère avait tenté me cuisiner pour savoir ce qui n’allait pas entre mon cousin et moi, qu’est qui avait fait qu’on était devenus si froids. Un jour, elle avait même évoqué la possibilité que c’était une fille qui nous séparait comme ça. Si seulement elle savait la vérité, si seulement elle savait…
Pour cette foutue nuit, j’avais bien essayé de négocier. J’ai tout essayé en passant par les devoirs à faire aux amis à voir. J’avais bien tout tenté sauf leur dire la vérité, mais on ne peut pas annoncer à ses parents qu’on ne veut pas voir son cousin parce qu’on a couché avec lui et qu’on est tombé amoureux… Je ne peux pas leur dire, je ne peux même pas évoquer le fait que j’aime les hommes avec mes parents, ils ne sont pas comme ma tante, ils me tueraient sur place s’il savait ce que je faisais avec les hommes. Bref, je dirige vers la salle de bain et entre dans la douche après avoir quitté mes vêtements. Je ne sais pas combien de temps, je suis resté sous cette foutue douche brulante, mais putain, qu’est que ça faisait un bien fou ! J’aurais bien voulu rester encore des heures sous l’eau, mais une fois plus j’entendis la voix de ma mère qui me ramenait à la réalité. Je sors de la douche puis de la salle de bain une serviette autour de la taille, et me plante devant mon armoire… C’était quoi cette idée stupide qu’ils ont eue : nous obliger à nous habiller sur notre trente-un et puis quoi encore, ils ne veulent pas non plus qu’on s’offre des fleurs pendant qu’on y ait. Je secoue la tête, au fond ça ne me déplairait pas qu’il m’offre des fleurs. Merde pourquoi je pense à ça, moi ! Je suis quand même un peu con ! Je secoue la tête et revêtis mon costard, j’oublie volontairement de mettre ma cravate, je sens que ça va gueuler en bas, mais je m’en fiche. Un petit coup de parfum, je me coiffe lorsque je croise mon reflet dans la glace, je repose brutalement mon peigne. Pourquoi je m’obstine à être présentable et séduisant face à Light ? Surement parce que je l’aime, merde pourquoi, je pense à ça, moi. Je n’ai pas le droit de l’aimer ! Je quitte la salle de bain et descends, alors que je mets mes chaussures « Pourquoi tu fais une tête enterrement, et tu n’aurais pas oublié ta cravate ? » « Je te l’ai déjà dit, j’avais une soirée avec MES amis » Mensonge, et encore des mensonges, mais je devais me justifier. « Et puis, je n’aime pas porté des cravates, tu devrais le savoir depuis le temps » J’attrape mon portable et mes clés, je ne laisse le temps à ma mère de répondre je claque la porte d’entrée.

Dehors il fait frais et mes cheveux sont encore humides, mais je m’en fiche j’ai besoins de marché. J’ai beau marcher, mais je n’arrive pas à calmer mes nerfs, alors je sors un joint déjà roulé et je l’allume. Chaque bouffé me détend, et me fait un bien fou… Je me retrouve bien trop vite devant cette foutue porte. J’ai envie de fuir, je tremble, mon cœur bat trop rapidement. Merdre, merde et remerde ! Ma main se pose sur la sonnette, je tremble, mais je finis par sonner. Mon regard fixe cette porte qui s’ouvre doucement, puis se pose sur Light. Je ne peux pas m’empêcher de laisser mon regard parcourir son corps. Je mords la lèvre, il est toujours aussi séduisant et mon corps bat toujours aussi vite. Sa voix me fit sursauter « Salut ». Je le suis à l’intérieur dans la maison, je quitte mes chaussures puis je me laisse tomber sur le canapé, je ne l’ai toujours pas regardé. Je ne peux pas lever mes yeux sur cet homme, mes mains redessinent les coutures du canapé et après plusieurs minutes de silence je finis par lâcher « Tu veux faire quoi ? »
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMar 8 Juil - 22:39


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 



Quand on parle d'amour, on doit distinguer trois formes fondamentales de ce sentiment si particulier et si ravageur. Il y a l’'amour familial, l'amour amical et le véritable amour. C'est cette douleur-là qui est la pire. Quand elle vous prend au ventre... Vous terrorise par son intensité. Puis peu à peu elle devient contagieuse, elle voyage vers votre cœur et l'emprisonne dans sa cage appelée amour. Puis petit à petit le tout part vers votre tête. Une tonne de scénarios s'offrent à vous, vous tuent parce qu'aucun d'eux n'est envisageable. Puis peu à peu vous vous y habituez même si cette petite boule au ventre persiste. Ce mutisme subit que vous avez en la voyant et que vous vous avez lorsque vous vous apprêtez à lui parler est agaçant, il vous énerve parce que pourrez mourir pour la personne à qui vous voulez dire ces mots. Vos doigts qui tremblent dès que vous le frôlez qu'il y ait des vêtements ou non ne change rien. Ces rêves où il est, qui se transforment en cauchemars lorsque vous vous réveillez et vous vous dites que ne vous êtes pas avec lui. Les larmes qui vous montent aux yeux lorsqu'il est trop proche d'une autre personne, ou même quand ils se posent sur son corps que vous appréciez tellement. Tout cela ne trompe pas, il n'a jamais trompé. En fait c'est ce que l'on appelle l'amour. Le vrai. Celui que tout le monde recherche. Celui qui fait du bien mais en même temps vous détruit de l'intérieur. Celui dont la douleur est insupportable mais qui vous donne un sourire niais quand vous vous imaginez à ses côtés dans la vie de tous les jours.

Et merde voilà que ça commence. J’hésite, je ne sais plus, je ne veux plus savoir, et je suis de nouveau paumé. Gill, pourquoi tu ne m’as pas préparé à cette hypothèse-là ? J’aurais dû le rayer de ma vie, dire à ma mère que je ne voulais plus jamais le voir parce qu’on s’est embrouillés pour une fille ou quelque chose dans ce genre-ci. Mais non je n’ai pas pu parce qu’au fond il y a quelque chose qui me rattache à lui. Une sorte de lien noué autour de nos deux poignets qui nous force à rester toujours l’un près de l’autre. « Salut. » Sa voix, s’il savait combien j’en rêve tous les soirs, s’il savait combien de fois j’ai espéré qu’il me dise les trois mots magiques qui scelleraient tout notre futur. Putain de merde qu’est-ce que j’en ai marre. Il s’est mis pieds-nus, un peu comme s’il était chez lui, ce qui est le cas en fait, parce que même si son père est le jumeau de mon père, ma mère continue à les fréquenter, parce que c’est toujours notre famille au fond. J’arrête pas de penser à des trucs pourris depuis tout à l’heure, tant et si bien que je vais finir par m’embrouiller tout seul et ne pas réagir à grand-chose. Lui ne m’a toujours pas regardé, moi si, et j’ai remarqué que lui aussi était en costard, un truc commun que nos parents nous ont imposé. Merde quoi, je suis persuadé que ma mère a bien attendu pas loin de la maison qu’Adonis soit bien rentré. Limite je pourrais le foutre à la porte, là maintenant. Ce serait beaucoup plus simple, mais j’en ai pas le droit, puis je ne le ferais pas.

