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 C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]

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MessageSujet: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyDim 25 Mai - 4:30



C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées feat Bunny

Il y a tout qui part en couilles. Le temps qu'est-ce que c'est? Le connard qui me répond de l'argent, je crois que je lui en fou une. Je veux dire, il y a une heure on était super pote et maintenant elle refuse de me parler. Sauf que l'heure dure depuis trois jours maintenant et 246 sms plus tard ainsi que 112 appels elle refuse toujours de me parler. J'ai alors agis stratégiquement, c'est que dans l'espace de quelques jours on en apprend beaucoup sur une personne... Je connais Bunny, je savais donc qu'en prétendant lui laisser le choix elle me rappellerait, enfin ça, c'était dans l'hypothèse que je sois important pour elle, comme elle le prétend. J'ai passé la journée en compagnie de mes amis les moutons, des fois, il est arrivé de pleuvoir, mais ça ne me dérange pas, au pire je serais malade, mais j'ai dis à la blonde que je me trouvais ici, alors sait-on jamais. Finalement, lorsqu'elle daigne enfin m'appeler je lui donne rendez-vous au seul bar de la ville, comme ça, impossible de se tromper. De plus, c'est là que tout a commencé ou qui sait, que tout c'est terminé... Non, je ne peux y croire. Je raccroche, lui disant que la balle est dans son camp, comme prévu et l'instant d'après mon téléphone m'annonce un appel. Je souris, sourire que j'ai tôt fait de perdre en voyant que le numéro est celui de Kyle. Je comprend qu'il soit déçu que je ne passe pas plus de temps avec la bande et lui par la même occasion, mais comment ce mec se débrouille t-il pour toujours m'appeler au moment idéal pour me faire sentir responsable? Oui, parce que ce n'est pas très réglo ce que je suis en train de me faire: me battre pour une fille qui est l'ex de mon meilleur amie. C'est comme-ci Kyle couchait avec Maggie en sachant que cette dernière m'a blessé. Enfin, non, ça ne se compare, moi au moins je ne couche pas avec Bunny, C'est arrivé qu'une seule fois, il y a des années et je n'étais au courant de rien. Je disais donc: le temps c'est subjectif. J'attend, j'attend et histoire de changer j'attend toujours. Lorsque je redemande un shooter, le barman me regarde d'un mauvais œil avec mon bras bandé. Bon okay, si je n'avais pas foutu un pain dans la gueule à ce pauvre type, je n'en serais pas là, quoi que pour le bras si. En partie tout du moins. Quand je ris, j'ai encore un mal de chien, le mec à la batte de Baseball ne m'a pas manqué. Vestige de Bunny, encore une fois. Sauf que cette dernière à insisté pour que j'aille à l'hôpital me faire soigner et j'ai refusé, donc nous sommes tout deux responsables, moi plus qu'elle évidemment. Voilà pourquoi j'ai pété un plomb: la dernière fois où j'ai laissé sortir Bunny toute seule ça a mal terminé. Elle est belle et depuis son accident semble être quelqu'un de sensible, ce qu'elle est, elle ignore comment se protéger, donc une proie facile. Je ne peux supporter de serais-ce qu'imaginer qu'il lui arrive un truc, c'est ça mon problème. Dans un soupire, je regarde l'heure sur ma montre. Mon cœur se sert. J'ai été trop con, trop naïf d'avoir cru que... Je regarde mon verre et dégoûté je le laisse là, me relevant en payant l'addition, je me dirige vers la sortie, ignorant ces filles qui lèvent les jambes en l'air tout en dansant et chantant des paroles dans une langue que je ne comprend pas. À la sortie du bar je m'adosse contre un mur, glissant ma main valide dans ma poche afin d'en sortir un paquet de cigarettes, calant l'une d'elle entre mes lèves. Je ne sais pas si c'est la pluie qui m'a donné de tels frissons ou ce sentiment désagréable d'être observé continuellement, mais mon instinct me pousse à regarder de partout dans la rue. Sourcils froncés, je souffle lentement la fumée, avant de balancer la fin de mon mégot au sol. Soudain, je la vois et mon cœur s'arrête, premièrement parce que je suis anormalement heureux de la voir, secondement, car des phares illuminent son visage alors qu'elle vient de quitter le trottoir, afin de me rejoindre... Mon monde s'écroule et le temps si superflue s'arrête:

- BUNNY !!!!

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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyVen 30 Mai - 5:27

conner & bunny ✻ conner.. I need you
« Ça fait déjà quelques jours que je n'ai pas parlée à Conner. Quelques jours que j'ignore ses sms, ses appels. Tout ça pourquoi? Tout ça pour une stupide prise de tête. Je comprend toujours pas pourquoi il s'est mit en colère, l'autre soir au bar. J'ai beau essayer de comprendre, j'y arrive pas. Je lui en veux et d'une certaine façon, je m'en veux aussi. Nous qui somme habituellement si proche, comment est-ce qu'on a pu en arriver là? C'est insensé. Étrangement, repenser à cette histoire me fait souffrir. Après seulement quelques jours, il me manque terriblement. Sa voix me manque, sa présence me manque, tout comme le sentiment de sécurité et de bien-être lorsqu'il est près de moi, me manque. Et sincèrement, je trouve ça étrange comme sensation. Comment une personne peut-elle être aussi importante au point de ressentir ce vide immense qui vous transperce le coeur? »

Couchée dans mon lit, je regardais attentivement le dernier sms que Conner m'avait envoyé, en soupirant doucement. Allez reprend toi Bunny, arrête de jouer la fille qui s'en fou et appel le. Je me passa une main sur le visage et je composa ensuite son numéro, tandis que mon cœur battait la chamade, à un tel point que j'en avais le souffle coupé. Après seulement quelques sonneries, Conner répondit. J'aurais dû m'en douter, notre conversation ne dura qu'un court instant. Avant de raccrocher ce dernier m'avait donné rendez-vous au bar du coin, me donnant le choix de le rejoindre ou non. Inconsciemment, je savais que c'était la seule chance que j'avais de recoller les morceaux avec lui.Alors je n'hésita pas un instant. Je me leva rapidement de mon lit et je m'habilla en vitesse. Vêtue d'une camisole blanche, d'une paire de pantalon slim noir et d'une veste, je m'empressa de sortir de la chambre, presqu'en courant. Une fois à l'extérieur de l'hôtel, je m'alluma une clope, essayant de trouver ce que je pourrais bien lui dire lorsqu'il sera devant moi. « Tu sais Conner, c'est pas toi, c'est moi.. Et merde, non je peux pas pas lui dire ça.. » Je me mordis faiblement la lèvre, stressant de plus en plus, sachant que j'arrivais à destination. Tout en traversant la rue, pour aller au bar, je continua de plus belle. « Conner, j'suis vraiment désolée, tu sais j'aurais pas dû réagir ainsi.. Tu m'as.. » C'est alors qu'une voix qui m'était plus que familière cria mon nom, l'air affolé. « BUNNY !!!! » Conner. Je figea au beau milieu de la rue, le regardant les larmes aux yeux. Comme il m'avait manqué. D'un coup, sans m'y attendre, j'entendis un énorme bruit de moteur. Je tourna alors la tête, tout en plissant les yeux aveuglée par la lumière des phares. Je laissa ma clope tomber par terre, l'air complètement sur le cul, réalisant qu'une voiture fonçait droit sur moi.

La suite des choses se passa tellement vite. En un rien de temps, je me poussa rapidement sur le côté, ensuite l'homme qui avait essayé de me percuter sortit de sa caisse, s'empressant de venir vers moi pour me frapper et d'un coup, Conner est arrivé près de nous et l'a frappé de toute ses forces, le faisant ainsi tomber par terre. Il m'a ensuite hurler de monter dans la voiture, alors que quatre mec sortir du bar, s'empressant d'aller vers leur pote, qui était couché par terre. Je pris mes jambes à mon cou et j'embarqua dans la voiture, côté conducteur et je démarra en vitesse. Conner qui était à côté de moi était complètement sous le choc. Sans même comprendre pourquoi, j'éclata d'un rire nerveux, tandis que je roulais beaucoup plus vite que la vitesse permise. Je comprenais pas comment je pouvais conduire de la sorte, alors que j'avais oubliée comment faire, mais ça je n'avais pas besoin de le spécifier à Conner. Alors que je croyais être en sécurité, je remarqua une voiture dans le rétroviseur, foncer vers nous à toute vitesse. « Merde. Putain, Conner dit moi que je rêve. » Il me regarda, sans réellement comprendre alors je lui lança en faisant un signe vers le rétroviseur. « J'crois qu'on a de la compagnie! » J'accelera le plus vite que je le pouvais, priant intérieurement pour qu'on s'en sorte vivant.

Plusieurs minutes s'écoulèrent avant que j'arrive à les semer complètement. Une fois sur le haut de la montagne, j'arrêta le moteur et je sortis de la voiture en claquant la porte. Je regarda tout autour de moi, en plaquant mes mains sur ma tête. Lorsque je remarqua Conner sortir de la voiture, je laissa tomber mes bras le long de mon corps et je me mis à pleurer. « J'suis tellement désolée, c'est de ma faute tout ça.. J'ai remarquée que c'était les mecs de la dernière fois.. Putain, j'aurais pas dû te mêler à tout ça. » Je me tourna, lui faisant dos, n'ayant pas envie qu'il me voit pleurer. 
   
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Dernière édition par Bunny L. O'Brien le Mar 10 Juin - 22:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyLun 2 Juin - 2:45



C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées feat Bunny

Je suis comme dans un de ces fameux rêve où tu tombes dans le vide, sauf que je ne me réveille pas. Pendant ce qui me semble être des heures, Bunny reste immobile, aveuglée par tant de lumières, quand à moi, je suis tellement apeuré que je n'arrive plus à bouger. La voiture accélère et c'est comme la claque qu'il me fallait, je cours en direction de la blonde. Par chance, elle se jette sur le côté au dernier moment, je n'aurais jamais pu la sauver dans le cas contraire. Un gros balourd avec une balafre lui barrant la moitié des traits du visage sort de la caisse. J'arrive à temps, son bras droit se lève, prêt à foutre une gifle qui collerait la jeune fille au sol, sur l'instinct du moment j'immobilise sa course en attrapant fermement son poignet. Il se tourne si violemment vers moi qu'il me repousse au passage des quelques centimètres, toujours sans réfléchir je lui inflige un bon crochet qui vient surement de péter mes phalanges, mais qui a au moins comme résultat de le mettre K.O. D'autres mecs sortent alors du bar et regardent en notre direction, leurs yeux font la navette entre nous et le corps au sol qui commence déjà à remuer. Sautant sur le capot de la bagnole je me laisse glisser côté passager.

- Prend le volant, prend le volant !!!

Ils se rapprochent de plus en plus alors que Bunny se décide enfin à détourner le corps en accélérant dans un crissement de pneus. La bouche grande ouverte, je lance des regards vers le lieu que nous venons de quitter en respirant avec difficulté. Rapidement, je comprend que Bunny n'a jamais conduit de sa vie, car le moteur proteste. J'ai envie de lui expliquer que c'est une boite manuelle, mais je lui donnerais des cours de conduite plus tard. Passant les vitesses à sa place, nous ne tardons pas à mettre une distance considérable entre les cinq hommes et nous. L'arrière de mon crâne retombe sur mon siège alors qu'un soupire de soulagement m'échappe, quand à Bunny, elle éclate de rire. J'hausse les sourcils et lance un regard à la blonde qui a les yeux rivés sur la route, en la voyant se dérider de la sorte, je ne peux m'empêcher de sourire à mon tour. Ah, l'effet de l'adrénaline !

« J'crois qu'on a de la compagnie! »


Je me penche vers le rétroviseur et m’aperçois qu'effectivement nous sommes suivis. J'essais de garder mon calme, pour Bunny, mais c'est peine perdue, je lui cri d'accélérer alors que son pied est déjà collé au plancher. Si nous étions dans un film d'action, je lui aurais dit de garder les mains sur le volant le temps qu'on échange de place, mais nous somme dans la réalité et du côté conducteur je serais incapable de changer les vitesse à cause de mon bandage... Je préfère éviter de lui mentionner que si les mecs nous rattrapent nous sommes dans la merde... Chad a dû se faire un malin plaisir de les foutre dans la merde un de ces jours et résultat il me prenne pour lui... Ouais, jamais de ma faute, toujours celle de l'autre, c'est a règle Cox. Une fois semé, Bunny engage la bagnole sur une route beaucoup plus chaotique, menant en fait au sommet d'une montagne Écossaise. La blonde arrête finalement la voiture et sort en vitesse, si bien que l'espace d'un instant j'ai l'impression qu'elle va vomir. Également sous le choc, je déglutis et sert le frein à main avant d'ouvrir à mon tour ma portière. Je glisse mes mains dans ma tignasse en regardant le paysage, nous sommes dans la merde, nous le savons et ce feeling n'a jamais été bon.