Il s’installe sur le canapé et commence à partir dans son truc bizarre de suivre les lignes, je le vois souvent faire ce genre de geste sur n’importe quoi, c’est chelou, mais son délire alors je le laisse dedans. « Tu veux faire quoi ? » Euh je sais pas vraiment, étant donné que c’est le bordel dans ma tête, essayer de trouver quelque chose à faire c’est quasiment mission impossible. Du coup je ne sais pas et mon regard est dans le vide, surtout évite de le regarder, lui a compris que c’était pas bon et que ça faisait ressortir de mauvaises choses. Et merde quoi c’est pas comme si t’étais pas déjà en couple Light. Je dois me reprendre. « B… Boire ? » Oh putain, heureusement que j’ai retenu ma langue, j’ai faillis sortir quelque chose d’interdit, ce qu’on s’est promis de ne jamais refaire. Ouais, ouais, j’ai faillis dire baiser. « Boire, fumer, faire les cons, j’en sais rien, autant faire de ce truc imposé par nos vieux une pure soirée. » J’attrape mon paquet de clope qui est dans ma poche, le jette sur la table, et file dans la cuisine chercher la bouteille de vodka, celle de whisky et un peu d’eau de vie avant de monter dans ma chambre et d’attraper de quoi se rouler quelques joints avant de tout descendre sur la table et m’asseoir par terre en tailleur. Ouais, je ne veux pas être à côté de lui, c’est con mais j’ai peur de ne pas savoir me contrôler en sa présence. « Sauf si monsieur a peur de finir la tête dans la cuvette. » Bon un peu de provocation ça ne fera pas de mal, et peut-être qu’il me regardera là au moins.


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Dernière édition par Light S. Clemenceau le Mar 19 Aoû - 9:32, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyJeu 10 Juil - 19:15


Je me trouve devant la maison de Light, le cœur battant trop vite, le ventre en vrac et les mains moites. Il serait bien plus sage de faire demi-tour, de fuir à toute jambe et de retourner m’enfermer dans ma chambre, mais je ne peux pas faire demi-tour, je n’ai pas le droit et surtout je ne veux pas faire demi-tour. Quelque chose de fort me rattache à Light, et cette chose, c’est l’amour et qui m’attire vers lui. Oui, je ne veux pas faire demi-tour, mais en même temps cette soirée me fait peur, j’appréhendais de me retrouver seul face à Light. Je sais que c’est paradoxal, mais j’ai besoin de le voir. Mais est-ce que je serais me contenir, me retenir de ne pas m’emparer de ses lèvres est ce que je résisterais à l’envie de me laisser aller dans ses bras ? Je ne sais pas, mais je l’espère… J’espère que j’arriverais à poser mon regard sur lui sans sentir mon cœur s’accélérer, sans perdre tous mes moyens. Mes doigts presse la sonnette et j’attends, je l’attends. J’entends ses pas derrière la porte, la porte s’ouvre et je ne lance qu’un seul regard juste pour vérifier que c’est bien lui.  Après je fais tout pour éviter de le regarder et surtout son regard, je sais qu’il est séduisant, attirant. J’en avais tellement rêvé et tellement regardé à la dérobé que je connaissais son corps par cœur et je sais qu’un seul regard de trop sur cet homme pouvait me faire craqué. C’était un simple salut distant pour nous deux,  heureusement qu’on est que tous les deux pour ces salutations si froides sinon tout le monde aurait compris qu’il y avait quelque chose entre nous.

Je le suis dans sa maison et quitte mes chaussures. Je fais un peu comme chez moi, en même c’est un peu le cas tout comme c’est le cas pour Light quand il vient chez moi. On a tellement était fourré ensembles depuis notre plus tendre enfance qu’on a pris notre petite habitude chez l’autre. Je me laisse tombé sur le canapé et je commence à suivre les coutures du canapé. C’est un truc que je fais souvent que ça soit sur les coutures des jeans, les lignes sur des motifs de draps, bref un peu tout ce que je trouve… C’est mon truc quand je suis stressé ou mal à l’aise, ça m’aide à me concentrer sur quelque chose d’autre sur ce qui me préoccupe et donc en ce moment ça m’empêchait de penser que l’homme qui hante mes rêves se trouve à quelque mètre de moi et qu’il surement terriblement sexy dans son costard… Je lui demande ce qu’il veut faire, il me répond, mais hésite…Est-ce que c’est simplement parce qu’il mal à l’aise ou est-ce qu’il avait voulu dire autre chose ? Pour moi c’était simplement un petit coup de stress, je n’imagine pas ce qui se passe dans sa petite tête. « . T’as raison autant faire une bonne soirée, mais que pour nous deux  » Un sourire se dessine sur mes lèvres, bien sûr que ça me dit de boire, je suis toujours partant pour une bonne petite cuite, mais ce soir je n’ai pas envie d’avoir trop de monde autour de moi . Je fouille dans mes poches pour en ressortit mon paquet et de clope et ma petite boite qui contient quelques petites pilules magiques et tout mon matos pour nous roulé quelques joints… Je lève mes yeux vers lui à sa provocation, je reste un moment à l’observer « Je croyais que tu me connaissais mieux que ça » J’attrape la bouteille de Vodka et j’en bois deux grandes gorgées avant de la reposé sur la table… Je réponds à sa provocation, mais il faut que je me gaffe. J’aime boire,  je bois beaucoup je tiens plutôt bien l’alcool, mais malheureuse moi je tiens moins bien que Light. Moi ivre et seul avec Light ce n’est pas une bonne idée, mais alors pas du tout pourtant j’ai envie de jouer un peu avec le feu ce soir… Mon regard se pose sur Light, une nouvelle fois et je souris… « Ça te dit un petit jeu vidéo, le gagnant choisit ce que le perdant boit ? »

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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyJeu 10 Juil - 22:07


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 



Je ne sais pas vraiment quoi faire pour tenter d'arrêter de penser à tout ce que je ressens pour lui. Quoi que je fasse, tout me ramène à lui. La nuit quand je ferme les paupières c'est son visage que je vois. Quand certains utilisent les mêmes expressions que lui, je sens les larmes me monter aux yeux. Il y a trop de choses qui font qu'il est bien trop important dans ma vie, bien plus qu'un simple cousin ne devrait l'être. Non finalement je sais que je l'aime, malgré le fait que je sois avec Peyton, et j'ai peur de cela, j'ai peur de faire du mal à des gens, j'ai peur de me faire du mal à moi également. J'ai peur de trop de choses, peut-être que je devrais arrêter mais comment ? On ne peut pas, c'est impossible. Finalement peut-être que boire est la solution, peut-être que je vais réussir à oublier tout ce que je ressens, ou peut-être que ça risque de rendre les choses encore plus compliquées. Ma vie est un beau merdier. Mais tant pis, j'ai proposé, alors on le fera. J'ai envie de m'amuser au moins, et peut-être qu'une soirée arrangera tout. Enfin remarque avec des peut-être on referait un monde bien meilleur.

Je dois cependant admettre que j’ai la trouille de briser ma promesse, rien que cela me donne envie de ne pas faire cette soirée avec lui. Mais mon esprit fêtard me dit de continuer, peu importe les conséquences, peu importe ce qui arrivera, je vais faire cette petite fête avec lui. Puis on dit que quand on est bourré ou défoncé ou les deux en même temps, la vérité explose, alors pourquoi pas, ce ne peut pas forcément être mauvais. « T’as raison autant faire une bonne soirée, mais que pour nous deux. » Pourquoi que nous deux ? Aurait-il envie de me dire quelque chose ? Je commence à avoir peur et cela se ressent nettement, mon regard se voile, mes doigts tremblent et mon cœur accélère, par pitié Adonis, pas de bêtises. Et quand il sort son matos, toutes mes interrogations s’évanouissent, on va s’amuser et tant pis. Puis il me regarde enfin, et ses yeux d’un bleu océan me perdent, je m’isole dans ce monde que j’apprécie tant, dans cette étendue bleutée qui me hante tant depuis des lustres. « Je croyais que tu me connaissais mieux que ça. » Oh que oui je le connais. Je sais très bien qu’il tient bien, mais moins bien que moi, j’ai du passif, beaucoup plus que lui, même si j’ai entendu dire qu’Adonis aime bien se mettre la tête à l’envers ces derniers temps. Mais le connaissant, je sais qu’il va vouloir jouer un petit peu avant qu’on soit totalement « mal » parce que c’est mon cousin et je sais exactement comment il est, je le connais mieux que je me connais moi au final. « Ça te dit un petit jeu vidéo, le gagnant choisit ce que le perdant boit ? » Je serre les dents, quelle injustice, il sait très bien que je suis nul aux jeux vidéo, et que de ce fait il va me mettre une rouste immédiatement. Il faut dire que j’ai pas le temps de jouer vu que je ne suis jamais chez moi. « T’es dégueulasse, tu sais que je suis une merde aux jeux ! » Je secoue la tête d’un air rageur mais soit, tant pis, je serais dans bien pire état avant lui, mais il va falloir que je sache me concentrer pour ne pas partir de suite.