« J'suis tellement désolée, c'est de ma faute tout ça.. J'ai remarquée que c'était les mecs de la dernière fois.. Putain, j'aurais pas dû te mêler à tout ça. »

En entendant sa voix se briser, je penche la tête sur le côté, alors que les traits de mon visage se décomposent. Non ! En de grandes enjambées je la rejoins, lui faisant à nouveau face. Mes mains saisissent ses poignées, pour lui empêcher de cacher ses larmes. Mes yeux cherchent les siens, mais je ne trouve rien à dire. Bunny finit par baisser la tête, mes lèvres se posent doucement sur sa joue, essuyant au passage une larme. Je relève alors son menton et chasse sa frange vers l'arrière.

- Hey, arrête ça Bunny ! Si il y a un responsable, c'est bien moi, je n'aurais jamais du te demander de venir... Ouvrant la bouche, je fais de grands gestes, afin de trouver les mots justes. Le truc, c'est que je crevais d'envie de te revoir. J'aurais pu tout te dire tout ça par téléphone au mieux de te faire risquer ta vie à nouveau: tu me manques, car je réalise de jours en jours que ma vie n'a plus aucun sens sans toi. Je suis désolé pour l'autre jour, mais j'ai flippé. Je ne fais que ça avec toi, flipper, et je ne sais pas pourquoi... C'est une zone inconnue et en voyant le mec te regarder de la sorte, j'ai pas pu supporter... Je suis désolée de t'avoir dit que tu n'étais rien pour moi, je ne le pensais pas... Un sanglot déstabilise ma voix. Comment pourrais-je le penser? Silence, avant d'hausser les épaules. Et le truc Bunny, c'est que je crois que tu le sais déjà tout ça... Enfin bref, je suis désolé.

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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyMer 11 Juin - 23:54

conner & bunny ✻ conner.. I need you
« Il faudrait qu'elle ne s'attache pas trop à lui, mais elle en est incapable. Il lui parle de tout, de rien et il est le seul qui le fait bien. Parce que c'est lui qui en prend l'initiative et ça la change. Il lui montre qu'elle existe. Il brille comme une étoile pour elle. Mais l'amour, elle n'ose pas y croire, par peur de souffrir. Et pourtant elle se laisse complètement aller. Elle arrive à être heureuse quand elle est près de lui, malgré la doute, malgré la peur, malgré tout. »

Je ne saurais dire ce qui se passe entre Conner et moi, mais j'ai l'impression que je n'arriverais pas à me passer de lui, que je n'y arriverais plus. Depuis le tout début, lorsque j'ai eu mon accident, il ne m'a jamais quitté. Je ne le voyais pas, je ne pouvais pas le toucher, ni lui parler, mais je savais qu'il était présent. Je sentais sa présence rassurante à mes côtés. C'était la première fois depuis mon réveil que nous nous étions prit la tête et même si je ne voulais pas me l'avouer à moi-même, ça me faisait un mal de chien. J'avais besoin de lui, plus que quiconque pour le moment. Alors que je traversais la rue pour le rejoindre au bar, j'entendis Conner crier mon nom. Je me retourna vers lui, le sourire aux lèvres, lorsque les phares d'une voiture m'aveugla. Je resta là, planter au beau milieu de la rue, regardant la voiture foncer droit sur moi. Je n'arrivais plus à bouger, j'avais l'impression que mes pieds étaient cloué au sol. J'avais complètement perdue le contrôle de moi. Quand je croyais que tout espoir était perdue, que j'allais me faire renverser, je me poussa sur le côté, à ma grande surprise. Alors que j'étais étendue par terre, je remarqua un mec s'approcher rapidement, trop rapidement, de moi. L'air qu'il avait me fit frissonner de la tête au pied. Je n'avais encore jamais vue un tel regard. Tandis qu'il allait m'en foutre une en plein visage, Conner arriva et lui colla un coup de poing qui le mit complètement. K.O. Et comme si c'était pas assez, des mecs sortit du bar et fit nous regarda l'un à la suite de l'autre, l'air complètement paumé. « Prend le volant, prend le volant !!! »

Je tourna alors la tête vers Conner, avant de me lever d'un bond et je me mis à courir comme une furie vers le côté conducteur de la voiture. Je ferma ainsi la porte et je démarra en vitesse en regardant fixement la route. Je n'avais jamais conduit de ma vie et je crois que ce dernier s'en rendit compte car il passa les vitesse à ma place. L'adrénaline me fit éclater de rire, c'était plus fort que moi. J'avais l'impression d'être dans un putain de film d'action. Du coin de l'oeil, je remarqua une voiture nous suivre à toute vitesse. Et merde. J'appuya sur l’accélérateur tandis que je priais intérieurement pour que ce cauchemar finisse. Être là, sur la route, complètement paniquée , me rappelait l'accident. Je ferma les yeux un instant et je respira un bon coup, avant de chasser cette vision de mon esprit. C'était pas le bon moment là. Après un long moment, j'arrive enfin à les semer, alors s'en plus attendre, j'engage la bagnole sur une route beaucoup plus chaotique, menant en fait au sommet d'une montagne Écossaise. Une fois sur le haut de la montagne, j’éteignis le moteur et je sortis de la voiture en vitesse, claquant ensuite la porte. Des larmes commença à couler et n'ayant pas envie que Conner me voit dans cet état, je préféra lui faire dos. Je plaqua mes mains contre mon visage et je commença à m'excuser. Tout ça était de ma faute, je n'aurais jamais dû le mêler à tout ça. Je m'en voulais. Ce dernier attrapa mes poignets et m'obliga à ne pas me cacher. Il alla même jusqu'à chasser l'une de mes larmes et embrassant ma joue. À ce moment, je frissonna de tout mon être. « Hey, arrête ça Bunny ! Si il y a un responsable, c'est bien moi, je n'aurais jamais du te demander de venir...» Conner se rapprocha encore plus près de moi et sans que je puisse vraiment expliquer pourquoi, mon coeur commença à battre la chamade. « Le truc, c'est que je crevais d'envie de te revoir. J'aurais pu tout te dire tout ça par téléphone au mieux de te faire risquer ta vie à nouveau: tu me manques, car je réalise de jours en jours que ma vie n'a plus aucun sens sans toi. Je suis désolé pour l'autre jour, mais j'ai flippé. Je ne fais que ça avec toi, flipper, et je ne sais pas pourquoi... C'est une zone inconnue et en voyant le mec te regarder de la sorte, j'ai pas pu supporter... Je suis désolée de t'avoir dit que tu n'étais rien pour moi, je ne le pensais pas... » Lorsque j'entendis sa voix se briser je releva doucement la tête et je planta mes yeux dans les siens, le regard remplis de tristesse. « Comment pourrais-je le penser? Et le truc Bunny, c'est que je crois que tu le sais déjà tout ça... Enfin bref, je suis désolé. » Je m'humecta les lèvres, avant de lui sauter dans les bras. Ne sachant pas quoi lui répondre, je le serra très fort dans mes bras. « Je suis désolée moi aussi, je m'excuse, pardonne moi. Je pensais pas tout ce que je t'ai dis. » Dans un murmure je lui chuchota au creux de l'oreil. « T'es la seul personne donc j'ai réellement besoin, Conner.. » Alors que mon visage était enfouis au creux de son cou, je releva doucement mon visage vers lui avant de planter mon regard dans le siens. Mes yeux dériva sur sa bouche, tandis que j'approcha petit à petit mes lèvres des siennes. Quand je me rendis compte de ce que je m'apprêtais à faire, je releva mes yeux vers les siens et je me détacha de son emprise, avant de lui faire dos et de faire quelques pas en avant. « Désolée.. » Je me passa la main dans les cheveux, avant de me tourner une seconde fois vers lui. J'avais une envie folle de l'embrasser, de sentir la chaleur de sa peau contre mon corps, de sentir son souffle chaud contre mon visage, de sentir ses mains sur moi, de sentir ses lèvres sur les miennes, mais j'avais peur, tellement peur. « Conner.. J'ai peur.. » Ma voix se brisa et les larmes coulèrent à nouveau.  
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Dernière édition par Bunny L. O'Brien le Mer 2 Juil - 18:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyMar 17 Juin - 2:59



C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées feat Bunny

J'hausse les épaules. Quoi faire de plus? Mis à part détourner le regard? Ce n'est pas le caractère ni le physique d'une personne qui te rend faible, mais les souvenirs du temps passé avec elle. Quand il devient trop tard pour reculer, ces justement ces moments, même minime, qui traversent ton esprit à la journée longue, qui te font envier l'instant où cela se reproduira. Des fous rires aux confidences, il me semble ne pas avoir prononcé l'essentiel à travers tant d'heures passés au téléphone ou tout simplement ensemble. Le regard. Voilà où tout se joue. Quand on ne peut toucher, on n'a que nos yeux pour apprécier les belles choses. Ses longs cils qui effleurent ses pommettes rosies par des mots, ses yeux bleus qui sourient à la place de ses lèvres, car l'une d'elle est retenu par une dent, sa main qui vient caler une mèche, toujours la même, de cheveux blonds derrière son oreille. C'est lorsqu'on commence à prêter une attention particulière à tout ses petits gestes qu'ils parviennent à nous tétaniser, nous captiver, nous hanter... Quoi que si c'est ça des cauchemars, j'en ferais tous les jours. J'hausse les sourcils, retenant un rire moqueur et amer contre moi-même. Tu ne vois donc pas Bunny que tu es beaucoup plus importante pour moi que ce que je prétend, que ce que tu es prête à assumer??? Cette image qui vient de traverser mon esprit c'était il y a quoi, une semaine? C'était ici même. Sous une tente, alors que la nuit m'offrait le deuxième plus beau spectacle jamais vu, le premier vint peu de temps après, alors que Bunny trouva enfin le sommeil. Perdu dans mes pensées, je sursaute lorsque la blonde saute dans mes bras, enroulant ses bras autour de ma nuque, sentant ses larmes humides et la chaleur de son visage dans mon cou. Sans hésiter je lui rend son étreinte, fermant les yeux pour profiter du moment et surtout pour ne pas me laisser submerger par mes sentiments. C'est trop beau pour risquer de tout gâcher, de tout perdre...

« T'es la seul personne donc j'ai réellement besoin, Conner.. »

C'est aussi douloureux qu'un coup de couteau dans le cœur, ses bras me lâchent alors que moi je meurs d'envie de la serrer plus fort encore. J'ouvre mes yeux qui rencontrent les siens une fraction de seconde après. Ses mains glissent sur mon torse. Oui, c'est ça Bunny, sens les ratés de mon cœur, tu en es responsable... Sa respiration devient aussi régulière que la mienne. Je sens son regard sur mes lèvres plus de trois secondes, je me tend, elle s'avance, à mon tour j'humecte mes lèvres, afin de les rendre un peu moins sèches.

« Désolée.. »

Elle me repousse et je laisse me fuir, mes mains retombant mollement contre mon corps. Même si elle me tourne le dos, je la fixe et à sa façon de se tenir je sais qu'elle le sent. Elle chasse ses cheveux blonds en arrière et lentement me fait à nouveau face. Bunny ose enfin prononcer à haute voix ce qu'elle ressent. La peur. Les larmes coulent sur ses joues, j'avance en déglutissant et la prend à nouveau dans mes bras, en attrapant au passage l'un de ses poignet dont je me sers pour coller sa main contre mon cœur qui bat la chamade. Je la regarde, en secouant la tête. Les deux mots qu'elle vient de prononcer, c'est le signal que j'attend depuis son réveil, d'une pression je sers sa main, afin de l'encourager. Allez Bunny, on y est presque...

- De quoi as-tu peur? elle ouvre la bouche, hésite, mais aucun son ne sort. Je vais te le dire moi de quoi tu as peur. T'as peur parce que, avec moi, tu sais que c'est pas comme avec les autres gars. C'est pour ça que tu fuis. Moi tu m'apprécies réellement et ça te fais flipper, car aimer c'est un truc qui ne s'oublie pas. Aimer quelqu'un, c'est lui donner la possibilité de nous briser le cœur. Je le sais très bien car en ce moment tu es en train de briser le miens. Mais aimer Bunny, c'est aussi accepter de l'autre quelque chose que tu n'aurais jamais cru concevable. On vit dans un monde où le bonheur nous glisse toujours entre les doigts et c'est ce que l'amour est supposé apporter: le bonheur. C'est pour cela dont tout le monde a peur. Joue pas la conne Bunny, j'ai déjà faillis te perdre une fois et je crois que si la vie t'as donné une seconde chance c'est pour vivre un truc d'unique, un truc qui ne pourra pas te briser, parce que tu es plus forte que ça putain... Silence. Alors Bunny... De quoi tu as peur?