J’allume la télévision et démarre le jeu, un jeu de combat en mode l’un contre l’autre genre un bon Taken. J’attrape la bouteille de vodka et en vide trois bonne gorgées avant de me rouler un bon joint, parce qu’il n’y a que cela de bon, c’est ce qu’il y a de meilleur quand on veut se mettre bien. Une fois mon pilon terminé et la weed bien équilibrée dans mon petit bébé, je l’allume et tire longuement dessus. « Bon, choisis ton personnage et prépare toi à prendre une raclée. » Je fais genre de lui parler alors que je sais très bien que tout cela n’est que pour moi, c’est moi qui vais boire en premier et connaissait Adonis il me fera boire les pires mélanges. Je lui jette un coup d’œil et c’est parti, je me prends à dériver sur sa jugulaire, où je rêve de poser mes lèvres ou mes doigts, ma langue également. Oh non Light, arrête ça immédiatement.


Dernière édition par Light S. Clemenceau le Mar 19 Aoû - 9:32, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyLun 14 Juil - 20:25


Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire ça, je ne me suis pas rendu compte du sens que pouvait avoir ma phrase, mais lorsque j’ai vu la réaction de Light j’ai pris peur, j’ai compris le sens que pouvait avoir ma phrase et j’ai aussi prit peur. Peur de ce qui pouvait se passer pendant cette soirée parce que je veux une petite soirée entre nous deux. Peut-être que ça cache autre chose ? Oui,  bien sûr que ce désir de ne passer la soirée rien avec lui cache quelque chose, mais je ne veux pas y penser ou plutôt j’ai peur d’y penser ! Parce que oui j’ai envie d’être avec lui, j’ai envie de ses lèvres qui me murmuraient les trois mots interdits, mais justement c’est interdit.  Pourtant son rire, merde son putain sourire est tellement craquant. Son rire me fait chaviré à chaque fois que l’entends, mon cœur fait un bon et je me retour à chaque fois que j’ai l’impression de l’entendre. Je ferme les yeux et soupire… Putain, il ne faut pas que je pense à lui, à ses lèvres, à ses yeux et son corps. J’ai besoin d’un peu d’alcool alors pour répondre à sa provocation, je bois deux grandes gorgées de Vodka et je lui propose un petit jeu… Un petit jeu vidéo de combat et celui qui perd doit boire les cocktails donnés par le gagnant. Je le vois rager et je ne peux pas m’empêcher de sourire, je sais que suis plus fort que lui au jeu vidéo et en même temps j’ai toujours énormément joué au grand désarroi des mes parents. Je sais que c’est pas très réglo de lui proposé de ça, mais ce que partis remis, je suis sûr qu’il trouva un truc pour se venger… Ce soir, je veux m’amuser, mais avec un seul mot d’ordre ne pas craquer même si je suis ivre mort. Mon regard se pose sur mon cousin, je le laisse courir sur son cou puis ses bras jusqu'à ses mains qui s’occupe de préparer joint et de nouveau je ferme les yeux, avant de sourire et lancer dans un demi-rire. « Faut bien je te donne un peu d’avance ».  J’essaie de faire un peu d’humeur de détendre l’atmosphère, je me rapproche de la télé et donc de Light. Je suis maintenant juste à côté de lui et son parfum me chatouille les narines et me donne envie d’enfouir mon nez dans son cou. Oh non, il ne faut pas penser à ça, il faut que j’arrête ça… J’attrape la manette et je me concentre sur la télé « Ah ouais, c’est ce qu’on va voir … Pour te faciliter la tache, je prends un que je ne maitrise pas » Le combat commence, je teste quelque combinaison et très rapidement je prends le dessus, je me concentre sur la télé et le combat et pas sur Light qui a une petite cinquante de centimètre de moi… Bref, je finis par gagner… Un petit sourire joueur se dessine sur mes lèvres, oui j’ai envie de m’amuser un peu, de jouer avec les limites. Je sais que c’est dangereux et que je vais me bruler les doigts, mais je ne peux m’empêcher… Je disparais à la cuisine pour apporter un grand verre et une brique de jus de fruit« Prêt pour ton cocktail ? » Je mets une bonne dose de Vodka, je rajoute un peu Whisky et un fond de jus de fruit pour adoucir le dos… Je lui tends le verre, et mes doigts frôlent les siens quand il l’attrape, je frissonne rien qu’en les sentant… Ça fait trop longtemps que je n’avais pas approche de si prêt Light, que rien que frottement me fais frissonner de la tête aux pieds et ce n’est pas cool. Merde, ça, c’est pas bon du tout, instinctivement je me recule et je rassois dans mon canapé « Une revanche ou autre chose à me propose ? »
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyLun 14 Juil - 21:21


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 


En fait j'ai toujours eu ce besoin de braver l'interdit. Dans la société actuelle, l’interdit attire énormément de monde. Les règles si elles existent c’est parce qu’elles sont faites pour être brisées par quelqu’un, un jour où l’autre. Les mineurs qui fument alors que c’est interdit, en voilà un bon exemple, pourquoi le font-ils ? Parce que c’est classe certes, mais au fond c’est parce qu’on a appliqué une règle et que du coup ils se sentent puissants en la brisant. Cet interdit est quelque chose d’intense, quand on y est confronté, il est dur d’y résister, de faire en sorte de respecter les règlements imposées par nos mœurs. Celui qui dit ne jamais avoir été tenté est un menteur. Je ne parle pas de l’avoir fait, certaines personnes sont strictes envers eux-mêmes, mais ne serait-ce qu’avoir eu envie de le faire, chaque être humain a forcément été confronté à ce genre de problèmes qui n’en est pas un finalement. Je ne vais pas faire dans l’inédit, j’ai souvent transgressé les règlements, j’ai fait le mur, fumé avant l’âge, me suis pris des cuites monumentales, et j’en passe. Mais le plus gros interdit, c'est lui, il faut l'admettre, et j'ai toujours du mal à le faire.

Un fucking jeu vidéo. Sérieusement, je sais déjà que je vais prendre ma cuite avant lui, malheureusement je sais qu'il tient beaucoup moins bien que moi, de ce fait je vais avoir juste un peu d'avance. «Ah ouais, c’est ce qu’on va voir… Pour te faciliter la tâche, je prends un que je ne maîtrise pas. » Trop aimable. Avant de commencer le jeu, je tire une énorme taffe de mon pétard avant de le mettre dans le cendrier et de recracher la fumée par la bouche. Je sais déjà que je vais me faire laminer. Putain il abuse, déjà d'entrée de jeu, je ne peux même pas bouger car son personnage défonce déjà le mien. J'ai beau bourriner comme un malade sur les touches, rien n'y fait il va me niquer vite fait bien fait. Plus ma vie baisse, plus mon visage se décompose. Je sais très bien qu’il va me faire un truc dégueulasse imbuvable qui va bien me défoncer la gueule en un verre. Mais bon, c’est le jeu ma pauvre Lucette. Et merde, j’ai perdu. «Prêt pour ton cocktail ? » Je me prépare au pire là, tandis qu’il se dirige dans la cuisine pour aller me chercher de quoi faire son mélange, je tire encore sur mon pétard. J’ai peur, peur de tout ce qui pourrait se passer. Peur de tromper Peyton, peur de mon prochain verre. Peur de l’aimer lui. Et quand il revient, je vois ce qu’il met dans mon verre et désespère. Une bonne dose de vodka, digne d’un cow-boy avec du whisky, la même dose et du jus de fruit pour amortir le goût. Ça sent pas bon, j’vais finir mort en moins de deux s’il fait ça. Quand il me tend mon verre, nos doigts se frôlent et boum c’est l’érection directe. Heureusement que je suis assis en tailleur et un coussin sur moi, sinon ça ne l’afficherait pas vraiment. «Une revanche ou autre chose à me proposer ? » Une revanche ? Non je ne suis pas masochiste, je vais lui faire faire autre chose. Quelque chose qui risque de me faire rire et de le faire boire en plus.