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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyMer 9 Juil - 21:17

conner & bunny ✻ conner.. I need you

« Il faut être fou pour tomber amoureux. C'est quoi le but ? On va où quand on aime ? Nul part. On avance mais on sait pertinemment qu'un jour ce sera fini, on sait qu'on va souffrir, qu'on aura le cœur brisé mais on continue d'avancer. On fonce droit dans le mur et on aime ça. On sourit, on rit, on est heureux. On est fou. Une bande d'aliénés drogués à l'affection, à l'odeur de la personne qu'on aime, à ses lèvres, ses bras, ses mains sur nous, son regard, son sourire. Depuis mon réveil j'essaie de chasser ces sentiments, j'essaie par tout les moyens de me convaincre que je ne suis pas en train de tomber amoureuse. Mais ce soir, j'arrête de me battre contre cet amour, ce soir, je m'abandonne. » 

J'aimerais tellement pouvoir lui dire que c'est ni de son sourire, ni de ses yeux dont je suis tombée amoureuse. Que ce n'est pas non plus de son physique. C'est ce qu'il est vraiment qui m'a fait craquer. C'est sa façon d'être et sa façon de me parler qui a fait en sorte que je me suis attachée à lui. Il m'a montré un amour différent de celui que je connaissais. Avant, je tombais amoureuse d'un sourire, d'un regard. Depuis mon réveil, Conner, m'as prouvé que ça n'était pas que ça l'amour, que c'était bien plus. Le vrai amour peut résister à tout, il te tombe sur la tête quand tu t'y attends le moins, je ne veux pas y croire, je ne veux pas me l'avouer, mais il faut quand même se faire à l'idée qu'il est bel et bien là, juste devant moi. Cet amour-là, il est plus fort, il est plus vrai, tout simplement parce qu'il est complètement différent des autres. Et Conner, c'est ce qu'il a réussi à me faire réaliser. Depuis un moment déjà, je suis accro à lui. Je pense sans arrêt à ce qu'il me disait. Depuis qu'il est dans ma vie, j'ai toujours ce petit sourire débile suspendu aux lèvres. Quand j'essaie de lui faire comprendre ce que je ressens, j'ai toujours peur de ce qu'il me répondra, j'ai toujours une boule au ventre à chaque fois. Lorsqu'il est près de moi, j'ai toujours envie de le prendre dans mes bras ou de tout simplement l'embrasser, mais, j'ai peur qu'il me repousse. Si seulement il savait. J'ai peur des sentiments que je ressens pour lui. J'ai peur que ce ne soit pas réciproque, j'ai peur que ses sentiments ne soit pas les même et qu'il m'abandonne. Je ne pourrais pas supporter le fait de le perdre, de le voir avec une autre que moi. J'aimerais tellement pouvoir lui dire tout ça, mais si seulement il savait à quel point j'ai peur. Avec Conner, j'ai l'impression de revivre.

« De quoi as-tu peur? » Les yeux embrumer par les larmes, j'ouvris la bouche, essayant de répondre, mais aucun son n'arriva à sortir. J'y arrivais pas putain, c'était trop dur, j'avais trop peur.. Sans quitter Conner des yeux, je l'écouta attentivement. Ce qu'il me balança me fit figer sur place. J'étais complètement sur le cul. « Je vais te le dire moi de quoi tu as peur. T'as peur parce que, avec moi, tu sais que c'est pas comme avec les autres gars. C'est pour ça que tu fuis. Moi tu m'apprécies réellement et ça te fais flipper, car aimer c'est un truc qui ne s'oublie pas. Aimer quelqu'un, c'est lui donner la possibilité de nous briser le cœur. Je le sais très bien car en ce moment tu es en train de briser le miens. Mais aimer Bunny, c'est aussi accepter de l'autre quelque chose que tu n'aurais jamais cru concevable. On vit dans un monde où le bonheur nous glisse toujours entre les doigts et c'est ce que l'amour est supposé apporter: le bonheur. C'est pour cela dont tout le monde a peur. Joue pas la conne Bunny, j'ai déjà faillis te perdre une fois et je crois que si la vie t'as donné une seconde chance c'est pour vivre un truc d'unique, un truc qui ne pourra pas te briser, parce que tu es plus forte que ça putain. » Je cessa de pleurer, le coeur battant la chamade. J'arrivais pas à y croire. Moi qui devrait être heureuse, j'étais à présent apeurée. Je crois que je n'avais jamais eu aussi peur. Après un moment de silence, Conner continua de plus belle. « Alors Bunny... De quoi tu as peur? » Je me déprit de son emprise avant de reculer, incapable de détacher mes iris bleu des siens. « J'ai peur de tomber amoureuse de toi. » Toujours en reculant, je stoppa net, baissant le regard. « J'ai peur de tomber amoureuse à nouveau, de toi surtout. Je ne veux pas, je ne sais même plus ce qu'est l'amour. J'ai peur que tu me fasse du mal, que tu me fasses souffrir. J'ai peur de complètement m'abandonner à toi et que tu me laisses tomber.. » Silence. « Mais par dessus tout, j'ai peur de ne pas être à la hauteur. » Je releva ensuite mes yeux vers lui, ne sachant plus quoi dire.




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Dernière édition par Bunny L. O'Brien le Lun 4 Aoû - 8:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyMar 15 Juil - 4:04

Conner C. Cox a écrit:


C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées feat Bunny


« J'ai peur de tomber amoureuse de toi. »

Suite à cette phrase, je comprend ce que l'on peut ressentir lorsqu'un cœur explose. Mon âme se fragmente, est-ce un signe indicateur pour dire que l'autre personne est notre moitié? J'ai déjà aimé: Dakota, Hope, Maggie et peut-être même B-J, mais jamais encore je ne suis tombé amoureux. Jusqu'à maintenant. En pas moins de huit mots, Bunny m'a démontré qu'elle était prête à m'accepter dans sa vie, envers et contre tout. C'est ça la peur. Maintenant que j'ai compris ça, moi aussi j'ai peur. Elle recule, baisse les yeux, quand à moi je reste immobile.

« J'ai peur de tomber amoureuse à nouveau, de toi surtout. Je ne veux pas, je ne sais même plus ce qu'est l'amour. J'ai peur que tu me fasse du mal, que tu me fasses souffrir. J'ai peur de complètement m'abandonner à toi et que tu me laisses tomber.. »

À nouveau. Kyle. Je ferme les yeux et sert les mâchoires, si ce n'est pas elle qui y pense, c'est moi. Je ne peux pas lui faire ça, avec n'importe qui, mais pas Bunny. Pourtant, je ne peux me résigner à chasser Bunny de ma vie. On dit qu'on a toujours le choix, mais c'est faux. Un de nous trois finira par souffrir. Ce que nous vivons est sincère, le fait que la blonde s'ouvre à moi de la sorte le prouve, je ne peux donc pas lui demander d'accepter que j'agisse tel que j'ai toujours été lorsque nous sommes en public: un vrai connard. Si ça se sait, ça sera la fin de l'amitié des couilles, Kyle se sentira trahis et c'est la pire des souffrance que l'on puisse infliger. Quand à moi, si je choisis de laisser Bunny à un autre, je n'en sortirais pas vivant.