Un peu de courage et j’apporte le verre à mes lèvres et fait un cul sec avec son truc dégueulasse. La grimace de dégoût et de douleur qui en sort en dit long. J’ai la gorge en feu et ça me pique. « Putain, c’est affreux, t’es un enfoiré Adonis ! » Je me dépêche de prendre la bouteille de jus de fruit et bois au goulot pour faire passer le goût immonde que j’ai en bouche et pour faire passer la fournaise qui me sert de gorge. Je secoue la tête avant de tenter de reprendre un minimum contenance. Je passe pour un gros naze qui sait pas boire. « Moi je te fais un gage, tu prends le pétard et tire dessus pendant dix secondes sans t’arrêter, si tu tousses, à moi de te faire boire un truc dont tu te remettras pas. » Tenir dix secondes sur une clope, c’est déjà atroce, alors sur un joint, il va dérouiller. Il m’a lancé un pari où il était sûr de gagner, à mon tour, Adonis va se démonter la gueule et je vais lui en rajouter une louche par-dessus. Il me connaît, moi et les tombeaux, c’est une histoire d’amour. Mettre un peu de tous les alcools que j’ai, un parfait mélange pour se défoncer rapidement. Je tire une dernière taffe sur le pétard avant de le lui passer, voyons voir ce qu’il a dans le ventre, je relâche la fumée vers sa tête juste pour le provoquer un peu.


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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyVen 25 Juil - 20:29

Pendant tout le long du jeu, je n’ai pas pu m’empêcher de jeter des petits coups d’œil en la direction de Light. Je culpabilise un peu quand je vois son visage de décomposer au fur et à mesure que sa vie baisse. Je le bats facilement au jeu vidéo, je l’ai toujours battu parce que contrairement à lui, j’ai toujours aimé y jouer. Alors oui ce n’était pas très fair-play, et même pas du tout, mais j’avais vraiment envie de lui faire un petit cocktail bien chargé… Après tout c’est lui qui avait proposé de transformer cette obligation familiale en pure soirée alors autant qu’il inaugure cette fameuse soirée… Enfin quand je dis obligation familiale, c’est plus compliqué que ça… Certes mes parents m’avaient obligé à venir ici, mais maintenant que je suis là, je n’ai aucune envie de partir, je suis content d’être à côté de Light…Je suis même aux anges d’être ici avec lui, de passer une seule soirée avec lui-même si c’est une soirée qui s’annonce dangereusement tentatrice.. Bref, je lui prépare ce foutu cocktail bien chargé, il faut bien que je lui donne une bonne avance sur l’ivresse parce que je risque très vite de le rattraper… Oui, je ne tiens pas énormément l’alcool et vous ne pouvez pas savoir comment ça me fait chier de finir ivre avant tout le monde chaque soirée. Je lui tend son verre et nos doigts se frôle, un frisson fait vibrer mon corps, mes entrailles se serre…Merde un simple contact, et je suis à la limite d’être excité, je détourne le regard. J’ai honte de ce que viens de ressentir, et je ne veux pas savoir si Light et dans le même état que moi. J’essaie de penser à autre chose et je lui demande s’il veut une revanche ou pas. J’avoue que je lui tends une perche pour qu’il se venge, mais malgré ce qui vient de se passer je crois que j’ai envie de jouer avec feu. Parce que oui, je sais qu’il ne va pas choisir la revanche et qu’il va se venger… Je le connais trop bien pour savoir qu’il va me préparer un truc bien chargé.

Je me laisse aller sur le canapé et le fixe en train de boire… Je souris, « Je sais, mais bon, après c’est pas drôle si je suis bourré avant toi » Je passe ma main dans mes cheveux, tic nerveux, je le sais et Light le sait surement aussi. Il me connaît trop bien pour ne pas l’avoir remarqué. J’attends la suite qui arrive bien vite… 10 secondes sur le joint, il sait que je n’y arriverais pas tout comme je savais qu’il allait perdre. J’attrape le joint, et relève les yeux quand Light recracha la fumée à la figure « Ok, ça marche » Je commence tiré sur le joint, je ne sais pas combien de temps j’ai tenus avant de cracher mes poumons, mais ce n’était pas bien long, en tout cas bien moins que dix secondes… Je tousse recracher la fumée qui me brule la gorge… Je reprends doucement mon souffle savourant mes dernières minutes de lucidité totale, et pose mon regard sur Light en attendant la sentence.
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptySam 26 Juil - 0:55


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 


Moralité, quoi que tu fasses, toute ta vie tourne autour d'un seul mot. Recommencement. Je ne suis pas défaitiste, je ne serais plus de ce monde si c'était le cas. Mais au final, tu te construits, tu fais en sorte de rendre les choses merveilleuses, tu tentes d'atteindre le nirvana en faisant de ton monde le plus beau que tu puises et au final, il y a toujours ce petit quelque chose, ce petit truc qui détruit tout, qui ruine tes projets, qui ruine ta vie, qui fait que tu doives recommencer toujours et encore pour atteindre à nouveau l’éden. A croire que tout est fait exprès, pour que jamais nous nous reposions sur nos lauriers à faire comme si tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil. Non, ce ne sont que foutaises tout cela. Tout va recommencer, c’est toujours pareil, toujours la même chose, parce que je ne peux pas y échapper. J’aimerais bien que tout s’arrête, mais c’est impossible, c’est exactement toujours tout qui se repasse toujours. Il a voulu jouer, j’ai perdu, à mon tour de vouloir jouer. Simplement parce que j’ai ce besoin de revanche, j’ai ce besoin de vouloir m’amuser, comme toujours, j’ai toujours besoin de m’évader avec le jeu, la fête, l’alcool, voire plus. Tout n’est qu’un nouveau recommencement comme tout, j’aime tellement m’amuser que de ce fait je fais tout ce qui est mon pouvoir pour. Je sais que d’ici dix minutes son mélange va me faire des ravages, mélanger whisky et vodka c’est pas bon pour la sobriété. Mais je lui réserve pire, il va partir bien avant moi. La petite idée du joint est une des meilleures que j’ai eu, parce qu’il va partir, je ne sais pas ce qui va se passer après, mais après tout on s’en fou, on est jeunes, il faut en profiter. « Ok, ça marche. » Téméraire le jeune garçon, il aurait dû dire non, il aurait été dans un meilleur état que moi, mais c’est son problème après tout, pas le mien. Je le vois prendre mon pilon, et un sourire amusé apparaît sur mon visage, tout simplement parce que je sais qu’il ne tiendra jamais. Il commence par tirer, et je compte les secondes dans ma tête, comme pour m’assurer du bon déroulement de la chose. Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept… et il tousse.

Je me mets à rire avant de me lever et de prendre un verre propre et de mettre un petit peu de chaque alcool que j’ai dans la maison, donc whisky, vodka, porto, vin, champagne. Un petit tombeau, rien de tel pour se mettre la tête à l’envers. Je reprends mon pétard et je recommence à tirer dessus afin d’aggraver mon état. « A la tienne cow-boy. » Je finis par éteindre le mégot dans le cendrier et quand je me retourne, mes yeux se posent immédiatement sur ses lèvres que j’ai envie d’embrasser depuis deux ans entiers. Deux ans passés à ne désirer que lui. C’est beaucoup trop long. Je commence à m’approcher, petit à petit, mes yeux se mettent à loucher dessus, mais non, c’est mauvais, c’est pas bon, je ne peux pas, je n’ai pas le droit. Je me recule et commence à avoir la tête qui tourne, le cœur qui bat de plus en plus vite. Je dois me reprendre, mais je sais qu’il est trop tard, je me lève et me dirige vers la chaîne hi-fi pour mettre de la musique, et il y a quelque chose, un truc qui me dérange, j’ai chaud, beaucoup trop chaud. Bien trop pour que ça soit normal, je comprends finalement que ça commence, que la soirée va enfin commencer. « J’espère que ça ne te dérange pas. » J’attrape ma cravate que je desserre d’un geste précis et déboutonne les premiers boutons de ma chemise, tout simplement pour tenter d’avoir juste un peu moins chaud, même si je sais parfaitement que c’est totalement inutile.


Dernière édition par Light S. Clemenceau le Mar 19 Aoû - 9:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMer 30 Juil - 16:40


Il me provoque et j’attrape le joint… Je sais très bien que je ne pourrais jamais tenir 10 secondes et que ça me va, m’éclater la gueule, et je vais jouer avec le feu… Je  suis en train joué avec mes limites, et ça ce n’est pas bon vraiment pas bon, mais j’ai envie de le faire. Je sais que ça peut paraitre con voir suicidaire, mais je veux jouer avec ces foutues limites après tout je ne l’ai pas fait beaucoup de fois et jamais en présence de Light… Bref, je tire sur le joint pendant 7 secondes, 7 petites secondes avant de m’étouffer et de cracher mes poumons… Putain, c’est vraiment infecté de tiré aussi longtemps sur un joint. Je prends doucement mon souffle en me laissant aller dans le canapé… Je l’entends rire, et je souris, il a gagné et je sens que sa vengeance va être terrible. Quand, je le vois revenir avec toutes les bouteilles, il n’y a plus de toute  je vais morfler… « Light, c’est vraiment pas cool… Tu sais très bien que je tiendrai jamais à ce rythme », Mais après tout, je l’avais bien cherché c’est moi qui avais commencé, c’est aussi moi qui lui avait tendu la perche pour se venger alors maintenant je n’ai plu qu’a assumé. J’attrape le verre, le fixe quelques secondes avant le boire cul sec… Rah hutin, ce n’est vraiment pas cool comme boisson, je commence à me demander pourquoi je ne lui ai pas dit non ? Après tout c’est mon cousin, je ne serais pas pensé pour un coincé si j’avais refusé…Alors pourquoi, j’ai accepté, je dois tout de même être un peu taré…  Je repose le verre et me retourne vers Light, il est magnifique. Deux longue année que je rêve de lui, mais je ne peux en parler à personne… Tout est magnifique chez lui, et puis son odeur vient me chatouiller les narines et j’ai envie de… Non, putain ne pense pas ça… Je le fixe quelque instant, je n’ose plus bouger lorsqu’il se rapproche. Light ne fait pas connerie s’il te plait ! Ne t’approche pas si près, s’il te plait…  Il finit par s’éloigner et je peux de nouveau respirer. Je reste dans le canapé alors que Light se lève, c’est mieux comme ça. Je préfère qu’il soit loin de moi parce avec ce qu’il vient de se passer je ne suis pas sur que c’est une bonne idée qu’il reste à mes côtés. « Non ça ne me dérange pas ». Je me laisse porter par la musique pendant quelques minutes, je sens que le cocktail joint + le fameux tombeau commence doucement à faire de l’effet.

Je fais l’erreur de poser mon regard sur Light, il a desserré sa cravate et il a défait les premiers boutons de sa chemise… Cette vision était tout simplement sublime, je déglutis difficilement et avant que je m’en rende compte je suis à quelques centimètres de lui, le cœur battant, les mains tremblantes. Je pose ma main sur le col de sa chemise, je me rapproche…Je suis en train vers une connerie, j’en prends soudain conscience… Je suis en train faire une putain de connerie pourtant j’en ai terriblement envié, mais dans un dernier élan de lucide je retire ma main comme si le contact de sa chemise m’avait brulé. « Je… » Merde… Que dire ? Que faire ? J’en sais foutrement rien alors je vais demi-tour et je me saisit de la bouteille de Vodka pour en boire deux gorgée. Je sais que ce n’est pas la bonne solution, mais je m’en fiche… Je veux juste oublier ce que j’étais sur le point de faire… « Je suis désolé… Je sais pas ce qui m’a pris » Je m'assois sur le sol dans un soupire et prend ma tête dans mes main, j'ai merdé ...
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMer 30 Juil - 22:28

Attention, le rp contient des caractères à contenus pornographiques et/ou choquant à partir de maintenant.
musique changée également.


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 


On parle souvent d'excitation, mais souvent on ignore le sens de ce mot. A la base ce mot signifie exercer une action sur un corps afin d'en produire de l'énergie. Cela est toujours véridique quand on regarde les différents usages que l'on a de ce mot. L'excitation produit de la chaleur la plupart du temps, en physique, quand on agite un corps longtemps, il devient plus chaud, dans la vie de tous les jours également et gardons l'idée du corps. Enlevons les préceptes pervers de ce mot, l'excitation n'est pas forcément associé au sexe, on peut-être excité à l'idée de faire quelque chose, dans ce cas on peut également dire que l'on a hâte, ou alors on peut-être excité après un footing de une heure, c'est à dire qu'on est encore prêt à faire la même chose. Après comme toute personne qui aime bien le plaisir charnel, l'excitation est quelque chose qui nous vise à perpétuer les bonnes choses que provoquent le sexe, elle nous pousse à exécuter des choses incroyantes. Plus l'envie est grande, plus l'excitation est forte, elle nous donne un appétit si dévorant que pour y résister il faut savoir se brider. Pour moi, là, maintenant, je crois que je suis en train de décéder tant j’ai envie de lui, tant les mois que j’ai passé sans présence à mes côtés m’ont brimé, et c’est peut-être affreux de dire ça, mais j’ai envie de coucher avec lui pour effacer cette longue souffrance puis après tout ce n'est que parce que je suis mal, n’est-ce pas ?

Le fait que je commence à me déshabiller n’est pas anodin, loin de là, cela signe un arrêt, et un début, l’arrêt de la douleur peut-être et le début d’une nouvelle vie, d’une nouvelle chose qui sera soit plus forte, soit moins. Peut-être même que c’est le début de la fin, je dis peut-être oui au terme de la douleur, mais je sais au fond de moi que cela en apportera d’autres, c’est toujours pareil, quand on faiblit, on souffre, c’est la vie qui est ainsi. « Non ça ne me dérange pas. » De toute façon que ce soit le cas ou pas, c’était strictement pareil, je l’aurais fait de toute manière. Je suis impulsif, j’agis sans réfléchir, tout le monde le sait, je ne fais jamais quelque de chose de correct quand je suis bourré et défoncé, c’est ma philosophie, et rien ni personne ne me fera changer de comportement, sauf peut-être le temps, un jour ou l’autre. Puis il me regarde, et je vois dans ses yeux plusieurs choses, le désir, la gêne et la peur. Pourtant, il s’avance vers moi, sa main se pose sur le col de ma chemise et son visage est proche du mien… Il fait quoi ? On dirait moi il y a quelques instants, ou minutes, je ne sais plus vraiment. Puis d’un coup il se recule et reprend conscience de tout ce qu’il fait, presque déçu, je fais une petite moue de garçon en bas âge. « Je… » Tu ? Il se retourne et ne me regarde même plus, j’en ai marre que tout s’arrête à chaque fois, j’ai envie de lui, autant maintenant que tous les jours, et au diable Peyton. Il attrape la bouteille de vodka et en boit deux longues gorgées avant de la reposer sur la table. Il tente d’oublier, mais ça ne marche jamais malheureusement. « Je suis désolé… Je sais pas ce qui m’a pris… » Moi je le sais et quand je le vois s’asseoir par terre et prendre sa tête dans ses mains, je comprends de suite.