« Mais par dessus tout, j'ai peur de ne pas être à la hauteur. »

Oh et puis tant pis, Kyle n'est pas là ! Je craque, en une enjambée je la rejoins, attire son visage vers le miens afin de l'embrasser longuement. Ça n'a rien de la galoche d'avant sexe, c'est l'un de ces baisers passionné et sincère devenu si rare avec le temps. Une fine pluie se met à tomber, j'éloigne mon visage du siens, afin de la regarder dans les yeux:

- N'ai plus peur. Ça fait longtemps maintenant que tu es celle m'ayant appris ce que signifie être à la hauteur. Je ne peux pas te garantir que jamais je ne te ferais souffrir. Moi ce n'est pas le fait que tu t'abandonnes qui me fait peur, mais que tu puisses un jour m'abandonner moi et ne me dis pas que c'est impossible, car ça l'est... Tu l'as dit toi-même: tu ne sais plus ce qu'est l'amour. Peut-être qu,un jour ça te reviendra et que tu te rendras compte que nous deux c'était une erreur. Tout ça me fait peur, car je sais que je souffrirais, mais pour serais-ce qu'une nuit dans tes bras, je suis prêt à en payer le prix.

La pluie devient plus intense, les gouttes font dégouliner mes cheveux devant mes yeux, m'obligeant ainsi à battre des cils. Je souris en lançant un regard au ciel, avant de rapporter mon attention sur la blonde, je chasse sa chevelure de son visage.

- Je t'aime Bunny O'Brien.

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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyVen 8 Aoû - 2:51

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« Nous sommes tombés amoureux, malgré tout ce qui nous séparait. A partir de ce moment-là, il s'est créé quelque chose de rare et de magnifique. »


Je n'avais encore jamais eu ce courage, ce fameux courage de lui dire ce que je ressentais. Cet amour indescriptible que je portais vis-à-vis lui. Cette envie de le serrer dans mes bras, de lui dire à quel point je l'aimais, à quel point je ne voulais pas le perdre. Jamais rien n'est sorti de ma bouche: aucun mot, aucune lettre, aucun son. Jusqu'à cette nuit. C'est peut-être parce que les mots exacts n'existait pas pour décrire mes sentiments. Je ne sais pas si c'était par fierté ou par peur de me faire rejeter. Tout ce que je sais, c'est que si c'était à refaire j'aurais essayé de faire autrement. Essayer de lui dire ces mots interdits. Je me serais battu jusqu'au bout. J'aurai tout fait. Même les choses les plus ridicules qui puissent exister pour lui prouver mon amour. Tout.« Mais par dessus tout, j'ai peur de ne pas être à la hauteur. » Je releva ensuite la tête vers Conner et c'est à ce moment que mon regard ce perdit dans le siens. Je ne saurais dire ce que j'ai ressentis à ce moment là, lorsque je réussis enfin à tout lui déballer. Du soulagement, de la peur? Ouais de la peur. J'avais peur de tomber amoureuse de lui, de ne dépendre que de lui et de finir par le perdre un jour. Je m'étais promis à moi-même de ne jamais m'attacher à ce point. Mais j'avais échouée. D'une grande enjambée Conner me rejoignis, avant d'attirer mon visage vers le siens afin de m'embrasser longuement. Surprise, je le laissa faire un instant avant de réaliser ce qui était en train de se passer. Je me mis alors sur la pointe des pieds et je mis ma main sur sa taille, pour le forcer à s'approcher encore plus près de moi. Ce baisé n'avait rien de banal, non, ce baisé était sincère, réel. Des frissons me parcourut le corps en entier, j'avais l'impression de voler, j'avais l'impression de revivre. Une chose était sûre, il fallait se rendre à l'évidence. J'étais bel et bien tombée amoureuse de lui. Lorsqu'une fine pluie commença à tomber, Conner détacha ses lèvres des miennes et me regarda. Essayant de reprendre une respiration normal, je m'humecta les lèvres, avant de planter mes iris bleu dans les siens. « N'ai plus peur. Ça fait longtemps maintenant que tu es celle m'ayant appris ce que signifie être à la hauteur. Je ne peux pas te garantir que jamais je ne te ferais souffrir. Moi ce n'est pas le fait que tu t'abandonnes qui me fait peur, mais que tu puisses un jour m'abandonner moi et ne me dis pas que c'est impossible, car ça l'est... Tu l'as dit toi-même: tu ne sais plus ce qu'est l'amour. Peut-être qu,un jour ça te reviendra et que tu te rendras compte que nous deux c'était une erreur. Tout ça me fait peur, car je sais que je souffrirais, mais pour serais-ce qu'une nuit dans tes bras, je suis prêt à en payer le prix. » Le coeur battant la chamade, je regarda Conner avec une lueur d'espoir dans les yeux.

La pluie devenait de plus en plus intense. Lorsqu'il se mit à sourire, je ne pu m'empêcher de sourire à mon tour. Lorsqu'il chasse une mèche de cheveux de mon visage, je regarda attentivement les traits de son visage. « Je t'aime Bunny O'Brien. » D'un coup, mes yeux se remplirent d'eau. Ce n'était pas des larmes de tristesse, non, mais bien des larmes de joie. L'entendre me dire ces mots avait réussit à me faire chavirer le coeur. Je le regarda un moment, alors qu'une larme roula le long de ma joue. Je m'approcha ensuite rapidement de lui et je lui sauta au cou avant de plaquer mes lèvres sur les siennes et de l'embrasser amoureusement. J'enroula mes jambes autour de sa taille alors que Conner se dirigea vers la voiture avant de me déposer sur le capot. Je détacha mes lèvres des siennes et je le regarda à nouveau, un sourire sincère au coin des lèvres. « Je ne veux plus avoir peur. ». Malgré la pluie qui s'abattait sur nous, je n'aurais pas pu me sentir mieux. j'agrippa le chandail de Conner et je le forca à s'approcher encore plus de moi, avant de le lui enlever. J'avais envie de lui, de sentir sa peau contre la mienne, de sentir son souffle chaud sur mon corps, de sentir mes lèvres sur les siennes. Ça n'avait rien de sauvage, ce soir, c'était seulement doux.






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Dernière édition par Bunny L. O'Brien le Jeu 4 Sep - 18:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyLun 18 Aoû - 10:11



C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées feat Bunny

Voilà, c'est dit. Pourquoi se retenir plus longtemps? Je l'aime depuis un bon moment, je crois, mais je l'ai compris seulement depuis le jour où j'ai faillis la perdre. Elle aussi m'aime, elle n'est pas prête à le dire, mais je le sais et c'est le principal. Des larmes brûlent ses yeux dont le blanc devient rouge et même comme ça j'imagine mal comment elle pourrait être autre chose que la femme de ma vie. Ce autre chose ne me suffirait pas. La blonde fond et dans son empressement elle me saute dessus, encerclant ma nuque de ses bras. Brusquement, nos lèvres se trouvent, la douceur des siennes me fait rapidement oublier la violence du coup lorsque nos dents se sont entrechoquées. Mes mains glissent sur ses hanches, je la soulève et la tient fermement lorsque ses jambes s'accrochent à ma taille. Sans rompre notre étreinte, je me dirige vers la voiture volée, trébuchant en court de route, ce qui a comme don de gâcher un peu la scène. Je la dépose doucement sur le capot, nous nous détachons de l'un et de l'autre et tandis qu'elle affiche un sourire en coin, mon visage reste neutre, tandis que le revers de ma main caresse le siens.