J’ai envie de le réconforter, de lui dire que ce n’est rien, d’être là pour lui, dans les pires comme dans les meilleurs moments, mais c’est interdit, on est cousins après tout, et vouloir de pareilles choses avec un membre de sa famille c’est prohibé par les mœurs en vigueur dans la société actuelle. Mais j’emmerde les autres, je l’aime et c’est ça le plus important. Mais alors que je m’approche, une musique se met en route. Non pas elle. Il sait très bien qu’elle est terriblement aphrodisiaque pour moi. Je commence à partir tout seul et attrape à mon tour la bouteille de vodka pour la finir tout en dansant avec un petit déhanché bien sexy. Je m’approche à mon tour de lui tout en restant à une distance raisonnable, j’essaye de capter son regard tout en retirant ma cravate et je la lâche à mes pieds avant de retirer le reste de ma chemise, bouton par bouton en ayant un regard coquin dardé sur lui. Tant pis, j’en ai rien à foutre des conséquences, je l’aime quoi. Et d’un coup je descends petit à petit et m’arrête près de son visage sans aucune gêne, c’est maintenant que ça doit changer, demain il sera trop tard, et je ne sais pas si j’en aurais le courage. J’attrape son visage entre mes doigts et je dépose mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser sauvagement, j’en avais trop envie, même si au départ je sens une petite résistance, finalement nos langues entre dans la danse, comme si elles suivaient le rythme. Et là je me sens heureux, comme jamais. En temps normal j’aurais pleuré, mais plus maintenant. Je me retire et je le regarde, les yeux pleins d’étoiles, probablement fortement dilatées. Mais on s’en branle. « Je t’aime Donis… Je t’aime depuis deux ans, depuis deux ans je pense qu’à toi, c’est comme si mon putain de monde tournait autour de toi, et que si tu disparaissais j’allais crever. Ça fait mal, mais bordel qu’est-ce que j’aime avoir mal quand c’est pour toi. » C’est là que ça doit changer, demain il sera trop tard, j’avais eu la même pensé quelques temps avant, mais là c’est vrai, c’est puissant. On peut dire que c’est le coup de foudre, moi qui croyais que ça n’existait pas. Et finalement j’arrive et l’embrasse à nouveau, pour sceller définitivement mes paroles.


Dernière édition par Light S. Clemenceau le Mar 19 Aoû - 9:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMar 5 Aoû - 21:21

On dit que l’alcool nous fais faire de truc qu’on n’aurait jamais osé faire, ça nous faire dire ce qu’on a sur le cœur et se sont des trucs qui ne me sont jamais vraiment arrivés sauf ce soir. J’ai commencé craqué, j’ai posé mes mains sur son col et son parfum m’enivre très vite. Sa peau était si tentatrice, je m’étais encore approché de lui quelques centimètres et si je ne m’étais pas retenu j’aurais surement déposé mes lèvres sur les siennes et ça aurait été notre point de retour vers quelque chose que nous ne maitrisions pas… Ce quelque chose serait surement merveilleux, mais aussi terriblement dangereux si quelqu’un venait à le découvrir et tout ça parce des abrutis on dit que ce n’était pas bien d’aimer quelqu’un de la même famille que soi… Oui, c’est contre les mœurs de la société actuelle et ça je ne peux pas le chasser de mon esprit alors j’ai une nouvelle fois culpabilisé, et j’ai but même si ce n’était pas la meilleure chose parce ces quelques gorgées vont me rendre encore plus saoul que je ne le suis déjà. Je m’excuse pour ce que j’ai fait, et je prends ma tête dans mes mains je ne relève les yeux que lorsque je sens mon cousin s’approcher de moi. Je pose mon regard sur lui, il s’approche et une nouvelle musique commence… CETTE musique, il faut que ça soit cette foutue musique qui commence. Oui, je la connais bien, et même trop bien et elle un effet très aphrodisiaque sur Light… Je redoute ce qui va se passer, et pourtant je ne peux pas lâcher Light du regard. Je le vois attraper la bouteille de Vodka et la finir avant de commencer à danser doucement et sensuellement, un foutu frisson parcourt mon dos. Il est tellement sexy son petit déhanché, il s’approche encore plus et fait tomber sa cravate au sol... Doucement il fait tomber sa chemise et je sens la température monter en moi et par réflexe j’attrape un cousin pour cacher mon érection naissant. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai besoin de cacher cette foutue excitation même si je sais très bien comment va finir cette foutue soirée et que j’apprécie cette foutue idée.
Il se baisse à ma hauteur, mon souffle est court, trop rapide pour ne pas passer inaperçus. Je le fixe quelque instant avant qu’il dépose ses lèvres sur les miennes… Mon cœur s’accélère, j’ai l’impression qu’il va exploser… Je réponds, mais tout de suite à son baiser, mais très vite je balaye toutes mes inquiétudes et je réponds au baiser avec ferveur ma main se pose dans son cou pour l’attirer un peu plus vers moi. Putain, depuis le temps que j’en rêvais ! On se sépare doucement et il commence à parler, ses paroles me font sourire s’il savait depuis le temps que j’attends cette révélation… Je réponds de nouveau à son baiser et m’éloigner doucement de lui , ma main joue avec quelque mèche de ses cheveux « Je t’aime aussi depuis ce fameux jour… Malgré tous mes efforts, et même les plus absurdes, je ne peux pas m’empêcher de penser à toi tous les jours, chaque seconde de ma vie depuis deux ans… Putain qu’est que je t’aime Light ». Mes lèvres se posent sur les siennes pour un baiser passionné pendant de longues minutes, ma main se pose sur la joue et la caresse doucement… Je quitte doucement ses lèvres pour reprendre mon souffle et quitter ma chemise. Je croise son regard et je sourire, je veux aller plus loin…Je crève d’envie d’aller plus loin… Je me laisser aller contre fauteuil, j’attrape sa main et l’attire vers moi doucement mes lèvres se pose son cou et remonte jusqu'à son oreille « Tu es sur que c’est ce que tu veux ? »
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMar 5 Aoû - 22:35


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 


Ce feu ardent qui me dévore au fur et à mesure des secondes qui passent me rend ivre de désir envers cet homme si sensuel qui sait éveiller une passion insatiable en moi. Je commence à perdre pied, à perdre la tête, la raison. Plus rien n'est plus beau que ce moment. Plus rien ne pourrait m'arrêter. Je suis en train de me droguer au plaisir charnel interdit entre un homme et son cousin. Je ne sais pas où tout cela va bien pouvoir nous mener, mais je meurs d'envie de lui. Rien que lorsque nos regards se croisent je sens mon ventre se tordre et ma raison faillir. Sentir ses baisers sur mes lèvres me provoque une déflagration de frissons dans chaque centimètre carré de ma peau, les moindres poils de mon corps se hérissent à chaque fois, je ne peux plus faire autrement que continuer sur cette lancée de plaisir et de désir qui fait que mes gestes soient chauds et précis dans les points sensibles d'un corps d'homme. Je ne comprends pas pourquoi je n'ai jamais ressentis de passion aussi puissante avant, mais cela ne me déplaît pas. La température entre nos deux corps a grimpé d'au moins deux degrés et je sens avec délassement mon cœur s'accélérer. D’autant plus que je lui ai dit, ce que je ressentais, enfin après deux ans d’incertitudes, deux ans où je ne savais que faire parce que tout n’était que noir parce qu’il n’était pas à mes côtés.