« Je ne veux plus avoir peur. »

J'aimerais lui dire qu'elle n'a aucune raison d'avoir peur, mais c'est faux, je suis ce que je suis: un Cox. Et Dieu seul sait comment, on finit toujours par tout gâcher. La pluie s'intensifie, le tonnerre grogne, si bien qu'on n'entend rien d'autre, il y a plus que elle et moi. Bunny s'accroche à mon t-shirt trempé et par ce geste je comprend ce qu'elle veut. À nouveau, je l'embrasse et lorsqu'elle inspire je sens ses seins contre moi. Ses doigts glisse vers le bas de mon débardeur, je met fin au baiser, afin de l'aider à enlever le bout de tissus. Je frémis, mais je ne sais pas si c'est à cause de l'eau froide qui dégouline dans mon dos ou à l'idée de ce qu'il va arriver. Ma bouche trouve refuge dans son cou, la chaîne en argent offerte par ma soeur effleure la poitrine de la belle. Je glisse mes mains sous son t-shirt, par automatisme Bunny cambre le dos et ramène ses bras en arrière afin de me faciliter la tâche. Nos doigts se croisent alors que mes lèvres caressent sa peau. C'est une première pour moi de ne toujours pas avoir enlevé le pantalon. Le tout de fait dans la douceur et la délicatesse qui sont rendues d'autant plus agréables par la lenteur de nos gestes. Ce soir je ne baise pas, je fais l'amour. Ma bouche s'attarde sur son ventre si chaud, je colle ma joue contre sa poitrine sans aucune gêne, afin d'écouter son cœur. Mes doigts déboutonnent son jeans et mes mains prennent le relais, afin de le faire glisser le long de ses cuisses et ses jambes, qui ne m'avaient jusqu'alors jamais parus aussi impressionnantes. Je me redresse, mon regard parcourant tout son corps couvert seulement par ses sous-vêtements, mais je m'arrêtent au niveau de ses yeux à moitié cachés par sa frange qui semble trop longue à cause de la pluie. Je déglutis ne remarquant pas les tremblements de mon corps. L'eau froide, Bunny étendue devant moi de la sorte, il ne m'en faut pas plus. à mon tour, je me débarrasse de mon pantalon à l'aide de mes pieds. Je soulève le corps de la blonde et me dirige à l'arrière de la voiture pour ouvrir la porte et je la dépose sur la banquette. Le Conner de toujours crève d'envie de sortir une connerie pas du tout opportune, mais je choisis tout de même de fermer ma gueule. Coucher dans une voiture, ça me rappel bien des souvenirs, le collège ou encore les meufs à mon père que je m'amusais à pécho en douce. Ma bouche, jusqu'à présent occupée à stopper les quelques goûtes d'eau dégoulinant le long du corps de la belle, se décolle de Bunny, j'affiche alors un certain dégoût qui est destiné à moi et moi seul. Prenant appuis sur mon coude, j'évite soigneusement son regard en murmurant dans un souffle.

- Je ne crois pas que ça soit une bonne idée Bunny. Tu as peut-être oublié qui je suis, mais moi pas. Je ne te mérite pas, surtout maintenant que tu es enfin heureuse.

Je cherche mon pantalon qui malheureusement est resté dehors, je soupire, sachant que ce coup-ci je ne vais pas pouvoir fuir. Je me relève tout de même, car un homme bandé couché au dessus d'une fille, même si les deux sont en sous-vêtements, ça reste délicat comme situation pour se taper une conversation sérieuse. Je suis obligé de baisser une partie du haut de mon corps et de me tenir d'un côté à l'appui-tête et de l'autre à la fenêtre, afin de rester en équilibre. Faut toujours que je trouve le moyen d'avoir l'air con, peu importe la situation.


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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyLun 20 Oct - 21:49

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« Depuis que je le connais, je ressens des trucs hallucinants. Je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon j'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la terre de tourner, j'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées. Je comprends pas tout ce qui se passe, il y a pleins de trucs incohérents. Depuis qu'il est là, rien n'a changé, mais tout est si différent à la fois. Il m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité. Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité. J'avais une vie de chat sauvage, il l'a réduite en cendres. J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble, on ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux. Il y a des sourires et des soupires, il y a des fou rires à en mourir, on peut s'ouvrir et s'en rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs. Les pièges de l'avenir nous attendent, mais j'ai pas peur d'eux, parce que je sais qu'avec Conner, rien ne pourra nous séparer.  »

Doucement, il m'a regardé. Ses yeux étaient plongés dans les miens et je n'ai pas pu m'empêcher de l'embrasser. Je me suis sentie comme hypnotisé. Depuis le temps que j'attendais ce moment. Conner avait une façon particulière de me rendre heureuse sans faire grand-chose, à vrai dire. En étant lui-même, tout simplement et je crois que c'est ce qui m'a fait tomber amoureuse de lui, même si je n'arrive pas encore à me l'avouer. L'amour on ne peut pas savoir ce que ça fait tant qu'on ne l'a pas réellement vécu. Cette bouffée d'air frais, ces fameux papillons qui gigotent dans le ventre, cette sensation de légèreté, de plénitude totale. Il n'y a qu'avec lui que je ressens tout ça, qu'avec lui que je suis vraiment moi-même, totalement épanouie et heureuse. Quand il n'est pas là, j'arrive pas à me sentir pas tout à fait entière. On dirait qu'il est devenu comme un morceau de moi, un morceau de ma vie à lui tout seul. Cette dépendance-là, il faut la vivre pour la comprendre. Et ce n'est pas pour faire joli qu'on en parle, ni pour donner envie ou bien pour rentrer dans une certaine norme... C'est un besoin, une évidence. L'amour ça s'attrape de la racine des cheveux jusqu'à la pointe des orteils, chacun de vos membres tombe amoureux, chacune de vos paroles et de vos pensées transpire l'amour. C'est malheureux, ça nous donne souvent l'air stupide mais on se met presque à aimer ça aussi. Et même si l'amour rend les gens beaucoup plus vulnérables de peur de perdre l'autre, je pense que c'est quelque chose que quiconque doit vivre, ne serait-ce qu'une fois dans sa vie et ce en dépit des risques..