C’est officiel, je lui ai dit, je lui ai dit que je l’aime, peut-être que je n’aurais pas dû parce que notre relation va s’en trouver encore plus compliquée qu’avant. Peut-être que lui ne m’aime pas, et dans ce cas-là je serais détruit intérieurement, je ne sais pas si c’est ce qu’on appelle une âme sœur, mais dans mon cas, une vie sans lui m’est impossible. Après ce deuxième baiser, je me rends compte que je pense n’importe quoi, il ne m’aurait pas embrassé s’il n’éprouvait rien pour moi, à moins que ça soit un petit jeu, mais je le connais et il est incapable de faire ce genre de crasses. « Je t’aime aussi depuis ce fameux jour… Malgré tous mes efforts, et même les plus absurdes, je ne peux pas m’empêcher de penser à toi tous les jours, chaque seconde de ma vie depuis deux ans… Putain qu’est-ce que je t’aime Light. » Oh que oui on en a fait des conneries pour se persuader du contraire, moi premier. La preuve je sors actuellement avec Peyton alors que je ne suis sûr de rien. Et là me voilà entrain de sauter à nouveau sur mon cousin parce qu’il m’excite et parce que je l’aime. Il me manque une case là-haut, j’ai dû être fini à la pisse. Enfin remarque vu l’attardé de père que j’ai, ça ne m’étonnerait même pas. Mais là, c’est lui qui vient déposer sa main sur ma joue tout en m’embrassant pendant de longues minutes passionnées qui n’en finissent pas de voir nos langues se caresser dans une étreinte douce et sauvage à la fois. Puis il se recule et retire à son tour sa chemise et il se laisse aller dans le fauteuil avant de prendre ma main et de m’attirer sur lui afin de venir m’embrasser sensuellement dans le cou ce qui me fait dangereusement avoir la trique tout contre lui. « Tu es sur que c’est ce que tu veux ? » Un petit sourire amusé apparait sur mon visage. C’est quoi cette question qui pue la merde ?

Rapidement deux options s’offrent à moi, soit je la joue soft, soit je sors immédiatement le grand jeu, et c’est malheureusement pas la bonne solution que j’adopte parce que je suis bourré et défoncé. Je me relève et le regarde de haut. « Attends, tu me demandes si c’est que je veux ? T’as vu comment j’ai la gaule ? Ah non tu vois pas, j’vais arranger ça. » J’attrape ma ceinture et la retire rapidement avant de faire tomber mon pantalon au sol et fait de même avec mon boxer, je me retrouve rapidement nu face à lui. Sans hésitation, je me remets sur lui et m’assoit exactement où il faut en ayant à peu près tout bien calculé et m’approche de lui. Rapidement je me laisse glisser à côté de lui et vient lécher la courbe de sa mâchoire et descend petit à petit en passant par son cou et sa clavicule avant de remonter et de prendre ses lèvres tout en l’attirant sur moi alors que je m’allonge sur la table après avoir tout viré au sol, et tant pis si le cendrier s’est renversé. Je l’attrape rapidement avant de venir le plaquer contre moi et de l’embrasser plutôt sauvagement en dévorant littéralement ses belles lèvres. Puis ans prier garde je le retourne et me retrouve sur lui et vient retirer sa ceinture tout en continuant de le couper de respiration parce que je suis trop accro à ses baisés.


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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyLun 18 Aoû - 21:25

On s’embrasse encore une fois, on est si proche… A chacun de ses baisers, je sans mon corps chauffé un peu plus, je sens mes poils se dressé sur ma peau. Putain qu’est que je l’aime, qu’est que j’aime sentir ses lèvres sur les miens et son souffle contre ma peau, mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est les trois mots qu’il avait prononcés il y a quelques minutes. Il m’aimait, et si je m’écoutais je crois que j’aurais fait trois fois le tour de la pièce en hurlant de joie comme un abruti parce oui je suis aux anges avec cette déclaration. Il m’aime vraiment, ce n’était pas juste une fois pour teste comme ça et je lui avoue que l’aime aussi, je l’embrasse une nouvelle fois parce que je suis accro à lui. Je crois que je suis en train devenir accros à ses baisers, s’il savait que rien qu’un seul de ses baisers m’envoie au paradis… Je sens que je bande déjà, et je me demande pourquoi il fallut qu’on soit de la même famille. Si seulement c’était le cas, tout serait plus simple, beaucoup plus simple, on n’aurait pas à se cacher pour s’aimer…Enfin si, on aurait à se cacher devant certaine personne puisque mes parents n’accepteraient jamais que j’aime un homme. Mais on est cousin alors notre relation était d’autant plus interdite par tout le monde, et on serait surement haïr pour tout le monde si ça venait à être découvert alors dans un dernier élan de bonne conscience je lui demande si c’est vraiment ce qu’il veut… Je veux être sûr qu’il est prêt à commencer quelque chose avec moi, je ne veux pas être juste une passade pour lui. Il me fixe avec un regard amusé, et je crois que j’ai perdu une occasion…

Il se lève, et merde qu’est qui se passe ! Je mords la lèvre, je suis gêné et surtout je me sen nul d’avoir balancé une telle phrase. Putain j’en merde ma bonne conscience ! Je reste silencieux, je ne sais pas quoi dire, bien sûr que j’ai remarqué qu’il bandé et s’il savait l’effet que ça m’avait fait… Je le fixe, je suis ses moindres mouvements… Il fait tomber son pantalon, j’en profite pour le regarder de haut en bas, et puis c’est tour, son caleçon. Oh putain ! Il ne laisse pas le temps de profiter de la vue, ni de faire le moindre mouvement et s’installe sur moi et pile sur mon entre-jambes. Je ne peux pas m’empêcher de gémir en le sentant s’asseoir ainsi… Mais il se laisse glisser à mes côtés bien trop vite à mon gout. Light, si tu savais comme tu es cruel ! Il m’embrasse une nouvelle fois avant de m’entrainer sur la table basse contre de lui… Je m’appuie sur bras, avant qu’il m’embrasse sauvagement… Je lui répondis, et je lui mordis les lèvres… J’ai envie de lui L’envie est bien trop présente pour que je me retins, et ma main droite glisse sur son rein. Sans que je comprenne pourquoi je me retrouve sous lui et sa main qui vient ouvrir ma ceinture, mes mains rejoint la sienne et défait la braguette de mon pantalon et il m’embrasse. Je me recule avant d’inverser les positions. Je me relève, et je quitte mon pantalon et mon caleçon, ça y ait on est nus tous les deux. Je me rallonge sur lui et je viens lui murmurer quelques mots à son oreille « Tu es magnifique, amour » Putin plus cliché tu peux ne pas faire, ça c’est surement l’alcool et de la drogue qui me rendre un peu trop romantique. Je l’embrasse une nouvelle fois, et mes lèvres glissent dans son cou, et s’arrêtent sur son torse quelques instants avant de reprendre leurs chemins jusqu’au ventre de Light. Je savoure cette peau et son gout, je l’embrasse plein de fois, je la parsème de baiser. Doucement je glisse vers son ventre, et je me laisse tomber à genoux devant lui… Ma main glisse sur sexe, je commence à le caresser et ne lâche pas du regard, j’adore voir ses expressions… Un dernier regard et je commence à le prendre en bouche juste quelque seconde, et oui depuis notre première fois j’avais pris beaucoup d’expérience et j’avais découvert le plaisir d’être joueur avec son partenaire.
Avant de me glisser une nouvelle au-dessus de lui et de planter mon regard dans le sien et déposer un petit baiser sur le coin de ses lèvres, sur sa jugulaire…
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyMar 19 Aoû - 9:33


je t'aime putain.
light && adonis.



 
 
 


Le sexe est le plus illogique des besoins. Il nous pousse à des extrémités dangereuses, nous fait braver des interdits, provoque des sensations inimaginables, donne des envies machiavéliques. Le sexe est une chose intime, qui ne se partage généralement pas, il pousse à rapprocher deux personnes par des liens charnels, ou à rassasier un appétit dévorant qui nous envoie dans les bras d'une autre personne même si l'on éprouve rien pour ce ou cette dernière. Le sexe est à la base un acte qui vise à se reproduire, du moins c'est ce que l'on en pense, il ne devrait exister que pour procréer, afin de perpétuer la race des êtres vivants qui se reproduisent. Puis avec l’évolution des mentalités, il est devenu source de plaisir, les gens font l'amour dans le but de ressentir des sensations puissantes, qui prennent dans les tripes et font pousser des petits grognements de plaisir puis des gémissements sensuels. Le sexe est quelque chose de complexe, il peut se faire à plusieurs, entre deux personnes de même genre, avec des jeux, des positions différentes, plus ou moins de force ou de douceur, le sexe est l'acte le plus dangereux du monde, il lie les gens, ou les déchire, les pousse à des actes souvent méprisables, ou mignons, cela dépend du point de vue de tout un chacun sur le sexe et l'amour.