Couchée sur la banquette arrière de la voiture, tout semblait si parfait, tout. Jusqu'à ce que Conner décide de s'écarter, une mine dégoûté au visage. Avais-je fait quelque chose de mal? J'avais l'impression que mon coeur allait exploser, tandis que je ramenais mes jambes contre ma poitrine. « Conner? » Le sang afflue partout dans mon corps tandis que je l'observais, l'air anxieuse. « Je ne crois pas que ça soit une bonne idée Bunny. Tu as peut-être oublié qui je suis, mais moi pas. Je ne te mérite pas, surtout maintenant que tu es enfin heureuse. » Je resta là, un moment à le regarder l'air triste. Sans réellement comprendre pourquoi, une larme coula le long de ma joue. Sans plus attendre, je m'approcha de lui et je releva son visage, de sorte qu'il puisse me regarder dans les yeux. Puis je colla mon front contre le siens et je souria lentement, sincèrement. « Souviens toi comme j'étais malheureuse après mon réveil.. Ouvre les yeux Conner, si je suis enfin heureuse aujourd'hui, c'est grâce à toi et à toi seul. » Je décolla mon front du siens et je le regarda dans les yeux, caressant chaque parcelle de sa peau, souriant naïvement, il était là, devant moi.. À moi. Et je le laisserais pas m'échapper une seconde fois. « C'est seulement de toi donc j'ai besoin.. Laisse toi aller, arrête de te retenir.. Arrête de craindre ce qui pourrait se passer ensuite et fait le. La vie est trop courte pour avoir peur.. » Je l'embrassa durant une fraction de seconde et je recula, détachant mon soutif, le regardant toujours dans les yeux.





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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptyMar 28 Oct - 19:49



C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées feat Bunny

C'est cette façon qu'elle a de me regarder, ça me détruit de l'intérieur... Lorsqu'elle prononce mon nom et que sa voix flanche je comprend que je l'ai blessé. Encore. Puis elle ramène ses genoux vers sa poitrine et c'est pire que tout. J'aimerais me cogner la tête contre les vitres de la voiture, juste pour me faire payer ce que je viens de lui faire. L'amour: une mutilation continue, parfois physique, mais surtout psychologique, ça, personne n'y échappe. J'ai un flash-back d'images du genre de vie que je mène, pour la première fois je pense à toutes ces filles que j'ai pu baiser dans tout les sens du terme. À ces "je t'aime" lancés sans les penser, afin d'arriver à mes fins... Maggie aussi y a eu le droit. Maggie, qui a pourtant toujours été ma meilleure amie. Je pense à Hope aussi, elle est sans doute celle qui doit le plus me détester aujourd'hui, mais au moins à elle je ne lui ai pas mentis, enfin pas sur le moment, je croyais sincèrement que c'était ça l'amour... Je regrette toutes les couguars, toutes ces salopes ou jeunes trop naïves, je regrette mes marathons de la queue avec Kyle. Je regrette toutes ses actions pour les mauvaises habitudes qu'elles m'ont fait prendre. Je le regrette pour Bunny et elle seule, car à cause de cela elle va souffrir. Un alcoolique n'arrête pas de boire du jour au lendemain, mais si c'est le cas, il finira par replonger. L'alcool n'est pas mon unique vice malheureusement. Je ne suis pas fait pour être en couple plus d'une semaine, je ne suis pas fait pour être attaché à une chaîne invisible. Malheureusement mon coeur, depuis qu'il a rencontré celui de la blonde, est fait pour ça, mais pas mon corps. Je me suis voilé la face assez longtemps, avant c'était facile, car elle ne pouvait pas me supporter, mais maintenant je sais qu'on ne peut plus reculer, on ne peut plus reculer, mais peut-être que l'on peut arrêter d'avancer? Encore une fois c'est pour elle que je fais ça, au moins, je serais le seul à en souffrir...

« C'est seulement de toi donc j'ai besoin.. Laisse toi aller, arrête de te retenir.. Arrête de craindre ce qui pourrait se passer ensuite et fait le. La vie est trop courte pour avoir peur.. »

Je colle ma joue contre sa main, fermant les yeux pour profiter de cette caresse, c'est seulement lorsque je ne sens plus la chaleur de sa peau que je décide de les rouvrir pour les plonger dans les siens. Je sais très bien ce qu'elle est en train de faire, je suis tenté de regarder sa poitrine dénudée, mais je suis incapable de détacher mon regard de ses iris bleus.

- Je te rend heureuse, vraiment?

Un glapissement s'échappe de mes lèvres. Je n'y crois pas, je n'y ai jamais cru. Comment un mec comme moi pourrait-il rendre heureuse une fille comme elle? Mes doigts sont liés aux siens et je repense à une phrase que m'a un jour dit ma mère lorsque je lui demandais ce qu'était la vie. Aimer, c'est risquer le rejet. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Risquer est une nécessité. Seul celui qui ose risquer est vraiment libre. Je retiens un soupir, me rendant compte que la vie ne vaut pas la peine d'être vécu s'y je ne suis pas parfaitement comblé et mon bonheur complet je ne l'obtiendrais qu'aux côtés de Bunny. Je cale mon bras sur le siège derrière la tête à la blonde, yeux toujours plongés dans les siens je lui souris avant de déposer mes lèvres sur les siennes. Ensuite ma bouche part découvrir son corps en frôlant sa peau avec des baisers. Mes bras viennent s'enrouler autour de son corps, afin de le coller contre le miens, ce tendre câlin me permet de retrouver refuge dans sa chevelure. Son odeur m’enivre, je suis comblé, plus que jamais. Cette nuit, je ne suis pas dans un rêve, c'est la réalité, une réalité que nous avons voulu nous deux, pour le meilleur et pour le pire.

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LA BARMAID
FUCK IT! AND WHAT THEY THINK.
LA BARMAID


LETTRES ENVOYÉES : 562 ARRIVÉ(E) LE : 31/03/2013

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MessageSujet: Re: C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]   C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny] EmptySam 1 Nov - 14:14


intervention du barman dans le rp.
bunny l. o'brien et conner c. cox.


Après de douces et tendres révélations, des baisers romantiques sous la pluie, Bunny et Conner se sont retrouvés à l'intérieur de la voiture qui a été volée pour continuer de s'échanger des caresses afin de se prouver mutuellement leur amour pour la première fois. Malheureusement, un drame arrive lors de l'acte et Bunny, toute confuse, se met à chuchoter le nom de Kyle, son ex copain à la place de celui de Conner. Un quiproquo qui va sans doute entraîner une situation embarrassante !

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C'était la merde. Jusqu'à ce que tu m'apportes tout ce qu'il m'avait manqué et que tu fasses de ma vie un putain de conte de fées [Bunny]
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