Il est présentement sous moi, mes doigts se sont rapprochés de sa ceinture pour que je la défasse et il vient même m'aider à le faire, rapidement son pantalon tombe au sol, suivis de peu par son boxer. Nous sommes enfin nus l'un face à l'autre et cette situation me rappelle notre première fois ensemble. Dans un sens je donnerais tout pour que ça ne soit jamais arrivé parce que notre relation à venir va être compliquée, mais de l'autre sens, je suis heureux et jamais je ne regretterai ce que l'on a pu faire à deux. Puis il échange à nouveau les rôles, lui au dessus de moi. Adonis a toujours préféré que ce soit comme ça, dans un sens ça ne me dérange pas du tout, mais j'aimerais bien goûter au fruit défendu. Il s'allonge sur moi et vient à mon oreille pour me susurrer quelques mots avec sensualité. « Tu es magnifique, amour. » D'accord, je me mets à rougir immédiatement et mes pommettes se réchauffent immédiatement. Tant et si bien que je sens un nouveau feu partir en moi, il sait trop éveiller ce genre de choses en moi que ça en devient dangereux, pour lui et pour moi. Il m'embrasse suite à sa petite déclaration et commence finalement à déposer de doux baisers sur mon corps en descendant sur mon torse et de plus en plus bas. A chaque fois que ses lèvres se déposent sur ma peau, une nouvelle décharge électrique me traverse. Il se laisse finalement tomber à genoux après avoir embrassé pendant de longues secondes mon ventre et les extrémités de mon nombril, et je vois à son regard taquin qu'il va jouer. Sa main se dépose sur mon membre déjà bien durcis et je soupire d'aise. « Tu... Wow ! » Interrompus dans ma phrase, il me prend en bouche et je ferme les yeux de plaisir en le sentant faire avant de les rouvrir et de le regarder avec plaisir. Bordel, merde, il sait toujours y faire. Puis il s'arrête, je fais une petite moue déçue d'enfant à qui enlève sa sucette, même si c'était plutôt qui n'en a plus et je sens ses lèvres se poser sur ma jugulaire.

S'en est de trop, il joue avec moi, mais je n'ai pas envie de jouer, enfin si un petit peu, mais ça fait deux ans que j'attends ce moment et l'attente était bien trop affreuse. Je finis par glisser mes mains dans son dos en le griffant légèrement avec le peu d'ongle que j'ai et attrape ses fesses dans mes mains pour les masser délicatement. Je le regarde avec un petit air sauvage et totalement amoureux avant de frotter mon nez dans son cou et de le lécher. Mais rapidement je passe mon corps sous lui et dépose un baiser sur son torse et vient lui faire un suçon délicat non loin de l'un de ses tétons. Téton que je viens ensuite mordiller doucement tout en continuant de masser son postérieur. « J'ai envie de toi Donis... » Mon ton est suppliant, je meurs d'envie de lui, et chaque seconde passée est une torture au sens propre du terme, chaque seconde passée me donne encore un peu plus envie de passer le cap. Je me remets au niveau de son visage et viens l'embrasser langoureusement et sauvagement en frottant ma virilité contre la sienne, tandis que mes mains voyagent au gré de leurs envies sur son dos ou sur les côtés de son ventre et de son torse.
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MessageSujet: Re: when you're front of me i know how i feel for you. (adight)   when you're front of me i know how i feel for you. (adight) EmptyVen 29 Aoû - 21:25

Je suis aux anges parce que je suis avec l’homme que j’aime. Je sais que je ne devrais pas dire ça, mais en ce moment je m’en fiche. Je ne pense plus à ça, non en ce moment tout ce qui m’occupe l’esprit c’est que je suis en train de passer un agréable moment avec l’homme de mes rêves. On est nus et nos peaux brulantes se frôlent, et chaque fois je sens que la température monte encore un peu. Je l’ai complimenté et je lui est même donné un petit surnom, je ne le jamais fait d’habitude… Non, ce n’est pas dans mes habitudes, mais je pense que l’alcool et l’amour me font faire des trucs pas normaux. Je le voix rougir à mon compliment, j’aime le voir rougir il est si mignon comme ça, et je ne peux m’empêcher de sourire moi aussi…
Je commence à descendre le long de son corps avec de doux baisers, et je le sens fission à travers mes baisers, c’est agréable de sentir que chacun de mes baisers lui fait de l’effet et putain qu’est que ça me fait aussi de l’effet. J’adore être taquin avec mes partenaires et Light n’y échappera pas avec moi… Je levé les yeux lorsqu’il tente de parler alors que je le prends en bouche pendant juste quelque seconde pour lui donner un avant-gout de cette nuit. Je sait qu’il est fruste, je le sens et quand je lève les yeux je vois sa petite moue bouseuse et je rit doucement. Il est tellement mignon comme ça et j’ai encore envie de voir cette expression sur son visage... Enfin si je le fais trop attendre je crois qu’il ne va pas trop aimer. Je fixe ou plutôt je me noie dans ses magnifiques yeux avant de sentir des mains parcourir mon dos, il me griffe légèrement le dos avant de descendre sur mes fesses…

Je lance un dernier regard vers l’entrée si quelque rentre maintenant c’est foutu, et ça me traverse l’esprit une demi-seconde. Je rejette cette pensé au fin fond de mon esprit quand je sens son nez contre mon cou. Je frissonne, et je lâche, un soupire, de plaisir lorsqu’il lèche mon cou. Il sait très bien s’y prendre pour me faire craquer, et pourtant on ne l’a fait qu’une fois… Je peux sentir son impatient, et franchement je deviens tout aussi impatient que je ne puisse pas être taquin encore bien longtemps… Et d’ailleurs il est en train de me faire craqué avec ses les lèvres sur mon téton, je lâche un gémissement et une de mes mains viens de perdre dans les cheveux de mon amour. Je suis en train de craquer, il me murmure quelques mots et je sens que la température monte encore d’un cran… Enfin si c’est possible. Ses lèvres sur les miennes, sa virilité contre la mienne. Cette fois-ci c’est le point de non-retour, je craque totalement. Je ne peux plus me retenir, j’ai envie de lui, je meurs d’envie de lui. Je me redresse et glisse ma main dans la sienne, ce soir c’est un soir spécial…Je l’entraine vers le sol et au-dessus moi, d’habitude ça ne passe comme. C’est vrai qu’avec les autres hommes c’est plutôt l’inverse, mais ce n’est pas n’importe quel homme, c’est Light. C’est l’homme pour qui mon cœur bat et e soir est un jour spécial avec un homme spécial et ça fait deux ans que j’attends d’être avec de nouveau avec lui et j’en ai terriblement envie de changer, d’essayé avec lui. Mes mains glissent dans ses cheveux, mes lèvres se glissent sur son coup et cette fois-ci ce sont mes mains dans son dos « J’en peux plus Light, j’ai envie de toi » Je l’embrasse doucement et le fixe avec des grands yeux amoureux « Light… Je t’aime, et ce soir je veux que ça soit une nuit spéciale… » Je ne sais pas pourquoi, mais je ne trouve pas mes mots, normalement je suis un peu plus cru que ça quand je parle de sexe, mais pas ce soir. Je sais peut-être l’alcool, ou peut-être parce j’ai l’impression d’être dans un rêve qui peut se briser chaque seconde.
Je l’embrasse brutalement, mes, mais glissent rapidement dans son dos, j’exerce une légère pression sur ses hanches et nos sexes se touches. « Light… » Mon ton est suppliant.
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